Limites Des Depenses Publiques

■ Théorie des finances publiques Opposition entre finances publiques classiques et finances public moderne se fait sous 3 angle: idéologique, politique et les masses budgétaires ☆ finances publiques classiques Égalité d'équilibre, équilibre comptable égalité mathématiques. - idéologique: le libéralisme est dominant l'État est neutre abstentionniste. Il gere les tâches régaliennes. - politique: on assiste à un régime parlementaire où les représentants avaient tous les pouvoir financier:

ECONOMIE DES FINANCES PUBLIQUES INTRODUCTION : L’Economie des finances publiques est une analyse de l’intervention de l’Etat sur l’économie à travers un budget. Le budget de l’Etat décrit pour une année civile l’ensemble de ses ressources et de ses dépenses. Pour comprendre pourquoi l’Etat intervient, il est nécessaire de procéder d’abord à la présentation de son budget, ensuite l’utilité de l’action Etatique sera examinée à travers des théories budgétaires libérale et interventionniste

construction Européenne 3 La Banque Centrale Européenne 5 Le plan d’assouplissement quantitatif 5 Les finances publiques 6 Fonction de redistribution 8 Le multiplicateur économique 9 Le budget 9 Le programme de stabilité 10 Son rôle 10 Que doit-il contenir ? 11 Qui effectue le contrôle et l'évaluation ? 11 Le budget fédéral 11 L’exposé général 12 Le budget des voies et moyens 12 L’exposé général des dépenses 12 Le cycle budgétaire 13 Le budget européen 13 Les différents niveaux du budget de l'UE 14 Comment

Conclusion partielle * DEUXIEME CHAPITRE : APERÇU SUR LA POLITIQUE MONETAIRE ET LE NIVEAU GENERAL DES PRIX EN RDC, DE 1998 A 2009 * Section1: La gestion de la politique budgétaire en RDC de 1998 à 2009 * 1.1. La gestion des finances publiques en RDC. * 1.2. Les instruments de la politique budgétaire utilisent en RDC * 1.4. Objectifs des instruments de la politique budgétaire utilise en RDC * 1.5. Efficacité de la politique budgétaire en RDC * Section

déficit public lorsque les dépenses publiques pour une année sont supérieures aux recettes publiques, le solde des finances publiques est alors négatif. Chaque année, ces administrations publiques perçoivent des ressources (impôts et taxes, et autres recettes non fiscales...) et payent des dépenses pour la collectivité (salaires, prestations...). Lorsque ces dépenses sont supérieures aux recettes, un déficit est constaté. Pour financer ce déficit, les administrations publiques doivent s'endetter. Concrètement

et résoudre le problème du chômage, faut-il réduire – ou faudrait-il au contraire augmenter – les salaires, les prestations de sécurité sociale (allocations de chômage, pensions, remboursements de soins de santé, allocations familiales), les dépenses publiques (enseignement, culture, travaux publics, …) ? En d’autres termes : faut-il continuer à mettre en œuvre des politiques restrictives d’inspiration néo-libérale (comme on le fait depuis le début des années 1980) ou faut-il au contraire préconiser

1: L’intervention de l’Etat dans l’économie. I- l’intervention de l’Etat dans l’économie A- La conception libérale (A.Smith) A l’origine le libéralisme prône la théorie de l’Etat Gendarme qui est un Etat minimal dont l’intervention se limite aux fonctions régaliennes qui sont la justice, la défence national et la police. Un interventionnisme économique est justifié par l’existence de défaillance des marchés ou la concurrence ferait défaut et par l’existence de biens collectifs. Les

INTRODUCTION : «  Pour l’entretien de la force publique et pour les dépenses d’investissement une contribution commune est indispensable ; elle doit être également répartie entre les citoyens en raison de leurs facultés » « La société a le droit de demander compte à tout agent de son administration ». Voici deux dispositions fondamentales en matière de finances publiques proclamées au lendemain de la Révolution française lors de la Déclaration des droits de l’homme et du Citoyen de 1789[1]

Dissertation Quelles solutions pour la dérive des dépenses de santé ? La prise en charge collective des dépenses de santé, qui permet d’assurer une meilleure égalité des citoyens face à l’offre de soin, se heurte à un phénomène d’augmentation récurrente du montant de ces dépenses. En France, depuis les années 1960, la part des dépenses de santé dans le produit intérieur brut a été multipliée par trois. La dépense totale de santé (DTS), indicateur utilisé pour les comparaisons entre les pays

Japon, et sur l’année 2009 pour les autres pays. Ce document nous provient de l’OCDE, qui est plus précisément l’Organisation de Coopération et de Développement Economique. Le second document est une sorte de graphique, présentant le financement des dépenses de Recherche et Développement en 2009 pour plusieurs pays avec des données également en pourcentage et des données venues de l’OCDE. Puis le troisième et dernier document s’agit d’un rapport du Sénat sur le bilan de la réforme et l’évaluation de