Lobotomie

valeurs d’une société à une époque donnée. Pour assurer cette fonctionnalité, le fondateur de l’OMA prône la destruction de certaines structures pour en construire d’autres qui seront plus utiles. Selon Koolhaas, l’architecture contemporaine se lobotomi se en se confinant au concept de construction, "le bâti, le plein, est désormais incontrôlable, livré tous azimuts à des forces politiques, financières, culturelles qui le plongent dans une transformation perpétuelle. On ne peut pas en dire de même

marrant », mais je vois bien qu’on ne me croit pas et c’est fort compréhensible. On se dit que le quotidien doit forcément être empreint de souffrance, de silences et de cris, dans un hôpital sordide, peuplé de médecins sadiques qui vous font des lobotomies transorbitales… La réalité est un peu différente. » p25. Ce passage fera certainement sourire bon nombre de professionnels ou futurs professionnels. Cet instant où se heurtent notre réalité et celle de notre interlocuteur à l’énonciation

Emil Kraepelin est le premier à employé le concept de «  folie maniaco-dépressive » . Le traitement de la Bipolarité à cette époque s’effectuait par des procédures cruelles ( douches froides, repos forcé, etc.. ). Jusqu’à la fin des années 1950 la lobotomie préfrontale fut employé si aucun de ces traitements ne donnait de résultats. Par la suite, de 1950 à 1960 des traitements avec des tranquillisants comme la chlorpromazine. Le psychiatre Australien John Cade et ses confrères fut le premier à trouvé

la gynécologie, de la pédiatrie, de la gérontologie et gériatrie, de la médecine du travail, da la cardiologie, et de la neuropsychologie. La psychiatrie est une branche de la médecine. • le psychiatre utilise tous types de traitements : - la lobotomie frontale, utilisée dans le cas de patients très agités et agressifs ; deviennent après des légumes. On parle de psychochirurgie. Utilisée en premier par EGAS MONIS. - les électrochocs, ds années 50, par UGO CERLETTI, pour patients dépressifs. -

enfants et verra ainsi passer environ 60.000 cas.   Son expérience de la pédiatrie et la lecture d'un livre de Sigmund Freud le font s'engager dans une longue analyse personnelle, de 30 à 40 ans. Il devient élève de Mélanie Klein. Il est opposé aux lobotomies, la grande découverte de la psychiatrie organiciste. Donald Woods Winnicott dit que chacun de nous a une tendance naturelle à la santé et est capable de trouver une issue personnelle à ses conflits.     Concepts   1.   La préoccupation maternelle

ou encore qu'elles prétendent imposer leurs règles à des personnes non consentantes, par exemple en règlementant l'accès à la profession, ou en usant de violence pour imposer leurs revendications. Les mouvements anti-corporatistes dénoncent la lobotomie de certains élèves influencés par les lobbies qui sponsorisent les écoles et ainsi modifie les programmes. Klein lui, soutient que de plus en plus d’artistes sont censurés pour ne pas faire « de l’ombre » au grand nom du marché musical. Ces groupes

opinion politique mais en y intégrant aussi de l’histoire et de la littérature et ce, pendant plus de trente ans. Dans celles-ci, il mentionne souvent son opposition à différentes méthodes et pratiques en médecine. On peut y voir sa dénonciation des lobotomies car il mentionne que « la médecine a un tel besoin de la lésion qu’à défaut de la trouver, elle la crée. » La personnalité de Jacques Ferron sort de l’ordinaire. Il possède une grande empathie pour tous les gens, en particulier pour ses patients

un électroaimant sur une zone précise du cerveau (lobe préfrontal). (Pensée complexe, contrôle de soi) Dépression, TOC, Parkinson Aucun effet secondaire négatif, mais c’est cher ($$$) 2.4 La lobotomie Déf: Technique de neurochirurgie visant à retirer une partie du cerveau. mini lobotomies  Dernier recours pour dépression (suicide) Troubles d’agressivité épilepsie 3- Les psychothérapies 3.1 La psychanalyse freudienne But de la psychanalyse 1: Rendre l’inconscient plus conscient

fondée sur la répétition de chocs hypoglycémiques provoqués par injection d'insuline). On pratique aussi le "choc humide", avec des doses moins fortes d'insuline et un maternage. De même étaient pratiquées jusque vers la fin des années 1960 les lobotomies (interventions chirurgicales sur le cerveau, dans le but de sectionner le faisceau reliant le lobe frontal au diencéphale). Pour traiter la schizophrénie sont utilisés les psychotropes (substances pharmacologiques dont l'action principale s'exerce

est donc déterminé par cet organe matériel qu'est le cerveau. Qu'en découle-t-il pour le traitement politique de la criminalité ? Dans la mesure où l'on ne peut pas changer le cerveau d 'un individu (sauf en recourant à des procédures comme la lobotomie…), il n'y a, à proprement parler "rien à faire" pour empêcher l'individu d'adopter un comportement criminel : criminel il est né, criminel il restera, puisque son cerveau ne changera pas. Ceci risque donc de nous conduire à deux options assez