Liberté église Gallicane

"pillards", ils comprennent tout à fait que l'administration romaine et la chrétienté rédigée par des évêques peuvent les aider à glorifier leur pouvoir et ils vont s'en servir de façon très habile. Autre miracle de ce siècle : les femme qui tenaient les églises vont cristaliser la religion chrétienne. Plus tard, la Gaulle va se couvrir d'églises vers l'an 1000. Avec le début de la période Franc, la Gaulle se couvre de monastère où on conserve la culture grecque et chrétienne. Et l'essor architectcural et

l’individu .........................................108 II. Des droits déclarés : la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen .......................................................................................................109 1. La liberté................................................................................110 2. La propriété ............................................................................110 3. La sûreté ......................................................

second Empire, un sur la Belle Époque. J'attire votre attention sur le double sens du mot "Église": il peut désigner soit le clergé, l'institution ecclésiastique, soit l'ensemble des fidèles, la communauté catholique. Le plus souvent, je l'emploierai dans le premier de ces deux sens; mais, bien sûr, le clergé parle pour l'ensemble des catholiques et les catholiques ont, en principe au moins, la foi de leur Église. Contrairement au protestantisme, le catholicisme (au moins celui du XIXe siècle) ne met

indépendant , e dernier aura sa juridiction propre, son propre droit et relèvera directement du pape. * Le pape va dans chaque royaume installé un LEGAT, c’est à un ambassadeur du pape. Il a une véritable autorité , sur tous les évêques et les églises sur un territoire donné. * Le pape va affirmer sa prépondérance politique, le pape va réunir le pouvoir temporel ou pouvoir spirituel. Dans les conflits qui l’oppose à l’Empereur il a besoin d’un .. on parle de décrétale « per

démonstrations précédentes : Trouver un système d'égalité absolue, dans lequel toutes les institutions actuelles, moins la propriété ou la somme des abus de la propriété, non seulement puissent trouver place, mais soient elles-mêmes des moyens d'égalité : liberté individuelle, division des pouvoirs, ministère public, jury, organisation administrative et judiciaire, unité et intégralité dans l'enseignement, mariage, famille, hérédité en ligne directe et collatérale, droit de vente et d'échange, droit de tester

éviter les guerres privées. Pour remplir sa mission de pacificateur le roi recours à des institutions inventées par l'église afin de limiter les guerres privées. la paix de dieu. C'est une protection particulière que le roi accorde soit à des églises soit à des personnes considérées comme faibles. La trêve de dieu. Interdiction de faire la guerre les jours liturgiques, puis cette trêve est étendu à des périodes plus longues comme celle du carême. Le roi est un protecteur.

l’universitaire, mais encore, et peut-être surtout, à l’homme cultivé. Celui-ci sera heureux de retrouver trois grands penseurs des XVIe et XVIIe siècles en compagnie d’un merveilleux lecteur, Brunschvicg. Son talent, sa culture s’y déploient en toute liberté. Le texte entier est traversé par une telle force de sympathie, tellement nourri d’une immense culture, que Brunschvicg paraît presque s’effacer devant sa puissante invitation à rejoindre Descartes et Pascal, et qu’il nous met, à notre tour, à l’école

grammaire moderne. Voulzit -voulut, prind -prit, vesquit -vécut, savant -sachant. Mais nous avons conservé les rant encourir parfaits indéfinis atteignit, etc., : introduit pour introduisit, atteint pour familiers à Rabelais. Là s'arrêtent nos libertés. Nous avons respecté scrupuleusement la syntaxe, laissant au féminin des mots comme arbre, âge, navire, espace, au masculin des termes comme affaire, A VERTISSEMENT étude, enclume, sauce, offre, etc., n'accordant pas — 7 les parti- quand

enfants leur tirent la langue Et les filles se moquent d'eux. C'est qu'odieux et ridicules, Et maléfiques en effet, Ils ont l'air, sur les crépuscules, D'un mauvais rêve que l'on fait: C'est que, sur leurs aigres guitares Crispant la main des libertés, Ils nasillent des chants bizarres, Nostalgiques et révoltés; C'est enfin que dans leurs prunelles Rit et pleure—fastidieux— L'amour des choses éternelles, Des vieux morts et des anciens dieux! —Donc, allez, vagabonds sans trêves, Errez,

emplois restèrent entre leurs mains dans la nouvelle administration qui continua l'administration irnpériale. Et ce furent les Francs qui protestèrent, au nom de leurs coutumes, contre ces règles nouvelles pour eux, Ils avaient, du droit et de la liberté, une notion germanique et anarchique contre laquelle les rois mérovingiens eurent à lutter. Les « hommes libres » avaient l'habitude de contrôler le chef par leurs assemblées. La discipline civile de Rome leur était odieuse. Il fut difficile de les