Liberté Syndicale En 1936 Accord De Matignon

Solenn V. Les syndicats en France A travers l’histoire les travailleurs ont toujours lutté pour obtenir des droits. Beaucoup de ces droits ont été obtenus après les accords de Matignon de 1936 pendant le front populaire mais la liberté syndicale est reconnue en France depuis 1884. La loi dite de « Waldeck-Rousseau » (Waldeck-Rousseau était le ministre de l’intérieur sous le président de la troisième République, Jules Grévy) autorisant la création de syndicats professionnels date en effet du

: "pain, paix, liberté" ... en faveur du peuple III/ Politique du gouvernement de Blum 1) Eté 1936 Front populaire gagne les élections législative et arrive au pouvoir = Léon Blum devient président du Conseil (gouvernement socialiste + radical, avec le soutient des communistes) -> travailleurs se mettent tout de duite en grève dans la bonne humeur = les patrons cèdent car le gouvernment soutient les travailleur, l'état joue un rôle d'intermédiaire ===> ACCORDS MATIGNON : - semaine de

antisémite ● 1936 : Lois sur la protection du sang Allemand ●1938 : mesures économiques contre les Juifs ● 9 Novembre 1938 : Pogron (Massacre organisé et orchestré par les S.A, les S.S et la Gestapo) ∟►Conséquences : ≈ 100 morts + ≈ 30 000 hommes déportés | ● Secteur industriel privilégié (Armement, transport) ∟ But : Sortir l'Allemagne de la crise et du chômage ● Mars 1938 : Annexion (=Anschluss) de l'Autriche ● Octobre 1938 : Annexion du territoire industriel des Sudètes ● Novembre 1936 : Création

REPÈRES HISTORIQUES DE TROISIÈMEPremière Guerre mondiale :- 1914-1918 : durée de la 1ère GM- 28 juin 1914 : attentat de Sarajevo, début de la 1ère GM- 1915 : génocide des Arméniens- 1916 : grandes batailles (Verdun, la Somme)- Février et octobre 1917 : Révolutions russes- 11 novembre 1918 : Armistice- 28 juin 1919 : Traité de VersaillesURSS :- 1924 : mort de Lénine- 1929 : Grand Tournant économique => collectivisation forcée et industrialisation du pays- 1937-1938 : faux procès de Moscou =>

limite la journée de travail à 10h, On réaffirme la liberté d’association : regroupement d’individus possible On prohibe le marchandage : la spéculation sur le coût du travail en faisant appel à un sous-traitant notamment. - 1864 : on abroge l’incrimination de la coalition, le fait de se regrouper était une infraction, ce n’est plus un délit pénal. On continue d’affirmer la liberté d’association. Ce qui permettra l’essor de la liberté syndicale – un syndicat étant un regroupement de travailleurs-

les chemins de fer ni les postes ni les services publics de l’État et des collectivités. La production, le commerce furent paralysés. Emblématique d’une forme de contestation que certains avaient alors en tête: il y eut 600 000 manifestants le 28 mai 1936 au Mur des Fédérés, pour célébrer la Commune. (document 1 page 244) Les grèves exprimaient un mélange d’explosion de joie de la victoire électorale de forces politiques qui depuis le 19ème siècle parfois revendiquaient d’être les porte-paroles

conditions de travail des salariés ? Les syndicats sont aussi des acteurs du dialogue social entre l’État, les employeurs et les salariés. En effet, les syndicats peuvent signer avec l’État ou le patronat des conventions collectives, des accords nationaux (ANI), des accords de branche qui règlent les conditions de travail pour l’ensemble des salariés. Quels sont leurs moyens d’action ? Actuellement, le moyen le plus reconnu par les syndicats pour faire pression est la grève, mais la grève est à un

fondamental de la liberté du travail décret ALLARDE. La loi LE CHAPELIER interdit tous groupement professionnel. Elle libère l’individu mais isole le travailleur face à l’employeur • La révolution industrielle accentue la détérioration de la situation du travailleur d’où la nécessité de créer une législation pour le protéger. • 1841 réduction de la durée de travail pour les enfants • 1864 naissance du droit de grève • 1884 reconnaissance de la liberté syndicale • 1906 code

sur les assurances sociales. En 1936 : Réunification de la CGT et de la CGTU lors du congrès de Toulouse. Elles avaient participé à l'élaboration du programme du Rassemblement populaire (par la suite Front populaire) qui devait remporter les élections législatives le 5 mai 1936. Le 26 mai une vague de grèves marquée par des occupations d'usines démarre au Havre et s'étend comme une trainée de poudre partout en France. Le 4 juin, sont signés les accords de Matignon, entre la CGT et le Patronat. Les

tous les pouvoirs : il dirige seul l’URSS. Lors des procès de Moscou en 1936-1938, il fait arrêter les membres du parti communiste et les dirigeants de l’économie qui pourraient contester son autorité.  Une seul parti politique est autorisé : le parti communiste (parti unique).  Les libertés sont supprimées : pas de liberté d’expression (= parler librement), pas de liberté de presse car il y a la censure, pas de liberté d’opinion (parti unique).  Utilisation de la violence contre les opposants