Liste des souverains de Bavière

sur d’autres thèmes : ( Les relations étroites qui lient Eglise et les familles aristocratiques. ( Développement des études régionales. Pour la GERMANIE, le REICHSKIRCHENSYSTEM a fait l’objet de révisions : ( Avant, idée d’une mainmise du souverain sur les sièges épiscopaux. ( Aujourd’hui, idée de l’importance des stratégies familiales. On cherche à placer les cadets, consolider sa position, accroître son prestige. CONSEQUENCE : IL NE FAUT PAS SURESTIMER L’OPPOSITION ENTRE LAÏCS ET

Droit privé : ensemble de règles juridiques qui régit les relations entre individus Histoire de ces institutions > comprendre les institutions actuelles par l’histoire Etat : territoire, population, organisation politique qui exerce une autorité souveraine sur ce territoire et cette population. Jurisconsulte : Rome antique, légiféraient, ils considéraient l’Etat comme une fonction dans l’intérêt général. PB ? : Dans quelle mesure cette conception romaine de l’Etat s’est maintenue, et comment elle

bénédictine. C’est dans sa fondation mosellane qu’il sera inhumé en 739 et fera ultérieurement figure de saint national. Echternach connut un développement extraordinaire et continuera, après la mort de son fondateur, à jouir de la protection des souverains. Son rayonnement spirituel et artistique en fera une des plus puissantes institutions monastiques en Occident. De ses écoles monacales sortiront des manuscrits, textes saints enluminés, dispersés progressivement à partir du xviiie siècle. On estime

certains grd féodaux qui sont farouchement attachés a leur indépendance, qui veulent être indépendant vis-à-vis de l’empereur. On trouve des principauté laïques formant de véritables états aux mains de quelques grd familles de seigneurs : rois de Bavière, dynastie des Habsbourg en Autriche, la dynastie des Hohenzollern de Prusse (noyau dur de la future Allemagne unifiée). Ce sont des familles qui vont avec l’arrive des techniques modernes centraliser leur pouvoirs. A cote, on trouve des principautés

1er : LES FONDEMENTS THÉORIQUES Le pouvoir politique est indissolublement lié à toute forme de société humaine. Ce que l'on exprime sous la forme : Ubi societas, ibi potestas. C'est dans le cadre étatique qu'est élaboré la constitution par le souverain. Chapitre 1 : Le cadre étatique Aujourd'hui forme universelle du pouvoir politique, l'état n'appartient pourtant pas aux catégories absolues universelles, éternelles, immuables mais aux catégories historiques de l'organisation humaine. Autrement

caractérise par la contrainte légitime. Il a le pouvoir de faire du droit qui se caractérise par son obligation. Il s'exprime à travers son obligation. Il s'exprime à travers des ordonnances, décrets... Pour Bodin, « les 6 livres de la République » est souverain celui qui à le pouvoir de faire la loi. Ce pouvoir normatif est extrêmement nominatif. Mais le pouvoir de l'État n'est pas sans limite. Société libérale: Fixé des limites dans l'intervention de l'État. Constitution: Instrument de limite dans la fonction

des sujets du roi. Du 10e au 16e siècle, s’appuyant sur ce concept de “fonction royale, le roi de France, personnage à part parce que sacré (1), va progressivement reconquérir son autorité: la royauté, sera redevenue institutionnellement forte, souveraine et indépendante dès le 13e siècle (2). Le pouvoir royal se transmettra selon des règles bien précises (3), § 1. Le sacre Le roi de France sera durant tout le Moyen Âge un roi-prêtre1. Sur le plan des institutions publiques, ce caractère religieux

Etats allemands au Nord du Main, et ce après la dissolution de la Confédération germanique. Apparaît alors un nouveau dualisme, sans l’Autriche, qui divisa l’Allemagne entre la confédération d’Allemagne du Nord et une Fédération des Etats du Sud (Bavière, Baden, etc.) qui ne vit jamais le jour. L’adresse avec laquelle Bismarck réussit, par la dépêche d’Ems lors de l’affaire, à entraîner la France contre des Etats obligés de s’unir face à l’adversité, permit l’unification du Nord et du Sud autour de

rassemble alors sous son contrôle le Comté de bourgogne et le Duché de Bourgogne qui vont pendant un siècle suivre une destinée commune. Sous Philippe le Bon Philippe le Bon, fils unique de Jean sans peur et de Marguerite, fille du duc d’Albert de Bavière. Son règne s’étend de 1419 à 1467. Il sait se contenter d’un régime monarchique tempéré par les constitutions existantes. Il fait acquisition des comtés de Hollande et de Zélande et de la Seigneurie de Frise, en 1425-1433 : du duché de Brabant en

origine dans la volonté populaire. Le serment prêté à la charte révisée remplace le sacre, la formule juridique supplante le rite liturgique, un véritable régime constitutionnel inspiré du modèle anglais remplace un régime dominé par l’autorité du souverain ; l’orléanisme s’appuie sur le Parlement avec un système bicaméral prononcé. En matière économique, il prône un libéralisme excluant pratiquement toute intervention de l’État dans le secteur économique. À l’extérieur, les orléanistes mènent une politique