Liberté Ressemblance Sartre Rousseau

penser ou d’agir, nos attitudes les plus communes, les contradictions mêmes qui nous travaillent, témoignent d’un rapport à l’être dans sa totalité et d’une appréhension de la réalité qu’il revient à la philosophie d’élucider ou de déconstruire. – Rousseau et la question du mal. – Tocqueville, Marx et la question de la démocratie. – Nietzsche et la question du ressentiment. – Freud et la question de l’inconscient. – Heidegger et la question de la technique. – Carl Schmitt et la question de la guerre

Durant le mois que prit la traversée en bateau, il composa deux petits livres, ‘’Un long voyage’’ et ‘’Oradi noir’’, qui contiennent même une liste des «ouvrages à paraître». Ce voyage, qui le fit rêver de devenir marin, et ce séjour dans une terre de liberté absolue, qui dura jusqu’en 1948, le marquèrent pour la vie : «J’ai I'impression que je n'aurai jamais fait qu'un seul voyage dans ma vie : celui-là», confia-t-il. Au retour, il découvrit les livres de la bibliothèque familiale, ceux de Maupassant

autre, différente de notre monde occidental - sans pour autant porter de jugement de valeur : « Pour un tel système, toute forme réfractaire est virtuellement terroriste. Ainsi encore l'Afghanistan. Que, sur un territoire, toutes les licences et libertés démocratiques - la musique, la télévision ou même le visage des femmes - puissent être interdites, qu'un pays puisse prendre le contre-pied total de ce que nous appelons civilisation - quel que soit le principe religieux qui soit invoqué, cela est

Séquence 4 La femme et le désir d’émancipation Objet d’étude E Le personnage de roman du XVIIe siècle à nos jours Sommaire Introduction Introduction historique 1. La revendication de liberté 2. La résistance 3. Émancipation ou aliénation ? 4. Les chemins vers l’émancipation et l’égalité au XXe siècle 5. Bilan de la séquence Lexique de la séquence Séquence 4 – FR10 1 © Cned – Académie en ligne I ntroduction Figures de l’émancipation féminine dans le roman  : entre soumission et

visions du rôle de l’expérience Les deux textes ont en commun de relater des processus expérimentaux menés, l’un par un scientifique, Ambroise Paré, l’autre par un personnage fictif, Gargantua, qui parodie le discours scientifique. Hormis une ressemblance formelle, tout sépare donc les deux textes, écrits dans des perspectives radialement divergentes. Ambroise Paré se propose un but scientifique et médical : prouver que les vertus que l’on attribue à la corne de licorne sont inexistantes. Il entend

roman…………………………………………........ 21 B) Brassage de l’oral et de l’écrit……………………………………......... 27 C) Expression polyphonique…………………………………………........ 51 Conclusion ………………………………………………………………… 55 Chapitre 2) : Le désordre suggestif du récit………………………………….. 57 A) Liberté romanesque…………………………………………………..... 65 B) Envahissement idéologique………………………………………........ 69 C) Appropriation de la langue……………………………………………… 92 vii Conclusion………………………………………………………………….. 118 DEUXIEME PARTIE : Écriture et Pouvoir………………………………

dans le café, qui s’avère un échec. Ce regard distancié est aussi celui d’un moraliste qui s’attache à déchiffrer les comportements et les apparences. L’écriture romanesque n’hésite pas à recourir à l’analyse à partir des concepts de la « ressemblance » et de « l’individualisation », sans qu’il en ressorte une loi claire et évidente. Là réside le malaise du narrateur. 3. Le passage se clôt sur un mouvement de retrait piteux (refuge dans un café) et sur la vision d’un dogue allemand énorme

culturelles Quatorzième séance : Traduction et contact de cultures BIBLIOGRAPHIE 1) Fernand Braudel, La Méditerranée et le monde méditerranéen à l’époque de Philippe II, Le livre de poche, 1990. 2) Pierre Brunel, Claude Pichois, André-Michel Rousseau, Qu'est ce que la littérature comparée ?, Armand Colin, 1983. 3) Pascale Casanova, La République mondiale des lettres, Seuil, 1999 4) .Jean-Marc Moura, Travaux et Recherches, Université de Lille 3, 1999 5) Jean-Marc Moura, L’Europe littéraire

d’être libre) b. Un avenir conditionné par l’influence maternelle Commenter « extrême défiance » : tellement d’exigence envers elle méme que Mlle de Chartres va se retirait du monde extérieur. Elle s’impose une trop grande rigueur et aucune liberté, ce qui l’empeche de vivre. Réciprocité des sentiments ainsi que cette volonté toujours vertueuse conduisent l’héroine à son aveu tragique. Commenter « Mme de Chartres qui etait extrêmement glorieuse » et « ne trouvait presque rien digne de sa

Jean-Paul Sartre Les Mots A madame Z. I Lire En Alsace, aux environs de 1850, un instituteur accablé d'enfants consentit à se faire épicier. Ce défroqué voulut une compensation: puisqu'il renonçait à former les esprits, un de ses fils formerait les âmes; il y aurait un pasteur dans la famille, ce serait Charles. Charles se déroba, préféra courir les routes sur la trace d'une écuyère. On retourna son portrait contre le mur et fit défense de prononcer son nom. A qui le tour? Auguste se hâta