Liberté Orwell 1984

des martyrs. Accusé d’avoir proféré des propos calomnieux contre Dieu, il fut lapidé à Jérusalem. Jodoin est également un martyr. Il ne s’apitoie pas, mais c’est tout juste. Il souffre en silence de la répression de sa culture. Indifférence et liberté: «Ça me fait ni chaud ni froid» L’indifférence est appelée communément l’absence de choix ou l’absence d’un intérêt marqué pour une chose ou une autre. Il y a une forme d’égalité sur une balance imaginaire où tous les motifs se valent. C’est la règle

nôtres. Secondement, la société est finalement fort critiquée et incite le lecteur à réagir à ces critiques. Dans 1984, de Georges Orwell, une contre-utopie qui fut aussi une anticipation, fait ouvertement ressortir tous les points négatifs d'un gouvernement qui voulant parvenir à une société parfaite aboutit par devenir trop envahissant sur l'Homme et le prive de toute liberté. CONCLUSION Le lecteur mis dans des conditions d'imaginaire, est plus apte à penser à la possibilité d'un monde

conte philosophique est un très bon exemple amenant à la réflexion. Thomas More, en décrivant une société idéale dans « Utopie » conduit à s'interroger sur les moeurs de la Société du XVIème siècle, et G. Orwell dans « 1984 » brosse un tableau d'une société totalitaire dans laquelle les libertés sont supprimées. C'est le rôle du lecteur d'analyser la problématique, de se faire une idée personnelle du message exprimé et d'en tirer les conséquences. Dans l'ouvrage « le Vicomte pourfendu », Italo Calvino

révolutionnaires nommés la Volte. Depuis le 20ème siècle, la science-fiction se veut en effet plus « dystopique » qu'utopique. Dans 1984 de Georges ORWELL, ou auparavant, le Meilleur des Mondes de HUXLEY (dont le titre est inspiré de VOLTAIRE, grâce à une phrase de Candide,) on parle de contrôle, de conditionnement de l'esprit, on préfère la sécurité à la liberté et le peuple est surveillé, traqué. Par ces récits d'anticipation, on dénonce les défaut de notre politique actuelle : la technologie

est personnifié en Lion qui ne partage pas le butin qui s'accapare tous les pouvoirs et droits. A l’époque, le fabuliste voulait que la population se rende compte de cet abus. L’œuvre 1984 de Georges Orwell traite du totalitarisme. Dans ce livre, la population est embrigadée, contrôlée à chaque instant, la liberté et le libre arbitre n'existent pas. L’écrivain dénonce la dérive de ce genre de régime. (Cependant, la littérature est aussi le témoin de stagnation. Les siècles passent et certaines

soumettre aux règles morales de la société. Ces personnes sont par conséquent exclues et rejetées de la collectivité. Ainsi, George Orwell, dans son livre 1984 , fait la peinture d’une monde totalitaire terrifiant, où les citoyens sont surveillés en permanence dans leurs moindres faits et gestes par Big Brother, figure métaphorique du régime totalitaire et policier. La liberté de pensée est aussi mise en danger par les autres citoyens, car on peut se faire dénoncé si on n’adhère pas aux idées du parti

152, 1991, p. 712-714. Pour prolonger la réflexion, voir : Molière, Dom Juan, Acte II, scènes 2 à 4. Langage et manipulation politique  Explication : Dans son roman, George Orwell décrit un Etat totalitaire gouverné par Big Brother, qui décide de réformer la pensée humaine. Texte : « La scène se passe à la cantine du Ministère de la Vérité. Winston, fonctionnaire au Commissariat aux Archives, et Syme, fonctionnaire

Dissertation : Plaidoyers pour la Liberté Le recours à la fiction permet chez certains auteurs de défendre une cause. Dans quelle mesure l’imaginaire peut-il être instrumentalisé à des fins rhétoriques ? Et, en rapport aux genres dévolus comme l’essai, le discours, ou même le poème – en ce qu’il se fait refrain d’une idéologie - quelle est l’efficacité du texte narratif ? C’est sans doute à cette question que renvoie le corpus proposé. De Jean de la Fontaine à Paul Eluard, nous traversons l’histoire

IV. dystopies et anti-utopies sont-elles libertaires ? Le genre utopique des contre-utopies est désormais très bien connu, mais se limite trop souvent au groupe ZAMIATINE-HUXLEY-ORWELL, car la plupart des dystopies sont liées au contexte difficile du XXème siècle : guerres mondiales, crises socio-économiques, chocs nucléaire et bactériologique, désastre écologique ou climatique, États autoritaires et totalitaires, eugénisme et génocides... Mais ce genre est certes beaucoup plus important et

et germano-soviétique. 2-Frederick tente de s'emparer de la ferme. B) La politique ultranationaliste de Staline 1-Le culte de la personnalité de Staline fait des ravages. 2-Une société de plus en plus inégalitaire. Introduction : George Orwell est né le 25 juin 1903, dans l'est de l'Inde. Son vrai nom était Éric Arthur Blair et il était le fils d'un fonctionnaire colonial britannique. Il a fait ses études en Angleterre, et ensuite il rentra dans la police indienne impériale présente en