Liquidité

annexe, nous constatons que ces banques ont une importance d’activités aussi bien de collecte de dépôts que d’octroi de crédits. Toutefois, le montant des dépôts reste supérieur au montant des crédits. Ces banques ne courent donc pas un risque de liquidité, bien au contraire, elles maîtrisent ce risque. Analyse de la rentabilité des banques Dans un premier temps, nous utilisons le coefficient de rendement ROA (Return On Assets), qui permet d’apprécier la rentabilité des actifs des banques. Il s’agit

op ́erations intervenant entre les institutions financi`eres en cinq blocs. 3.2.2.1 Solde initial, flux mon ́etaires, position de liquidit ́e intra-p ́eriode Quelques pr ́ecisions s’imposent concernant la dimension temporelle de notre mod`ele. La notion de p ́eriode que nous utilisons d ́esigne forc ́ement le court terme, car nous nous int ́eressons a` la liquidit ́e et non `a la solvabilit ́e. Notre mod`ele repose donc sur la mod ́elisation des ́el ́ements d’actifs et de passifs `a court terme

Interaction du risque de liquidit´ avec le risque e de march´ dans le syst`me bancaire e e (une simulation sur le syst`me bancaire roumain) e Mihaela COSTISOR 13 novembre 2007 ∗ R´sum´ e e Dans cette ´tude nous analysons la transformation du risque de e liquidit´ en risque de march´ dans un contexte o` les actifs bancaires e e u sont ´valu´s aux prix de march´. A la diff´rence des mod`les existants, e e e e e nous supposons que la vente des actifs est justifi´e par la n´cessite de e e satisfaire

le taux du marché monétaire.  Cadre d’usage : Politique d'open market La Politique d'open market est utilisée, par une banque centrale d’un pays ou d’une zone économique et monétaire, à des fins de pilotage des taux d’intérêt, de gestion de la liquidité bancaire et d’indication de l’orientation de la politique monétaire. Les opérations d’open market de la Banque Centrale Européenne peuvent correspondre à des opérations monétaires de réglage fin (fine tuning) ou à des opérations structurelles avec

des réserves obligatoires constitue un instrument efficace de la politique monétaire. En effet, une hausse de ce taux crée un besoin de liquidité pour la banque l'obligeant à ralentir son activité; la restriction sur la distribution du crédit freine alors la progression de la masse monétaire. Cet effet est accentué par le fait que la situation de sous-liquidité conduit la banque à emprunter sur le marché monétaire. Ainsi, l'excès de demande sur ce marché favorise la hausse des taux d'intérêt qui

suivants: CAPM (Sharpe 1964 et Lintner 1965) Modèle à trois facteur de Fama & French (1993) (Marché, SMB, HML) Modèle de Fama & French augmenté d’un facteur de liquidité (Pastor – Stanbaugh facteur) (2003) Modèle de Fama & French augmenté d’un facteur lié rendement antérieur (WML) Modèle de Fama & French augmenté des facteurs de liquidité et du facteur lié au rendement antérieur Modèle CCAPM de Rubinstein (1976) (Facteur lié à la croissance de la consommation) Modèle de Fama et French à trois facteurs

au titre des avoirs et liquidités détenus à l’étranger, ont été instituées par la loi de finances 2014 en vue de la régularisation de la situation des résidents au regard de la législation et de la réglementation en vigueur. II- ECONOMIE DE LA MESURE Les dispositions relatives à la contribution libératoire visent à permettre la régularisation de la situation des personnes physiques et morales ayant la qualité de résident, qui ont constitué des avoirs et liquidités à l’étranger sans se conformer

la politique monétaire II. La politique monétaire marocaine : 1. Le passage de la répression à la libéralisation  La période de répression  La période de la libéralisation 2. La conduite de la politique monétaire  Les prévisions de la liquidité  Les interventions de BANK AL-MAGHRIB. Introduction : Traditionnellement la politique monétaire était perçue comme une composante à part entière de la politique

massivement des liquidités sur le marché monétaire, en baissant les taux d’intérêts et en ramenant les taux directeurs au plus bas. Mais ces solutions seront-elles suffisantes pour sortir de cette crise ?La BCE (Banque Centrale Européenne) et la FED aux USA (Federal Reserve System) ont mis en œuvre différentes actions pour tenter de limiter les effets de la crise économique actuelle en s’adaptant et en innovant sans cesse face à cette crise. Notamment en injectant massivement des liquidités sur le marché

Économie monétaire. II. Les limites de la création monétaire → les liquidités bancaire. A. Définition et besoins de liquidité bancaire. La banque met a disposition des moyens de paiements aux agents. Cette liquidité est une monnaie spéciale qui va servir dans les réglements entre banque et banque centrale. Réglements fait au profit d'une autre banque et qui proviennent des opérations de réglements entre agen ts non financiers. Ex « Je paye l'un de mes salariés, mon compte va