Licinius

(Orient) & Constance Chlore (Occident) Maximin II Daïa (Orient) & Sévère II (Occident) Maxence (usurpateur) 284-305 285-305 et 306-310 293-311 293-306 305-313 305-307 306-312 Constantiniens (ou Seconds Flaviens) Constantin Ier le Grand (Occident) & Licinius Ier (Orient) Constance II (Orient) & Constant Ier (Occident) & Constantin II le Jeune (Occident) Julien l'Apostat Jovien 306-337 308-324 337-361 337-350 337-340 355-363 363-364 ER7 Valentiniens Valentinien Ier (Occident) & Valens (Orient)

faisaient enterrer, se développe sous forme de peintures murales ou de bas-reliefs le premier art chrétien. Catacombes de Priscille, Rome, IIIème siècle. 6- L’édit de Milan « Moi, Constantin Auguste, ainsi que moi, Licinius Auguste¹, réunis heureusement à Milan pour discuter de tous les problèmes relatifs à la sécurité et au bien public, nous avons cru devoir régler en tout premier lieu les dispositions sur lesquelles repose le respect de la divinité, c’est-à-dire

exceptionnels. Accord entre patriciens et plébéiens qui résultent de ça : les patriciens reconnaissent les tribuns de la plèbe en 449. Rédaction de la loi des XII tables : mise par écrit du droit, accessible et publique. 367 : lois licinio-sextiennes, Licinius et Sextus ont proposé des lois pour reconnaître la plèbe. 3 volets : -politique : les patriciens et plébéiens partagent le consulat : un consul plébéien et patricien chaque année. Les plébéiens participent alors à la plus haute magistrature de l’Etat

gérait alors son deuxième consulat. Son grand-père, son père et ses oncles, particulièrement cultivés, entretenaient des relations avec les plus grands orateurs et les plus grands juristes de Rome, Marc Antoine, le grand-père du triumvir, Lucius Licinius Crassus, Aemilius Scaurus, Quintus Mucius Scaevola. Élevé dans un milieu lettré et ouvert à la politique, le jeune Cicéron manifeste très tôt des dons intellectuels éclatants. Comme les jeunes sénateurs, il étudie la poésie, la rhétorique et le droit;

le feu de la révolte sur l’île. Ces derniers l’ayant trahis, il se retrouvait au contraire piégé, acculé à la mer, et il n’avait plus d’autre choix que de tenter de s’échapper à nouveau vers le nord. Mais en 71 av JC, il se heurte à Marcus Licinius Crassus Dives, le seul qui ait accepté de prendre le commandement de l’armée romaine, à présent renforcée de 6 légions, 8 au total, soit entre 40 et 50 000 hommes. Il possède certes la fortune, mais pour arriver aux plus hautes fonction, il compte

étaient recrutés avec un grade inferieur à celui qu’ils détenaient pendant leur service, ce qui était une cause de querelles entre les vétérans et les consuls ordonnant la levée des troupes. Titus-Livius nous expose le problème de recrutement de Licinius, ancien centurion, en disant que « ce guerrier a fait son temps cependant il ne refuse pas de servir tout qu’il demande est d’être maintenu dans le même grade qu’il avait occupé quand il était en service ».Cet exemple est complété par l’exemple

également en mille langages divers, depuis Siam jusqu’à la Californie, ta bonté qui nous a donné cet instant. Voltaire, Traité sur la tolérance à l’occasion de la mort de Jean Calas (1763), chapitre XXIII. « Moi, Constantin Auguste, ainsi que moi, Licinius Auguste, réunis heureusement à Milan pour discuter de tous les problèmes relatifs à la sécurité et au bien public, nous avons cru devoir régler en tout premier lieu, entre autres dispositions de nature à assurer, selon nous, le bien de la majorité

connues. La légende de la bataille du pont Milvius (312) permet seulement de dire qu’après sa victoire sur Maxence, l’empereur s’est considéré comme chrétien, mais ne s’est fait baptiser que sur son lit de mort. En 313, Constantin règne en Occident et Licinius en Orient. Les deux empereurs se rencontrent à Milan. Ils accordent la liberté de conscience et la liberté pour tous les cultes, dont le christianisme. Contrairement à son nom, ce texte n’est pas un édit mais un mandatum, c’est-à-dire une circulaire

politiques de l'aristocratie gallo-romaine au sein des récents royaumes barbares. La plupart de ses lettres sont adressées à de nombreux dignitaires ecclésiastiques comme c'est le cas ici avec Loup évêque de Troyes. Depuis 313 et la rencontre de Licinius et Constantin Ier à Milan où ils s'accordent tous deux sur une politique de tolérance, les chrétiens peuvent exprimer leur religion. Nonobstant cela, Troyes est un évêché depuis 271 et la venue du grec Savinien, premier apôtre du christianisme dans

rapportés par Vincent Puesch dans son oeuvre « Constantin : Le premier empereur chrétien »8. Selon Eric D. Nelson, Constantin le Grand « voulut la même unité organisationnelle dans l'Église que dans l'Empire »9. Dans cette démarche, Constantin et Licinius se sont rencontrés pour officialiser l'édit de Sardique, qui servit à mettre fin à une énorme persécution contre les chrétiens10. Cette persécution qui avait été adoptée par Dioclétien vers 303 av. J-C., selon Yann Rivière. Lors de cette «Grande