Liberté Marx Et Descartes

Le Coq La scène : un Coq et au bord d'une route. Il la traverse. La question : pourquoi ce Coq a-t-il traversé la route ? René DESCARTES : pour aller de l'autre coté. PLATON : pour son bien. De l'autre coté est le vrai. ARISTOTE disciple de PLATON : c'est la nature de poulet de traverser les routes. Karl MARX : c'était historiquement inévitable. Marco POLO : pour aller là ou aucun autre poulet n'était allé auparavant. HIPPOCRATE : en raison d'un excès de sécrétion de son pancréas. Martin

est-il un mal nécessaire ? SUJET 4 : Le pouvoir d’État est-il nécessairement violent ? SUJET 5 : « L’enfer c’est l’absence des autres ». Qu’en pensez-vous ? SUJET 6 : Suffit-il d'appliquer le droit pour que règne la justice ? SUJET 7: « La liberté consiste à ne dépendre que des lois. » Qu’en pensez-vous ? SUJET 8: La nation relève-t-elle de l’utopie ? SUJET 9 : L’athéisme est-il une illusion ? SUJET 10: Le regain de la foi religieuse dans un monde gagné par la rationalité scientifique

➢ Apprendront à dégager le fondamental intemporel des contraintes socio-historiques dans lesquelles chaque philosophe a forgé sa pensée. ➢ Se constitueront une pensée politique personnelle critique qui leur permettra de trouver une liberté face aux tentatives d’aliénation des conceptions perverses de l’Etat et de l’exercice du pouvoir. ➢ Se perfectionneront dans leur capacité à disserter de manière argumentative. Contenu : Introduction : La société

souligner tout d’abord qu’il existe deux formes de doute : le doute sceptique et le doute méthodique. Le doute sceptique est celui de quiconque se plaît à douter, douter pour douter. Le doute méthodique, c’est celui qui, depuis le philosophe René Descartes, est devenu l’attitude habituelle de la science, de la recherche, et d’une bonne partie du raisonnement occidental. Pour faire court, c’est le doute systématique qui consiste à tout faire passer aux cribles de la rationalité critique sous quatre

ordre qui peut varier). - Dans ce dernier §, on montrera que l’homme est donc connaissable comme une chose (idée de ce § = thèse de cette partie). Après avoir réduit le corps humain à une machine livrée à une connaissance causale (Descartes au 17ème ), les sciences humaines et en particulier la sociologie inventée par Auguste Comte (au 19ème), achèvent le processus d’objectivation du fait humain. On utilisera l’exemple de la sociologie de Durkheim (vu en cours). II) Mais

modèle de toute vérité, comme une pure transparence à soi, en somme comme une adéquation entre le sujet et l’objet. Cela nous pose alors la question : suis-je ce que j’ai conscience d’être ? On a vu dans un premier temps que la conscience (chez Descartes ou Sartre pouvait se définir comme adéquate, claire distincte et source de vérité et donc de connaissance). Mais cette thèse ne peut satisfaire pleinement car des zones d’ombres subsistent. Ce flou remarquable témoigne des limites de la conscience

simple créature) Et reclame une defense de ses droits fondamentaux Symbole : Homme de Vitruve de Leonard de Vinci Humanistes a travers le temps : XVI : Pierre de Ronsard , Montaigne , Etienne Dolais XVII : Galilée , Descartes XVIII : Montesquieu XIX : Victor Hugo , Karl Marx , Emile Zola XX : Albert Einstein , Mahatma Ghandi Michel de Montaigne ( 28 fev 1533- 13 sep 1592) Né dans une famille aisée , il grandit dans les principes humanistes et l’eductation encyclopedique (amour du savoir)

la philosophie et la religion ; les conséquences vont avoir de l’importance : le droit n’existe pas, il n’y a que des lois, construites par les hommes, qui sont donc susceptibles d’être changées. donc les rapports sociaux peuvent changer Descartes (1596 – 1650) a voyagé de nombreuses années à travers l’Europe et y a constaté la variété, souvent contradictoire, des opinions et des savoirs. Son projet est de savoir s’il existe quelque chose dont on peut être sûr, à l’image des certitudes mathématiques

modèle de toute vérité, comme une pure transparence à soi, en somme comme une adéquation entre le sujet et l’objet. Cela nous pose alors la question : suis-je ce que j’ai conscience d’être ? On a vu dans un premier temps que la conscience (chez Descartes ou Sartre pouvait se définir comme adéquate, claire distincte et source de vérité et donc de connaissance). Mais cette thèse ne peut satisfaire pleinement car des zones d’ombres subsistent. Ce flou remarquable témoigne des limites de la conscience

lorsqu’il aborde la question de la perfectibilité. Il montre ainsi, comme pascal le montre avant lui que l’homme est un être de progrès alors que l’animal n’est que ce qu’il est. Cette image de l’abeille et des ruches sera d’ailleurs également reprise par Marx lorsqu’il distinguera l’abeille la plus experte de l’architecte. Cette distinction lui permettra également de montrer la spécificité humaine. Vous trouverez de nombreux éléments pour développer ces points en vous reportant aux sujets indiqués au bas