Lire italienne

encore surveillé par les yeux des gendarmes. Maurice voit cette scène et il comprend que Joseph a un petit problème. Joseph demande à son père présumé l'heure qui a l'air surpris parce qu'à la station, il y a une grande horloge. L'homme lui dit de la lire et quelques instants après, les gendarmes leur tournent le dos et Joseph peut rejoindre Maurice. Mais dans la gare il y a plein de contrôles et plein de gens sont arrêtés. Joseph et Maurice sont en train de réfléchir ce qu'ils doivent faire quand le

lequel nous vivons alors nous avons une chance de le changer. Si on vit replié sur soi, à la poursuite de ses minuscules plaisirs quotidiens, le monde peut changer et peut être un jour nous menacer et nous broyer. Comme il a broyé les allemands, les italiens, les russes, les chinois, citoyens de pays passés sous un régime totalitaire, où les vies individuelles n'ont plus de prix. C'est à cela que fait allusion le titre "Matin brun" car le brun est la couleur des fascistes allemands et des SA qu'on appelait

surtout les innombrables transpositions du vécu dans l’œuvre permettent d'imaginer ce que fut la singulière réalité de cette vie tourmentée. Il est né dans une famille désunie. Son père, qui eut peut-être des ascendances polonaises, hongroises ou italiennes, on ne le sait trop, était le fils d'un pasteur protestant. Ce dut être un assez étrange personnage. Magistrat, conseiller criminel et commissaire de justice à Insterburg, il ne fit qu'une très modeste carrière. Il écrivait des poèmes, composait

Georges Les italiens: Caro San Jordi Les espagnols: Querido San Jordi St Georges : …quan hagueu acabat de llegir aquesta carta. Les francais: Quand tu auras terminer de lire ce courier Les italiens: Quando avrai finito di leggere questa lettera Les espagnols: Quan hayas terminado de leer esta carta Saint Georges: Estareu mort. Les francais: tu seras déjà mort ! Les italiens: Sarai morto ! Les espagnols: Estareis muerto ! Saint Georges: Firmat... Les francais: signé Les italiens : Firmato

allait, comme un page, le premier clerc de l’Étude, un petit bossu nommé Jean Butscha. Quand ces quatre personnages, dont deux au moins faisaient ce chemin tous les soirs, arrivèrent au coude de la route qui tourne sur elle-même comme celles que les Italiens appellent des corniches, le notaire examina si personne ne pouvait l’écouter du haut d’une terrasse, en arrière ou en avant d’eux, et il prit le médium de sa voix par excès de précaution. » […] (Balzac, incipit de Modeste Mignon, 1844). POINT

Hagetmau à Menton en passant par Marseille où ils se retrouvent avec leurs frères. Malheureusement, ils ne peuvent pas rester longtemps. Ils fuient à Nice où toute la famille se réunit. Nice est occupée par l’armée italienne, l’Italie est un pays allié des Allemands. Entre temps, les Italiens quittent la France, mais les Allemands sont là. De nouveau les Joffos doivent s’en aller. Joseph et Maurice vont à un camp tout près de Nice appelé « Moisson Nouvelle ». Les parents, eux, se cachent à Nice. Tout

enfuis en 4) Zut, j’ai oublié de télécharger ma musique sur mon ! 5) L’e-mail, c’est son seul avec sa famille. 6) Tu connais des sur les Italiens ! 7) Je ne peux pas téléphoner ici, il n’y a pas de 8) A Paris, on voit souvent des dans les rues. 9) Il y a eu un accident Grave. Appelle les 10) Le

Costa Lumières Dominique Fortin LES FAUSSES CONFIDENCES Marivaux Dossier pédagogique MAISON DE L’ÉDUCATION MAISON DE L’ÉDUCATION LES FAUSSES CONFIDENCES Marivaux Biographie Le texte Les sources © Marc Daniau L’influence des Italiens L’argument La construction de l’œuvre L’analyse des personnages L’analyse des thèmes Mise en scène Didier Bezace Assistance à la mise en scène Dyssia Loubatière Scénographie Jean Haas Lumières Dominique Fortin Costumes Cidalia Da Costa La dramaturgie

liminaire a été courante dans les siècles passés. Elle semble tomber en désuétude de nos jours, peut-être parce qu’elle manifesterait narcissisme ou prétention. En effet, les préfaces ont d’abord eu pour fonction de promouvoir le livre et son auteur. Les Italiens, assez caustiques, ont affublé la préface du surnom de salsa del libro, la sauce du livre. Plus cette sauce est relevée, plus l’ouvrage sera lu. La préface doit piquer la curiosité du lecteur, exciter son intérêt. Voltaire écrivait dans une lettre

dans la même ville (c’est le cas autour du Bazar) où on trouve la majorité musulmane mais aussi des chrétiens, des orthodoxes et des arméniens. Elles échangent aussi entre elles : les activités marchandes sont monopolisées par les nonmusulmans. Les Italiens, notamment, assurent l’approvisionnement de la ville. • Cependant la cohabitation comporte des limites : les communautés sont regroupées dans des quartiers spécifiques (on le voit à la localisation des lieux de culte) : les juifs s’établissent de