Liste des souverains de Bavière

fils de Jean sans Peur, s’attella à réunir et à augmenter ses possessions. Il acheta le Namurois en 1421 et vu que ses cousins ne laissaient pas d’héritiers, il reçu le Brabant et le Limbourg en 1430. Il reçu également de sa cousine Jacqueline de Bavière Hainaut, Hollande et Zélande en 1433 et le duché de Luxembourg de sa tante Elisabeth de Goerlitz en 1443. Il aida, en tant que régent, son neveu Louis de Bourgogne, dans la principauté de Liège. Charles le Téméraire, fils de Philippe le Bon, continua

du pape: 4 Quelle compétence pour le concile ? 6 Partie II : Des Faits 11 Le recourt au concile général aux travers des différentes crises des XIIIe et XIVe siècle. 11 Premières tentatives 11 Boniface VIII 11 Les papes d'Avignon et Louis de Bavière 13 Le Concile de Pise 15 Le Schisme 15 Le Concile 16 Le Concile de Constance dans l'optique de la légitimité : les événements importants 16 Les débuts 16 Premiers affranchissements 17 Grégoire XII 17 Benoît XIII 18 Sigismond et le concile

compétences à tel point que l'État est presque fédéral). La différence entre transfert de compétence et transfert de souveraineté est cependant parfois ténue. Juridiquement, être souverain, c'est avoir la compétence de la compétence : cela signifie en pratique que c'est celui qui définit qui a une compétence qui est souverain ; par conséquent, l'État restera unitaire s'il conserve le pouvoir de révoquer les compétences qu'il a transférées (juridiquement parlant, même si politiquement parlant, ce ne

l'Etat est un souverain qui s'autolimite. L'Etat transfère des compétences vers des entités infraétatiques car il ne peut pas tout faire (souci d'efficacité et de démocratie). Dans le cadre de l'UE, supranational S'auto limite car la Constitution conçoit qu'il y a des droits fondamentaux à respecter. Plus l'Etat a connu des expériences difficiles en termes de respect des droits fondamentaux, plus la Constitution va être penchée sur ces droits. Sur des droits imprescriptibles, inaliénables,

question qui est au cœur de la problématique ? Chapitre 1 : le prince et les arts à la fin du Moyen Age (1300-1520) Philippe Jansen Le portrait de Charles V fait par Christine de Pizan met en valeur les traits du nouveau modèle de souverain « sage », dont la vertu et la noblesse s’expriment autant par le goût artistique du collectionneur et la curiosité érudite pour les productions de l’esprit que par la bravoure militaire ou la capacité à administrer le royaume et ses sujets. L’art

prochaine, le pouvoir royal s’est considérablement renforcé pendant la fin du MA. Aujourd’hui, construction étatique dans l’Empire, où l’évolution est originale: pas de pouvoir du souverain fort, au contraire : pdt le MA, il devient de plus en plus faible : c’est paradoxal, puisqu’avec les Ottoniens et encore les Saliens, les souverains de l’Empire étaient beaucoup plus forts que les autres rois d’Occident. fPrq évolution différente ? D’autre part, quelle conclusion en tirer ? Est-ce qu’un pouvoir central

» Effectivement, pendant tout le mois de juin, Prussiens, Russes et Autrichiens se réunissent pour dresser la liste de leurs revendications à transmettre à Napoléon pour un retour à la paix : dislocation du Grand-duché de Varsovie qui serait partagé entre la Russie et la Prusse, cession de Dantzig, alors ville libre, à la Prusse, récupération de l’Illyrie par

Glaces du château de Versailles. Bismarck a atteint son but : l’unité allemande est achevée. Mais l’Empire est une fédération de 25 États réunis sous l’égide de la Prusse, et certains États conservent un particularisme très fort, comme la Bavière. Cette Bavière de Louis II, qui s’est fait octroyer par Bismarck des droits importants pour prix de son adhésion à l’Unité. En 1888, Frédéric III est couronné roi de Prusse et empereur d’Allemagne, mais il meurt d'un cancer trois mois plus tard, et son

mouvement. Ce mouvement de contestations va se propager dans toute l'Europe, en particulier en Allemagne, qui est composée alors d'un regroupement de royaumes de duchés et de principautés, ne formant que l'embryon d'un État: la Prusse, la Saxe, la Bavière, le royaume de Wurtemberg, le royaume de Hanovre...Il touche également l'Italie, l'Autriche. On assiste alors à un printemps des peuples européens, qui se matérialise par un immense espoir social et politique des populations. On peut donc se

l'expansionnisme des comtes de Luxembourg vers l'est. Le comte Henri est élu empereur en 1312. Son fils Jean épouse l'héritière du Royaume de Bohême. Les Luxembourg régneront sur l'Empire et le Bohême jusqu'en 1437 (sauf pendant le règne de Louis IV de Bavière). En 1354, Charles IV du Saint-Empire élève le comté et ses 'dépendances' (les comtés de Durbuy et de La Roche ainsi que le marquisat d'Arlon, notamment) au rang de duché. La Bohême et l'Empire passeront par mariage à la Maison de Habsbourg. La