Littérature de gare

y'a plusieurs cas de figures . . . . C'est vrai que beaucoup d'artistes avaient ce genre de probléme ! En peinture: Pollock était alcoolique, Warhol prenait toutes sortes de drogues psychedeliques, les impressionistes de l'absynthe . . . En litterature: Baudelaire: Opium, haschich ( je te conseille de lire les paradis artificiel qui est entierement consacré au sujet !) Sartre: de la mescaline Appolinaire: alcoolique . . . En peinture: Pollock était alcoolique, Warhol prenait toutes sortes de

rencontre par hasard Verlaine et lui fait part de sa décision, Verlaine abandonne tout et le suit à Bruxelles. En juillet 1872, Mathilde, accompagné par sa mère arrive à Bruxelles pour convaincre Verlaine de rentrer à la maison, celui-ci accepte mais à la gare il leur fausse compagnie et s'enfuit avec Rimbaud. Photo de Paul Verlaine C'est lors de leur passage à Ostende que Rimbaud voit la mer pour la première fois, ils partent ensuite pour Douvres puis Londres. Ils retrouvent là bas des communards exilés

m'efforce d'être présente, tout au plus une idée comme ça, de temps en temps, le souvenir de ces études de lettres classiques... Je lui parle d'un livre, il ne peut tout lire, ou dont j'ai entendu parler, vous savez comment les choses se passent. La littérature, c'est très important, pour mon mari et moi, moi tout particulièrement, mais mon mari aussi, bien évidemment... Entrée du mari de Poitiers. POITIERS. - Ah, mon mari. Mon mari. Je vous demande pardon, Hélène, excusez-moi. Mon mari. 7 Excuse-moi

(du 27 mai au 3 juillet), où les prétextes de scènes violentes sont nombreux. De nouvelles retrouvailles ont lieu à Bruxelles où, le 10 juillet 1873, dans un hôtel, Verlaine, ivre et excédé, tire 2 coups de revolver et blesse au poignet son ami; à la gare du Midi, Rimbaud, accompagné de Verlaine et de sa mère, et craignant une récidive de son amant, trouve protection auprès d'un policier. Verlaine est arrêté et condamné à deux ans de prison, en dépit de l'acte de désistement signé par Rimbaud à l'hôpital

dans une famille d’employés du chemin de fer, il obtient son diplôme des Hautes Etudes Commerciales et part au Maroc pour son service militaire, à son retour il étudie le dessin et la sculpture aux Beaux-arts de Dijon. Il travaille ensuite à la gare de Louhans et commence à publier des articles accompagnés de dessins dans la revue « la Vie du rail » (anciennement intitulée « Notre métier ») dans laquelle il publiera pendant plus de vingt ans notamment les chroniques des « voyages du professeur

Guy de Maupassant : Ce cochon de Morin. Texte publié dans Gil Blas du 21 novembre 1882, sous la signature de Maufrigneuse, puis publié dans le recueil Les contes de la bécasse. Texte d'origine : http://www.bmlisieux.com/litterature/maupassant/morin.htm CE COCHON DE MORIN à M. Oudinot 1 - Ca, mon ami, dis-je à Labarbe, tu viens encore de prononcer ces quatre mots, "ce cochon de Morin". Pourquoi, diable, n'ai-je jamais entendu parler de Morin sans qu'on le traitât de "cochon" ? Labarbe, aujourd'hui

au récit policier? Vous examinerez cette question en vous appuyant plus particulièrement sur les oeuvres suivantes de Simenon : L’Affaire Saint-Fiacre, Un échec de Maigret et Les Mémoires de Maigret ». Georges Simenon, un auteur belge de littérature française du XXème siècle, est réputé pour avoir rédigé la célèbre série du commissaire Maigret entre 1931 et 1972. Simenon raconte dans L’Affaire Saint-Fiacre, publié en 1932, le retour de Maigret dans son village natal afin d’élucider la mystérieuse

ville classique, mais à une autre échelle. Parmi ces monuments, le nou­ veau est mis en équivalence avec l'ancien, notamment autour de l'exaltation d'équipe­ ments collectifs comme la gare, l'opéra... Ces équipements collectifs donnent une aire de déploiement pour les trois pôles : privé, public, intime. Ainsi la gare, qui n'est pas seulement un espace fonctionnel où l'on va prendre son ticket. Elle se compose de façon duale. Les parapluies conçus par les ingé­ nieurs pour recouvrir les quais s'opposent

toile de fond la vie à la cour des Valois, dans les dernières années d'Henri II. Cette œuvre classique est considérée comme un des premiers romans d’analyse. Tournant dans l’histoire du roman à la période classique, il marque l’affirmation en littérature de la place des femmes dans la vie culturelle du xviie siècle. Avec la Princesse de Clèves, chef-d’œuvre de la préciosité classique, Marie-Madeleine de La Fayette, grande lectrice de Madeleine de Scudéry, se fait la digne représentante des idées

section Romances sans paroles, publiée en 1874, au moment même où les premières expositions impressionnistes apparaissent. C’est avec talent que Verlaine a réussi à se servir de ses influences et de son expérience afin de réunir la peinture et la littérature. A partir de cela, nous pouvons nous demander, dans quelles mesure l’art pictural du XVIIIème ainsi que des croquis impressionnistes ont-ils influencés Verlaine dans la rédaction de son recueil afin d’en faire une galerie d’art en vers. Afin de