Limites Principe De Juridicité

Le Code général des collectivités territoriales (largement annoté) Introduction On exclu le droit de la fonction publique, le droit administratif des biens et les institutions administratives de ce cours. Ce cours a pour objet : o L’étude du principe de la légalité o L’étude du contentieux administratif o Les actes administratifs o Les contrats o La police administrative o La responsabilité administrative Section I: Définition du Droit administratif C’est le droit applicable à l’administration

distribution du pouvoir en Europe ne va plus être centralisée à l’empereur. Chaque royaume va avoir autant de pouvoir que ses voisins. 3ème conséquence : L’organisation des royaumes ne se fait plus autour du souverain mais de plus en plus autour du principe des nationalités. Désormais on a des nations européennes avec des sensibilités nationales différentes. Renan a développé la théorie de l’âme de la nation. On met en place des organisations européennes. Au 19ème siècle on parle du concert européen

L’Etat devient le garant de l’ordre économique, d’un certain nombre de principes ayant des répercutions économiques. Le droit public a donc vieilli, il est donc rentré en mutation, le CE par exemple va avoir recours à des critères économiques. (Différence entre marchés publics et délégation de service public). Il y a évolution aussi car le CE a décidé de faire primer l’efficacité de la régularisation des marchés sur certains principes juridiques traditionnels. (ex : en matière de sanction administrative

administratif recherche si l’acte administratif édicté relève d’une autorité administrative. Une hésitation concerne les actes pris par les organes administratifs des assemblées. L’application du critère organique qui avait été la position de principe au départ, semble aujourd’hui céder le pas à un critère matériel. Une ordonnance du 17 novembre 1958 a prévu que les mesures individuelles prises par les assemblées parlementaires à l’égard du personnel des assemblées parlementaires ont un caractère

circonscrire les limites externes de son objet » (p. 365). Poser le problème de cette manière, c'est reconnaître qu'il s'agit là d'un problème philosophique fondamental. Sa solution ne relèvera donc pas des apports de la recherche empirique. Le consensus gentium fut considéré par une tradition puissante de la culture judéo-chrétienne, gréco-latine et en particulier par la philosophie rationaliste du siècle des lumières, comme une donnée immédiate de la conscience, comme principe a priori. Le vrai

règle de morale est la conscience, contrairement à celle de la règle de droit, qui est extérieur et exercer par la force publique. Ainsi derrière toute règle de droit, il se cache une règle de morale. Parfois, une règle de morale finit même par être juridicité (ex : bioéthique). Ses caractéristiques sont qu’elle est obligatoire, générale et impersonnelle contrairement à une décision juridique qui vise un individu ou un groupe (ex : permis de conduire donner à un individu sur la base de la règle de

ensemble abstrait ou sont comptabilisés la totalité des biens des créances et des dettes d'une personne. ens de droit et de dettes= universalité juridique, tte pers a un patrimoine = tte pers n'a qu'un patrimoine principe d'unicité du patrimoine. Les creanciers de cette pers ont en principe comme gage generale l'ens de l'actif patrimoniale de cette pers. Notion de patrimoine tjrs source de contestation. art 284 du code civil. La loi admet ue certains pro puissent sinder leur patrimoine au service d'activités

sont influencées depuis quelques années par des sources importantes et nombreuses d’origines internationale (les conventions notamment), mais aussi par un phénomène de constitutionnalisation des règles de procédure. Ce mouvement se traduit par le principe du droit au procès équitable qui se retrouve dans chacune des branches du droit des procédures. Mais on ne peut pas réduire ces sources communes au seul droit au procès équitable. Un certain nombre de courants doctrinaux ont jugé nécessaire d’élaborer

ce sont « des systèmes 4. Parmi les travaux récents sur la question, lire notamment : L. Fontaine (dir.), Droit et pluralisme, Bruxelles, Bruylant (Droit et justice, n˚ 76), 2008 ; E. Leroy, « Le pluralisme juridique aujourd’hui ou l’enjeu de la juridicité », Les pluralismes. Cahiers d’Anthropologie du droit, p. 7 sq. ; J. Vanderlinden, « Vers une nouvelle conception du pluralisme juridique », RRJ Droit prospectif, n˚ 2, 1993, p. 573 sq. ; J. Vanderlinden, « Trente ans de longue marche sur la voie

services publics ? Le tribunal civil est incompétent. ( 1ère question) L'administration a la possibilité d'imposer ses décisions administratives sans recourir à l'accord du juge du fait de ses prérogatives. Le tribunal des conflits pose pour principe que le juge administratif a pour compétence de déterminer la responsabilité adminstrative. C'est le caractère exorbitant du droit administratif (2Ème question) I- le service public comme critère de la compétence juridique le service public