Limites Et Vertus Du Comique

TEXTE 4 : DOM JUAN, SCÈNE D’EXPOSITIONIntroduction Un an après avoir écrit Tartuffe , Molière publie une nouvelle pièce relevant à la fois de l’esthétique classique et baroque, Dom Juan , dont le personnage principal est caractérisé par son hypocrisie ainsi que par son côté manipulateur et séducteur. Malgré l’immense succès de cette pièce, elle cause un grand scandale et tombe dans l’oubli durant de nombreuses années avant d’être redécouverte

continuer à croire qu'une certaine forme d'intelligence est nécessaire pour user de ces déclencheurs de rire définis par Freud comme tels: le trait d'esprit, l'humour et le comique. Quels sont les thématiques du rire? Tout est-il sujet à la dérision? Nombre d'humoristes, dessinateurs ou artistes divers tentent de repousser les limites du tabou, ou du politiquement correct toujours plus loin. Voilà pourquoi la majorité de ceux-ci se placent derrière le regretté Pierre Desproges, grand humoriste des années

importance surdimentionné au paraitre. Trivelin demande donc a Euphrosine d’avouer les propos de Cléanthis, ce qu’Euphrosine reconnais avec réticence. Cette fois, Trivelin demande a Arlequin de dresser le portrait d’Iphicrate. Arlequin, personnage comique, est moins agréssifs dans ces propos, mais reconnais tout de meme les tares de son maitre ce que Iphicrate peine a accepter. Apres leur entretien avec Trivelin, Cléanthis et Arlequin jouent la comédie de l’amour galant des aristocrates mais tous deux

Les vertus du rire Un fou rire, rien de tel pour voir la vie en rose ! Pourquoi ces soubresauts de bonheur font-ils autant de bien ? Comment fonctionne ce processus aussi agréable qu’imprévisible ? Physiques et psychologiques, voici tous les bienfaits du rire. Le rire révélateur de personnalité : Quoi de plus communicatif que les éclats de rire de ta voisine de cours ou même ceux d’un inconnu dans la rue ? L’humour dit "sain" (en opposition à l’humour noir) provoque un climat de confiance

puissance de l’aristocratie et de la bourgeoisie ne laisse pas indifférent certains auteurs de ce siècle se servant de leurs œuvres pour dénoncer les vices de ce siècles. On peut bien évidemment penser à Molière et ses nombreuses pièces de théâtres comiques tel que Le Malade Imaginaire ou Dom Juan. La représentation théâtralisée de l’humanité à laquelle recourt La Bruyère peut sembler pertinente pour l’instruction du lecteur et la correction, mais elle peut aussi ne pas l’être. Jean de La

silènesIntroduit le participe passé « faisant » apposer au sujet Alcibiade Apposer à Socrate Évoqué pour définir Socrate montre l’admiration qu’éprouve Rabelais pour le philosophe Philosophique entre plusieurs personnages sur le thème de l’amourMélange de comique et de SérieuxLe livre porte un intérêt à l’Antiquité Elle met en abyme puisque l’exemple d’Alcibiade contient l’exemple des silènes qui sera longuement décrit.Le narrateur exprime l’extérieur des boites Donne un aspect rigide a la phrasePermet aux

verrons dans un premier temps le genre théâtral comique, sa fonction première, son originalité puis nous étudierons l’utilisation de la comédie comme moyen de dénonciation des mœurs et enfin nous essaierons de voir quelles sont les limites et l’impact de la comédie de nos jours. La comédie existe depuis l’antiquité, c’est un genre théâtral ancien qui a toujours trouvé sa place dans le cœur des lecteurs et spectateurs. Le premier auteur comique que l’histoire connaisse est grec : il s’appelait

Au XVIIème siècle, sous le règne de Louis XIV, Molière compose de nombreuses pièces de théâtre comiques et dramatiques. Une œuvre de Pierre l'Arétin de 1542 dénonce la naïveté des bourgeois fasse aux flatteries des autres. Elle s'intitule Lo Ipocrito et elle est similaire à l'extrait étudié de la pièce de Molière : Tartuffe ou l'Imposteur datant de 1664. Molière, de son vrai nom Jean-Baptiste Poquelin, est un dramaturge et acteur de théâtre français du XVIIème siècle (1622-1673). Fils d’un tapissier

d’amour contrarié qui se termine heureusement), les personnages (de rang médiocre ou simples nobles, pas de rois etc.), l’intrigue (avec un noeud), le style (médiocre, pas emphatique). Le rire n’est pas indispensable, plutôt l’émotion, mais le comique est l’attrait principal. Le but est de peindre le réel, d’instruire le spectateur. Mais écarts avec la vraisemblance fréquents et prétentions morales sont bien souvent des précautions prudentes. Bref, une tradition héritée de la comédie latine

rire fait recette », fait le tour du commerce du comique et analyse sa place dans notre société. Quant à l’essai d’Olivier Mongin, De quoi rions-nous ? Notre société et ses comiques, il tente de comprendre, en 2006, le succès de Jean-Marie Bigard. Enfin, Le Schpountz, une comédie de Marcel Pagnol datant de 1938, met en scène le personnage d’Irénée qui se désole de faire rire. Il aborde, par la même occasion, les clichés qui courent contre et le comique. On peut ainsi s’interroger sur la place du rire