Lit de justice

pas à ce courant protestataire. C’est la comédie qui, sous le signe de l’amusement, aborde ces thèmes polémiques. En 1778, Pierre Augustin Caron de Beaumarchais écrit Le Mariage de Figaro, oeuvre théâtrale dans laquelle il exerce une satire de la justice, une critique des privilèges, et une critique de la situation de la femme à cette époque. La première représentation officielle aura d’ailleurs lieu en 1784, après plusieurs années de censure. Cet ouvrage fait partie d’une trilogie qui commence avec

limitations des terres de chacun. Les hommes se disputaient pour avoir leur bout de terrain. Chacun voulait le terrain qu’il avait commencé à cultiver en premier. Des règles ont donc dues se mettre en place et de là est né les lois et la justice. De cette justice, se fonde une société. Ainsi chaque homme qui appartient à une société, est donc un homme qui a de la culture. Il existe plusieurs sociétés différentes donc plusieurs cultures différentes. Chacune des sociétés vient différemment. L’homme

Fontaine tout est écrit de façon imagée. Cela lui permet de critiquer le pouvoir arbitraire de la justice du roi et ainsi faire remettre en question l’avis du lecteur sur la société dans laquelle il vit. Dans « Les animaux malade de la peste » chaque animal est l’allégorie des membres de la société du XVIIème siècle. Grâce à cette fable écrite de manière imagée La Fontaine a pu critiquer la justice qu’il trouve essentiellement mise au service des puissants et l’hypocrisie qu’il en ressort. Si par

le passé. Lion avec majuscule : personnification ainsi que sa femme. v2 : « aussitôt » + « accouru » → précipitation (caractéristique de servilité à l’égard du Roi). Narration rapide, immédiatement dans l’action. v3 : motif de l’empressement. Se lit avec vers 4 : long → prend de l’ampleur et montre la préoccupation. « S’acquitter » → montre le devoir et donc l’hypocrisie des courtisans. v4 : périphrase, c'est plus majestueux, solennel v5 : présent de vérité générale : vérité satirique. « surcroit

et établir la chronologie de ses derniers moments. Le « dernier jour » du condamné au sens strict débute à six heures. Trois quarts d’heure après, c’est la visite du prêtre puis, vers sept heures et demie, le transfert du condamné au Palais de Justice qui dure environ une heure. Dans la matinée, le narrateur rencontre le « friauche » et l’aumônier de la Conciergerie. À midi, il prend son repas, rencontre l’architecte de la prison puis un gendarme. Vers une heure et quart, l’aumônier revient

Augustin Caron aura de nombreux démêlé avec la justice qu’il l’accuse de corruption (juge Goesman). Il est envoyé en mission auprès de l’armée républicaine pour défendre les Américain à obtenir leur indépendance. Il édite les œuvres complètes de Voltaire et se fait construire une somptueuse demeure à Paris. Il participera également à la révolution française. Il se retrouvera ruiner à cause de la vie qu’il mène. Il s’exilera à Hambourg et mourra dans son lit en 1799. Dans la pièce Le mariage de Figaro

de la réalité pendants quelques instants, et de vivre une autre histoire, mais ceci restant de ma propre expérience personnelle. Il y a aussi le cadre spatio-temporel de l’histoire qui nous permet de nous échapper de la réalité. Quand le lecteur lit un livre d’Emile Zola, un auteur naturaliste, où l’écrivain essaye de tout décrire, sans opinion personnelle ni psychanalyse des personnages, on peut mieux s’imaginer la situation, de nous déplacer mentalement sur place. De plus, le fait que se soit

abandonner et renforcera son caractère au bagne de façon à haïr la société et ne plus éprouver le bonheur. Malgré tous, Jean Valjean devient un homme instruit au bagne et est fort et grand physiquement. Victor Hugo montre aussi l’acharnement de la justice par Javert qui suit à la trace Jean Valjean. Jean Valjean finis sa peine et fait une rencontre qui changera sa vision sur le monde. Cette personne Mgr Myriel l’évêque qui lui montrera qu’on peut pardonner et aimer la vie telle qu’elle se présente

S'il est jugé coupable, c'est la chaise électrique qui l'attend. Onze jurés le pensent coupable. Seul le dernier, un architecte, n'est pas certain de la culpabilité de l'accusé et émet des doutes. Le témoin oculaire dit avoir vu la scène depuis son lit de la fenêtre alors qu'elle n'avait pas ses lunettes. Le témoin auditif dit avoir entendu le corps tomber et le garçon crier "Je vais te tuer", alors que le bruit du métro ne le permettait pas. Et les failles de l'enquête, comme le couteau qui a été

rendre dans la chambre suivante dont la porte était déjà ouverte à deux battant” ou encore “Une blouse blanche pendait à la poignée de la fenêtre ouverte”. C’est un peu comme si cet espace se métamorphosait, en présence de ses fonctionnaires de la justice en une reconstitution de leur propre environnement. Il est ainsi pas difficile d’y voir un environnement carcéral et donc de relier par ex la chambre de JK à la représentaation symbolique d’une cellule, le salon de Mme GrubacH, cet espace de transition