Libyens

premiers appels à manifester le 25 Janvier 2011. Des lettres ouvertes étaient envoyées, à travers les réseaux sociaux, par les révolutionnaires de Tunisie à la jeunesse égyptienne. En Libye, c’est l’arrestation 1Février de l’écrivain et l’opposant libyen Jamal al-Hajji qui a incité de nombreux jeunes à lancer un appel à manifester le 17 Février 2011 sous le slogan « Journée de la colère ». En Syrie, au Maroc, en Algérie, en Arabie Saoudite, au Soudan, des groupes de jeunes ont mené campagne sur Facebook

délivrer des mandats d'arrêt pour crimes contre l'humanité contre le dirigeant libyen et deux de ses proches. Il s'agit de l'un de ses fils, l'influent Seïf al-Islam, et du chef des services de renseignement, Abdallah al-Senoussi. «Les preuves recueillies montrent que Mouammar Kadhafi a personnellement ordonné des attaques contre des civils libyens non armés», a déclaré Luis Moreno-Ocampo. «Ses forces ont attaqué des civils libyens chez eux et dans des lieux publics, ont tiré des balles sur des manifestants

certes "réaffirmés" par le Conseil de sécurité dans la résolution d'avril 2006, mais ils ne le sont pas dans la résolution 1973 autorisant l'intervention en Libye. Elle ne fait appel qu'à "la responsabilité qui incombe aux autorités libyennes de protéger la population libyenne", et non à une responsabilité qui incomberait à la communauté internationale d'intervenir. L'intervention militaire en Libye n'est pas un droit d'ingérence. Cette intervention est justifiée par des raisons humanitaires, et autorisée

nord-africain commence le 16 juillet 2008, suite à l'arrestation de Hannibal Kadhafi, fils Mohammar, dictateur libyen, et son épouse à Genève, accusés de maltraiter leur domestique. La réaction de la Libye est immédiate, avec une série de mesures institutionnelles et la dénonciation de la Suisse pour « comportement raciste », mais surtout avec l'arrestation de deux citoyens suisses sur le territoire libyen. Max Göldi et Rachid Hamdani entrent dans les prisons de l'État sous le contrôle de Kadhafi sous prétexte

frigorifique, le transport de marchandises dangereuses et le groupage sont très peu développées et ne répondent qu’à des exigences très faibles en matière de qualité. Le transport international est contrôlé par les opérateurs européens. Dans les cas libyen et mauritanien, le transport routier pour compte propre est moins important et ne dépasse pas 20 %, bien qu’il y ait, en Mauritanie, une grave crise du marché du transport public, après la libéralisation. Le rail est fondamentalement orienté vers

Syrte. Cette guerre était -elle une guerre juste ? OUI : Ce conflit est due au peuple qui voulait se révolter à cause du régime autoritaire de Kadafi. Les libyens ne voulaient plus ce type de gouvernement et l'ont fait comprendre. Malgré que les conflits aient été rudes, ils ont tout de même été utiles puisque aujourd'hui les libyens vivent en démocratie.

et Tobrouk qui a été transmise en mars 2005. A la demande de la partie libyenne, un nouveau dossier relatif à l’intervention d’ODIT-France en Libye, comportant une proposition de contrat, a été adressé par le Directeur Général d’ODIT-France au Ministre libyen du tourisme le 23 mai dernier. - appui institutionnel à l’administration du tourisme : la Direction du Tourisme a accueilli des représentants de l’administration libyenne du tourisme en décembre 2005 ; - formation aux métiers du tourisme ;

opérationnel en 1979. En 1981 l'État gabonais finance, en partenariat avec des investisseurs privés et la SOFIRAD, la création d'Africa n°1. La SOFIRAD, dissoute par le gouvernement français, cède ses actions à un groupement appartenant au gouvernement libyen. En échange du soutien financier de la SOFIRAD (société à capitaux publics français), la station de Moyabi, à partir de février 1981, relaie les émissions de Radio France Internationale (RFI). Au cours des années, ce relais s'est amplifié le matin

sunnites (famille royale et majorité de la population) et chiites influencés par l’IRAN. Cette instabilité a conduit à : - la chute et la fuite de BEN ALI et de la famille TRABELSI en Tunisie le 14 JANVIER 2011, - une guerre armée entre les frères libyens depuis le 17 février 2011 et qui risque de durer encore en raison des divisions ethniques en LYBIE, - l’émergence du Mouvement du 20 Février au Maroc qui réclame une monarchie parlementaire où le roi règne et ne gouverne pas, - des manifestations

dernières semaines. Les élections présidentielles sont le prétexte à un soulèvement populaire notamment en Lybie où les peuples commencent leur révolte contre le dirigeant Mouammar Kadhafi, colonel libyen ayant pris le pouvoir en 1969 après un coup d’état. Depuis cet homme tyrannise les peuples libyens qui désormais espèrent avoir des élections légales, dans lesquelles ils pourront choisir leur propre président de façon démocratique. C’est un socialisme arabe que le colonel Kadhafi voudra instaurer