Liberalisme Contre Marxisme

capitaliste, la valeur d'échange l'emporte sur la valeur d'usage ( par exemple l'air et les diamants: l'air a une grde valeur d'usage mais aucune valeur d'échange. Et l'inverse pour les diamants.) . Ainsi , SMITH est le fondateur du capitalisme et du libéralisme. Il s'interesse aussi a l'impot ainsi qu'à l'organisation du travail dans les manufactures . Il a influencer certains auteur de l'organisation scientifique du travail tel que Taylor. David Ricardo : économiste anglais, il publit en 1817 «

Éditions Christian Bourgois, Paris, 2009 Journal de deuil, Éditions du Seuil/Imec, Paris, 2009   Ce qui frappe d’abord, dans le travail de R.B., c’est sa stratégie. Combat sans emphase, régulier, coupant, continu pour une rationalité éveillée, contre ce qui semble toujours à travers le temps, provoquer chez lui la même nausée. Il est le contraire de l’universitaire ou de l’écrivain tapageurs, toujours disposé à parler des « affaires » du petit milieu du savoir et de sa performance narcissique

• Profession : homme politique & théoricien du socialiste allemand • Origine sociale : Issus d’une famille juive, avec de nombreux rabbins (dont son frère + journaliste) ; son père=conducteur de train -> vit dans la précarité (libéralisme) • Etudes : Collège (passion math + littérature) + • Carrière (linsting) : - Il obtient un emploi assez bien rémunéré dans la haute banque des Rotschild. - Parallèlement, il donne de multiples conférences

ce contexte, se développe alors le libéralisme économique c’est à dire une société dans laquelle chaque individu poursuit ses intérêts propres et où le marché de l’emploi répond à l’offre et à la demande. Ainsi, les petits artisans vont disparaître au profit des grandes usines qui emploient beaucoup. L’ouvrier n’est plus propriétaire de son atelier mais travaille comme employé d’un patron qui possède le capital. Beaucoup d’idéologies vont s’opposer à ce libéralisme économique, le socialisme, le communisme

Les réformes du Front populaire 1) Naissance d’une coalition La crainte le 06 février 1934, d’une prise du pouvoir fasciste par les ligues pousse les militants à demander l’unité de la gauche. Staline ayant abandonné sa stratégie : « Classe contre classe » qui consistait à s’opposer aux socialistes pour récupérer leurs militants, l’union va être possible. En juillet 1935, le PCF, la SFIO et le parti radical forment une union antifasciste avec un slogan : « pain, paix , liberté »( augmenter

s’agit de la même philosophie. Mais les travaux du professeur de Sciences Economiques Eric MULOT, de l’Université Paris I, nous montrent que ces deux philosophies n’ont non seulement rien à voir, mais qu’elles sont diamétralement opposées. Dans « Libéralisme et néolibéralisme : continuité ou rupture ? » l’universitaire nous rappelle que la philosophie libérale est fondée sur le concept moral de justice. Il corrobore ainsi l’économiste Francisco Vergara qui pense que cette philosophie “se réfère (…)

Document sans titreLe Communisme en Europe au XXème siècle Introduction Au XIXè siècle, les deux révolutions industrielles témoignent d’une forte domination de la pensée libérale en Europe. En réaction, Karl Marx théorise le communisme, qui dans la continuité du socialisme, a pour maître mot l’Égalité plutôt que la Liberté. Le Communisme est une idéologie politique centrée sur l’union des “prolétaires” du monde entier pour les intérêts de ce que Marx appelle le prolétariat, jusqu’à lors exploité

milices squadristes de Mussolini, qui avaient initialement groupé des anciens combattants déçus et épris d'ordre. Il se définit lui-même comme « totalitaire », et peut se résumer par une formule de Mussolini : « Tout par l'État, rien hors de l'État, rien contre l'État ! ». Au sens le plus strict, il désigne donc le régime de Benito Mussolini. Si historiquement le nazisme apparaît proche du fascisme, bien d'autres régimes politiques ont été qualifiés à tort de fascistes par leurs opposants, comme l'Égypte nassérienne

REJET DU LIBÉRALISME ET REJET DU CAPITALISME Certains auteurs rejettent de façon plus ou moins radicale le libéralisme et/ou le capitalisme. C'est Karl Marx qui formulera la critique la plus complète. I- les premières mises en cause du libéralisme et du capitalisme Au XIX' siècle, les premières mises en cause portent sur un aspect bien particulier du libéralisme: le libre-échangisme. Dupont-White fut l'un des rares auteurs à préconiser une intervention de l'État

crâne L’arme religieuse est aussi très présente : les expressions du type Dieu avec nous god save the queen Le sultan Murati appelle d’ailleurs au Djihad et non à la guerre, et il le fait en tant que Calife. [...] [...] Pour la première fois, le marxisme devient l’élément de référence concret du nouvel Etat. Le nouveau pouvoir est déjà un Etat à par, dès les décrets de novembre de Lénine (application de L’Etat et la révolution) : au niveau économique, sur la terre (abolition de la grande propriété