Linéaire Développé

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 Optimisation et LMI 2.1 Généralités . . . . . . . . . . . . . 2.2 Minimisation sans contraintes . . . 2.3 Minimisation avec contraintes . . . 2.4 Optimisation convexe . . . . . . . . 2.5 Programmation linéaire . . . . . . 2.6 Programmation semi-définie - LMI 2.7 Bibliographie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 1 2 7 13 23 28 28

le vecteur nul. On dit aussi que − → − → λ1 x1 + · · · + λp xp est une combinaison linéaire. Plus précisément, c’est la combinaison →, . . . , − →) de coefficients (λ , . . . , λ ). linéaire des vecteurs (− x x 1 p 1 p − → − → Une partie {x1 , . . . , xp } est liée si et seulement s’il existe des coefficients (λ1 , . . . , λp ) → +· · ·+λ − → non-(tous nuls) tels que la combinaison linéaire λ1 − x 1 p xp s’annule. En d’autres − → − → termes, une partie {x1 , . . . , xp

Chapitre 5 Algebre lineaire, enonces Lorsque la dimension est in nie, on admettra que tout sous-espace vectoriel d'un espace vectoriel possede des supplementaires et que tout espace vectoriel possededes bases. K designe toujours un corps commutatif. 1. Soit E un K -espace vectoriel. Soit F un sous-espace vectoriel de E . On de ni sur E la relation R suivante : (x R y) () (x ? y 2 F ). (a) Veri er que R est une relation d'equivalence. On note E 0 = E /F l'ensemble des classes d'equivalence pour cette

civilisation atteint. La place du Roi est spéciale : c’est un seigneur plus puissant que les autres et il possède un monopole et notamment celui de laine des moutons ce qui est mise en évidence par des tablettes d’argiles. Le linéaire A et le linéaire B : ce qu’on a décrypté c’est le linéaire B qui est une sorte de grec archaïque mais la langue du A n’est pas comprise mais il y a une écriture. Dans cette civilisation urbaine le roi semble jouer un rôle important et avoir eu un pouvoir assez modéré. §.2

Coefficients du binôme 8 3 Ensembles finis 10 4 Nombres complexes 12 5 Opérations 16 6 Groupes 17 7 Anneaux 23 8 Relations d’équivalence 28 9 Relations d’ordre 29 10 Propriétés de N 32 11 Propriétés de R 34 12 Suites récurrentes linéaires 35 13 Permutations 36 II 38 Arithmétique 14 Congruences 38 15 Pgcd 40 16 Relation de Bézout 42 1 17 Factorisation en nombres premiers 43 18 Propriétés de Q 44 19 Propriétés de Z/nZ 45 III 47 Polynômes 20 Polynômes 47 21

matières I Algèbre générale 1 Applications 2 Coefficients du binôme 3 Ensembles finis 4 Nombres complexes 5 Opérations 6 Groupes 7 Anneaux 8 Relations d’équivalence 9 Relations d’ordre 10 Propriétés de N 11 Propriétés de R 12 Suites récurrentes linéaires 13 Permutations 6 6 8 10 12 16 16 21 25 27 29 30 31 32 II Arithmétique 34 34 36 37 38 39 14 Congruences 15 Pgcd 16 Relation de Bézout 17 Factorisation en nombres premiers 18 Propriétés de Q 1 19 Propriétés de Z/nZ 40

erreurs de prévision . . . . . . 1.7.2 Décomposition de l’ erreur de prévision . . . 1.8 Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 Enoncés des exercices iv 3 Corrigés des exercices Table des matières 73 II La Programmation Linéaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

cm² 4- Calculer la distance BC et donner le résultat sous la forme BC = AC - AB BC 7  3  12  27 BC = 7  3 2  3 3  3 BC = 2  3 [BC] mesure 2  3 cm a  3 avec a entier. EXERCICE 3 : On considère l'expression E= x2 x 3 x 3 2 1. Développer et réduire E. E = x² - 3x + 2x - 6 + x² - 6x + 9 E = 2x² - 7x + 3 2. Calculer E pour x=3 , puis pour x=  2 2 Pour x = 3 Pour x = E = 2×9 213 E = 2×2 7  23 E=0 E = 7 - 7 2 3. Factoriser E. 2 E= x 2 x 3 x 3 E= x 3  x

l'intervalle [0 ; +[ en utilisant la méthode des inégalités successives. f est la fonction définie par f ( x)  3x 2 . f u x| x2 | 3 x2 v | X 3X On passe de x à f (x) en enchaînant la fonction « carré » u : x  x 2 suivie de la fonction linéaire v : x  3 x . Faire les flèches à la règle (en respectant bien la notation de la flèche à talon « a pour image », avec une petite barre). Bien respecter qu’il y a 2 fonctions. Bien mettre les flèches à talon. 1°) f ( x)   3 x  ; 2°) f ( x)  3

. . . . . . . Encodage des codes linéaires - Matrices génératrices . . . . . . . . . . . . Exemple : le code binaire de Hamming de longueur 7 Codes systématiques Décodage des codes linéaires - Matrices de contrôle Propriétés des matrices de contrôle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Codes linéaires Codes cycliques . . . . . . .