Licinius

aux harangues, les Rostres, qui avaient la forme d’une plate-forme dominant le Comitium. Depuis la Curie, les sénateurs pouvaient entendre les discours au même titre que le peuple dans le Comitium. Cependant, dès 145, avec un tribun du nom de Caius Licinius Crassus ou peutêtre en 123, avec Caius Gracchus, une nouvelle pratique est inaugurée: en parlant depuis les Rostres, au lieu de se tourner vers le Comitium et les sénateurs, l’orateur se tourne vers l'extérieur, c'est à dire vers le peuple. Ce retournement

favorisent le christianisme jusqu'en 361, et interdisent le culte païen en 391. L’Édit de Milan est un édit  établissant la liberté de conscience dans l'Empire romain et qui serait dû à Constantin (313). En fait, il s'agit d'un accord entre Constantin et Licinius, qui adoptèrent une politique religieuse commune à tout l'Empire; elle reconnaissait aux chrétiens la pleine liberté de culte et restituait les biens confisqués aux Églises. Théodose (Cauca, en Galice, 347 — Milan, 395). Empereur romain (379-395))

militaire et civile, ancien consul, princeps senatus et principal collaborateur de Dèce, mais il était déjà âgé de 70ans. Aussi à peine reconnu et avec enthousiasme par le sénat, heureux de voir l'un des siens sur le trône, il s'associa son fils Licinius Egnatius Gallienus, lui confiant la défense de l'Occident et gardant pour lui celle de l'Orient, par une vue très juste de l'ampleur des tâches qui incitait les esprits à accepter dès cette époque une certaine séparation entre les deux parties de

constantinien » Au IVe siècle , le christianisme devient une religion majoritaire qui part de l’Orient vers l’Occident. En 313, Édit de Milan : les empereurs Constantin et Licinius actualisent l’édit de Galère. Il donne toute liberté de conscience et de culte aux chrétiens. L’intérêt est de rallier le plus de chrétiens pour apporter la paix dans le royaume ; plus les divinités seront nombreuses dans l’empire, plus

frontière danubienne absolument cruciale, et elle était raisonnablement proche des frontières orientales. Constantin éprouva sa valeur en tant que forteresse quand elle fut le centre de la dernière poche de résistance dans la guerre menée par son rival Licinius et qu’elle résista. En 330, la Nova Roma fut officiellement fondée sur l’emplacement de Byzance. Cependant, la population appela communément la ville Constantinople (en grec, Constantinoúpolis, signifiant « la cité de Constantin »). La nouvelle

du christianisme 2temps : - Rome reconnaît l’existence d’une culture chrétienne - Rome va en faire une culture d’Etat 1) La licéité du culte chrétien reconnue par Constantin - 312-313 : 2 empereurs : - Constantin - Licinius Séries de conférences : Edit de Milan ⇨ reconnaissance officielle - 313 : politique de faveur fait suite à une politique de tolérance 2) L’Edit de Thessalonique de 380 - 380 : empereur romain d’Orient : Théodose Il prend à Thessalonique

centuriates mais sur présentation des précédents consuls. Pendant 150 ans, le Consulat était réservée aux Patriciat, mais en -367, après une nouvelle tentative de Sécession de la Plèbes, les lois licinio-sextiennes (du nom des tribuns de la Plèbe Licinius et Sextus), permettent à la Plèbe d’accéder au Consulat. - sont titulaires de l’imperium = pvr absolu de commandement civil, militaire voire judiciaire. - commandent les légions romaines - administrent la Cité. - sont juges sur le plan pénal

106 - 43) lui-mкme, fut violemment critiquй par ses adversaires pour avoir parlй grec а des Grecs au Conseil de Syracuse. Voici son tйmoignage dans les Verrines (en latin :In Verrem, «Contre Verrиs», Livre quatriиme) а propos du procиs contre Caius Licinius Verrиs: Il [Verrиs] considиre comme un comportement indйcent le fait d'avoir pris la parole devant un sйnat grec : s'кtre exprimй en grec devant des Grecs, voilа qui est absolument inadmissible. Je lui ai fait lа rйponse que je pouvais, que je voulais

494 => 1ère concessions des patriciens : concilia plébis et tribuns de la plèbe. - 377 : Nvelle cesset° de la plèbe, 2 tribuns (Licinius et Sextius) ont paralysé les institutions par leur droit de veto obligeant les patriciens de transformer les plébiscites en lois et de donner l’accès aux plébéiens aux hautes magistratures => compromis proposé par les tribuns : Licinius et Sextius, qui sont à l’origine d’un projet de loi constitutionnel qui permet l’accession de la plèbe au consul en 367 avt JC

aux harangues, les Rostres, qui avaient la forme d’une plate-forme dominant le Comitium. Depuis la Curie, les sénateurs pouvaient entendre les discours au même titre que le peuple dans le Comitium. Cependant, dès 145, avec un tribun du nom de Caius Licinius Crassus ou peutêtre en 123, avec Caius Gracchus, une nouvelle pratique est inaugurée: en parlant depuis les Rostres, au lieu de se tourner vers le Comitium et les sénateurs, l’orateur se tourne vers l'extérieur, c'est à dire vers le peuple. Ce retournement