Limite d'élasticité

concentr´es P . La section droite e e e de la poutre est un caisson rectangulaire d’´paisseur constante. La limite ´lastique du mat´riau vaut e e e Re = 24 daN/mm2 . On demande de calculer : 1. le module de flexion de la section droite pour une flexion autour de l’axe OZ ; 2. la valeur Pe des charges que peut supporter la poutre en r´gime ´lastique ; e e 3. la valeur Pl des charges ` l’´tat limite plastique ; a e 4. le coefficient de forme de la section. 5.3.1 Solution 200 · 1903 188 · 1783 − = 2.596

I. Un élément AB de machine est constitué de deux pièces cylindriques coaxiales un cylindre plein [1] en acier, de section constante S1 et de module d’élasticité E1 un cylindre creux [2] en duralumin (alliage d’aluminium), de section constante S2 et de module d’élasticité E2. Leur longueur commune est L (fig. 1). Une charge F est appliquée à cet ensemble, entre les plateaux P1 et P2. Le poids propre des cylindres est négligeable devant les autres forces

la force appliqué S la surface. Exemple : Eprouvette 1 : Calcul de S : nous avons confectionné des éprouvettes de diamètre 11cm et de hauteur 22cm. S = Π X 55² = 9503,32 mm² Donc Nous pouvons déterminer le module d’élasticité : Nous réalisons les même calcul pour la seconde éprouvette et on obtient : Courbes : II. Essai de flexion a) Traction par fendage Nous avons réalisé cet essai sur éprouvette de

niveau de l’épaisseur afin de voir la variation de contrainte et de déformation sur celle-ci. Mais on a décidés d’en mettre environ 8 pour être plus précis sans surchargé les calculs pour le logiciel. Enfin, il faut mettre en place les conditions limites. On a donc appliqué une pression sur la partie interne du réservoir (ici 20 bars, soit 2 Mpa afin de pouvoir comparer les résultats obtenus à ceux qu’on a trouvé expérimentalement). De même, pour la partie externe, qui est à la pression atmosphérique

Calcul des sollicitations dans les chaussées souples Introduction • Fonction principale de la chaussée: distribuer la charge induite par le trafic • Vérifier que les contraintes et déformations engendrées à l ’intérieur de la chaussée et transmises à l ’infrastructure sont en dessous des valeurs tolérables par les matériaux • Déformations qui sont principalement élastiques, mais aussi plastiques et visqueuses. Détérioration de la chaussée par l’action des charges lourdes Introduction

les facteurs qui influent sur le rebond : - le coefficient d'élasticité de la balle (j’en suis pas sûr parce que j'ai pas trouvé beaucoup de renseignements dessus) - le coefficient de restitution (balle/sol) - la vitesse initiale - la hauteur à laquelle on l'a lâché - sa masse y'a quelque chose d'autre? Peut on introduire l'énergie cinétique? Vous connaissez des valeurs de coefficient de restitution ou de coefficient d'élasticité? (J’en ai trouvé qques unes sur wiki mais pas grand chose)

c’est orienté vers un noyau de 5 plis de contreplaqué de bouleau de 3mm d’épaisseur. Le choix du bouleau n’est pas anodin, en effet, c’est une essence qui a une très bonne résistance à la flexion (entre 120 et 144 N/mm²) et également un module d’élasticité élevé (entre 13300 et 16200 N/mm²). Entre chaque plis de bois, est incorporé un pli de mat de verre 300g/m² afin de solidifier l’ensemble. Le mat de verre à également pour objectif l’augmentation de la résistance en flexion. J’ai hésité en du mat

2012-2013 Compte Rendu n : 3 en Réalisé par : IIA 3/2 TP n : °3 Etude des contraintes dans un cylindre à paroi mince I. Objectif : Dans ce TP on va étudier les contraintes dans un cylindre à paroi mince à partir des déformations du cylindre qu’on va mesurer à l’aide du pont d’extensométrie. II. Détermination du module de Young : i. Description du système : Le système est constitué d’un cylindre sur lequel on a mis un pont d’extensomètrie, et accompagné

différents modèles qui s’attachent à décrire le phénomène en fonction de la surface de contact, de la pression, et des caractéristiques des matériaux. Dès 1881, Hertz s’intéressa au contact entre deux sphères lisses, en définissant un module d’élasticité caractérisant la déformation des deux sphères, et ainsi la surface de contact. En 1964, Shlykov et Ganin ont mis au point un modèle semi-empirique pour des métaux de surfaces planes et rugueuses, en supposant que le rayon des microcontacts

à épargner = Propension marginale à consommer + propension marginale à épargner = 1  Elasticité comme rapport d'accroissements relatifs : L’élasticité s'obtient en faisant le rapport entre 2 taux de variation ; on obtient un coefficient d'élasticité. Le coefficient d'élastcité mesure de quelle façon une variable réagit à la variation d'une autre variable. En général, on mesure l'élasticité de la consommation par rapport au revenu (une variation du revenu fait varier la consommation) ou l'élasticité