Liberté Du Metteur En Scène

théâtre sans compromission et se retrouvent dans leur volonté d'une rupture avec le mercantilisme de boulevard, l'adoption d'un jeu plus naturel, la mise en scène d'auteurs contemporains et la prééminence du texte. Les quatre hommes aspirent ainsi au même renouveau du théâtre, inspiré par le théâtre populaire de Firmin Gémier, la mise en scène moderne d'André Antoine et Constatin Stanislavski. En réaction contre l'envahissement du théâtre commercial, et le monopole du théâtre de boulevard ces

le déclin de la comédie peut aussi s’expliquer par le fait qu’il s’agit d’un genre profondément lié à son époque, dépendant véritablement de la société dans laquelle il s’inscrit. En effet, toute comédie se fonde d’abord sur la représentation sur scène de problématiques inspirées par la société. Pourtant, cette dernière évolue et les thèmes abordés dans les comédies ne correspondent plus forcément à la réalité quelques siècles plus tard. Les comédies classiques s’inscrivent ainsi dans une période

tragique au profit d'un pathétique moralisateur.  ® Vers la Révolution : Le "Mariage de Figaro" de Beaumarchais abolit les privilèges des salles officielles, renforce la liberté d'expression et donne enfin aux comédiens le statut de citoyens à part entière. Les théâtres se multiplient où les héros antiques qui appellent à la Liberté triomphent.  ▶ Au XX siècle Tout au long du XX eme siècle, le théâtre a connu des évolutions multiples, favorisées par les avancées de la technique. Les attentes

Ministère de la Culture Théâtre Régional de TIZI OUZOU Dossier Artistique [pic]ELHADRA PRODUCTION JUIN 2009 MISE EN SCENE De Halim Zedame Fiche Technique du spectacle Titre du spectacle : « ما بقاتش ... هدرة  » Texte écris par  : AISSA MOULEFERA Réécriture scénique et dramatique : HALIM ZEDAME ❖ Interprété par  : 1. ZITOUNI SAIDA El Qods

Shakespeare Mise en scène David Bobee Théâtre de Chaillot Paris Vendredi 23 Novembre 2012 Avec Mehdi Dehbi : Roméo, Sara Llorca : Juliette, Veronique Stas : Nourrice, Hala Omran : Lady Capulet, Jean Boissery : Capulet, Pierre Cartonnet : Tybalt, Edward Aleman : Grégory, Wilmer Marquez : Samson, Radouan Leflahi : Paris, Serge Gaborieau : Montaigu, Pierre Bolo : Mercutio, Marc Agbedjidji : Benvolio, Alain d’Haeyer : Frère Laurent, Thierry Mettetal : le Prince, Mise en scène, adaptation, scénographie

0Sujet 1: " D'après votre propre expérience du théâtre et d'après ce que vous en avez étudié estimez-vous que l'on apprécie davantage une pièce en la lisant ou en assistant à sa mise en scène ? " " Tout est langage au théâtre, les mots, les gestes, les objets. Il n'y a pas que la parole", dit Eugène Ionesco. Le théâtre se distingue des autres genres par sa double nature. Il est fait pour être vu et lu. C'est à la fois un texte et un spectacle. Le mot théâtre vient du grec "Tea" qui signifie

vous avez vues ou lues. Le genre théâtral est fondé sur une valeur fondamentale : associer un texte à une mise en scène. Le texte de théâtre, à son origine, est écrit pour être représenté. Cette caractéristique est symbolisée par l’ensemble des artifices propres à la mise en scène : du décors aux machines. L’adaptation théâtrale relève de l’interprétation du metteur en scène ainsi que de celle des acteurs permettant de donner vie à la pièce et éveiller chez le public une émotion. Dans quelle

Père Goriot, Eugénie Grandet de sinistre mémoire. Mais il est possible de constater que parmi ceux qui ont abordé ces monuments littéraires - et ont échoué -, il y a peu ou presque pas de grands metteurs en scène. Ceux-ci savent prendre leurs précautions, et -étrange paradoxe- ce sont des metteurs en scène honnêtes, pour ne pas dire médiocres, qui s'attaquent à La Princesse de Clèves ou à Jocelyn! Il faut bien l'avouer, le monde du cinéma ressemble fort à cette "foire sur la place" décrite dans Jean-Christophe:

destinée à être jouée sur scène ? Nous verrons tout d'abord que s’il est vrai que lire une pièce présente un intérêt et des plaisirs qui lui sont propre, il est aussi vrai que la représentation théâtrale a elle aussi ses avantages. Enfin nous verrons que la lecture et la représentation d'une pièce se complètent. La lecture d'une pièce de théâtre nous permet étant que lecteur de laisser libre cours à notre imagination : nous sommes en quelque sorte notre propre metteur en scène. Nous imaginons les

entre plusieurs représentations, ce qui la rend unique. En introduisant la pièce aux yeux des spectateurs, elle la rend vivante et actuelle. Chaque représentation est alors une recréation de la pièce par le metteur en scène, créant un lien entre les spectateurs et les acteurs qui regardent sur scène. Mais Gilles Aillaud, scénographe de Bérénice à la Comédie Française pense plutôt qu’il existe des « pièces qui ne sont pas à représenter mais à lire », telle que Bérénice de Racine. La lecture d’une pièce