Linguistique comparée

| |Mon principal objectif était d’identifier l’interlocuteur et sa demande en adaptant ses capacités relationnelles, voire linguistiques… Ma tutrice ma | |donner comme tache d’accueillir avec soin chaque visiteurs durant sont absence et de consigner chaque visite reçue dans un fichier informatique. | |Résultats obtenus : Productions et/ou prestations réalisées -

cours des 3 cycles des compétences linguistiques et communicationnelles. Le langage oral permet au langage écrit. B/ La notion de situation On distingue 2 types de situations : la situation à objectifs langagiers et la situation fonctionnelle. L’enseignant peut fournir aux élèves des échanges très diversifiés en faisant varier différents paramètres : taille du groupe, thème abordé, nature du référent, nature de la tâche langagière, fonctions linguistiques dominantes, organisation matérielle

L’ethnométhodologie de Harold Garfinkel L’analyse conversationnelle de Harvey Sacks Les paradigmes de l’action collective ou de l’action individuelle sont autant de formes d’interactionnisme. Sociolinguistique La sociolinguistique est la partie de la linguistique ayant pour objet l'étude du langage et de la langue sous leur aspect socioculturel. Déterminisme * Le déterminisme est une notion philosophique selon laquelle chaque événement est déterminé par un principe de causalité. | Définition Le

que l’on se fait du phénomène, et sur ce qu’implique notre rapport à l’écrit. Lire et écrire n’implique pas seulement la maîtrise d’une technique de conversion de l’oral en écrit, « c’est tout autant reconnaître dans l’écrit à la fois un objet linguistique, un objet culturel, un objet social, donc un objet dont on use de manière instrumentale certes, mais aussi qui nous oblige à réfléchir à ses usages et à sa composition, un objet qui permet d’agir et un objet sur lequel se porte notre réflexion

liens qui existent entre la construction de la réalité sociale (la communauté d'interprètes), la stabilité de l'ordre sociale et l'intégration sociale au niveau de ce qu'on appelle les actes de langage. Charles Sander Peirce développe le tournant linguistique en tenant compte de l'utilisation du langage, de la catégorie de la communication ou plus généralement de l'interprétation des signes comme étant le centre de sa philosophie, et Habermas tente de le mettre au centre de la théorie sociale.« Les

Hypothèse 1 : La faible production à l'oral en langue française est due au niveau bas des élèves en langue française. Hypothèse 2 : Cette baisse de niveau se limite en ce qui suit : A- Obstacles linguistiques (le système phonologique français est différent de l'arabe – le schéma syntaxique – le manque de structures – la pénurie de vocabulaire). B- Obstacles psychiques : (l'absence de la motivation - la peur – la timidité). C- Obstacles socioculturels

fonctions) Introduction 1) Le langage repose avant tout sur un paradoxe : de la même manière qu’il n’est pas nécessaire de connaître la biologie pour savoir respirer, il n’est pas nécessaire de connaître la linguistique pour savoir parler 2) La définition standard de la linguistique est la suivante : « science qui étudie le sens permanent des mots et leurs origines 3) Il est impossible d’étudier la nature du langage sans en tirer les conséquences sur la nature de la réalité. Thomas Swaz

D’APPRENDRE UNE LANGUE IV.2 RESULTATS SUR LES APPORTS DE L’INTERNET V.SYNTHESE REFERNECES BIBLIOGRAPHIQUES: * Baston,Cr(1981).Communication,la nouvelle communication(PP.116-145).Editions de seuil * Benveniste,E.(1966).probleme,de linguistique generale I.Editions Gaillimard * Mangenot ,E(1998).Classification des apports d’internet s l’apprentssage des langues,ALSIC,133-146 * [Cosultable en ligne :http//www.google.com/espace pedagogique/] Introduction: Comme etudiante de FLE

Mais le pays basque n’est-il pas au contraire tristement célèbre pour le repli sur soi et sur les valeurs basques ? Il est bien paradoxal de voir à quel point une même langue peut unir comme un lien du sang et à la fois faire d’une communauté linguistique une totalité qu’aucun élément étranger ne peut et ne doit pénétrer. C’est peut-être ce paradoxe qui a poussé certains à regretter la multiplicité des langues . En effet, on pourrait se demander si le nombre incalculable d’idiomes n’auraient pas

écoles primaires et secondaires du Québec, sont en vigueur des programmes d’études pour lesquels les choix didactiques officiels en matière de grammaire reflètent la tendance internationale observée depuis plusieurs décennies dans les recherches en linguistique et en didactique des langues. Dans le monde scolaire, cette tendance a été nommée « nouvelle grammaire ». Les élèves formés selon le nouveau programme atteignent, à la rentrée 2004, les bancs des universités. On peut donc avancer que, au Québec