Livre des Psaumes

passages qui manifestent un véritable phénomène d'osmose entre les textes de cet auteur d'un seul livre. Le cas de Wozzeck est des plus significatifs : la Suite de concert de Wozzeck, « entendue bien des fois », inspire à Jouve « La Fiancée », qui transpose le drame de Büchner en nouvelle ; après la première audition de l'ouvrage à Paris et les premières représentations à Salzbourg, Jouve conçoit son livre, puis il s'attache, avec Michel Fano, au détail de la partition de Berg, rédige l'essai, assiste

anges tiennent des phylactères énumérant les quatre vertus cardinales : humilité, espérance, foi, charité. A la gauche immédiate du Christ : les anges protecteurs A la gauche du Christ, on voit quatre anges.  Un premier (en haut à gauche) tient le livre de vie, fermé de sept sceaux, qui ne devait s'ouvrir qu'au Jugement dernier.  Un second (en bas à gauche) tient un encensoir.  Les deux derniers empêchent les damnés d'aller vers le Christ. Au-delà s'ouvre l'Enfer. On distingue deux niveaux : I

Commentaire composé: Le Curé et le Mort, de Jean de La Fontaine Introduction: Le Curé et le Mort, fable 11 du livre 7, fait partie du second recueil des fables de La Fontaine, qui contient des textes plus graves, plus réfléchis. Malgré la gravité du sujet, un accident de la route, cette fable est une petite scène de genre à l'humour léger, inspirée d'une anecdote relatée par Madame de Sévigné. La Fontaine tisse donc une fable burlesque à l'ironie acerbe autour de cet accident et en tire une morale

Véronique. Ce texte est extrait du livre La poursuite du bohneur de Michel Houellebecq, paru en 1992. Dans ce texte, l'auteur nous fait part d'un rendez-vous avec une femme qui ne le laisse pas indifférent, dans un milieu fantastique. Mais comment l'auteur parvient-il à nous imerger dans son rêve, nous laissant croire à de la réalité ? Dans un premier temps, nous analyserons l'idéalisation que l'auteur fait de la femme dont il rêve, puis nous étudierons la description du cadre féerique du rêve

de ces hommes ayant voué leur vie à Dieu mais surtout aux autres, la vie monastique qui continue au rythme des tâches quotidiennes, travaux manuels et temps de prière. Les scènes très fortes de réunions de chapitre, où chaque moine, à sa manière, livre son désarroi ou sa conviction, font surgir sans grands discours toute la complexité humaine, religieuse et morale de ce qui fut accompli. Nous nous demanderons donc en quoi la religion a-t-elle une place importante chez l’homme ? Le mot religion

des lectures bibliques et le chant soliste des psaumes. Durant les trois premiers siècles, le grec était la langue liturgique de l’Eglise avant que le latin devienne la langue officielle jusqu’au Concile de Vatican II (1962-1965) autorisant l’usage de la langue moderne. Deux types de cérémonies s’étaient développés: la célébration de la dernière Cène (qui est devenue plus tard la messe occidentale) et les assemblées consacrées au chant des psaumes et à la lecture des Ecritures (que l’on connaît

été surpris de voir exprimer ces sentiments sur la scène. Plus tard (1670), Corneille donnera encore une traduction de l'Office de la sainte Vierge (vers et prose) avec les Sept Psaumes pénitentiaux, les Vêpres et Complies du dimanche et tous les Hymnes du Bréviaire romain. Dans cette même période de retraite, il se livre aussi à des réflexions sur son art et son système dramatique, et rédige trois Discours :I. « De l'utilité et des parties du poème dramatique » ; II. « De la tragédie » ; III. « Des

commentaire de cette prière dans le livre d'Olivier Clément, Trois prières (Éditions du Cerf). Roi du ciel, Consolateur, Esprit de vérité, toi qui es partout présent et qui remplis tout, Trésor de biens et Donateur de vie, viens et demeure en nous, purifie-nous de toute souillure et sauve nos âmes, toi qui es bonté. ANAVATHMI DE L’ESPRIT-SAINT Les anavathmi sont des courts tropaires inspirés en partie des psaumes graduels (ou « cantiques des montées », Psaumes 119-133) et groupés en antiennes

de ce prologue est que Gargantua est un roman joyeux, drôle, mais que derrière cette gaieté et ces plaisanteries incessante, se cache une véritable sagesse philosophique. Il faut donc dépasser le stade du comique pour saisir le sens profond. Le livre serait comme un os, qu’il faut ronger, pour atteindre la “substantifique moelle”. Chap. 1 Rabelais se moque ici des historiographes du Moyen-Age, qui aiment dresser des généalogies en remontant aux temps antédiluviens. Ces généalogies avaient surtout

d'un psaume pour désigner le sexe masculin (« A la forme du nez on connaît celle du vers-toi-je-lève. »), les bien-ivres citent les dernières paroles du Christ pour assouvir leur ivrognerie (« J'ai la parole de Dieu en bouche: sitio »). Enfin Rabelais instaure dans son oeuvre un comique savant qui nécessite un effort d'interprétation et se destine à un lectorat lettré. Ce comique ponctuant presque chaque chapitre de l'oeuvre est souvent au service des nombreuses satyres auxquelles se livre Rabelais