Locuteur

ne sont pas seulement de vrais moyens d’action, ils leur permettent aussi d’évaluer leur degré de légitimation et d’autorité, les actes de langage liés à leurs énoncés produisant des effets perlocutoires en fonction de l’autorité de la parole du locuteur (à ce propos, voir aussi Oger et Ollivier-Yaniv, 2003 : 128) et à l’ethos de ce dernier. La parole de l’institution se lie donc étroitement à la valeur symbolique du langage (Bourdieu 2001). Par rapport à la norme, l’inscription du discours dans

langage qui prédominent. Triple fonction de la langue parlée : conative, émotive et phatique. C’est une écriture centrée sur le rapport entre locuteur et destinataire (et non sur le message).En outre, cette parole n’adopte pas la forme discursive (Sujet-Vb-Compl), mais un ordre différent. Mise en relief du prédicat qui supprime la distance entre le locuteur et le destinataire avec reprises nominales et pronominales. Répétitions : soit de l’aventure, soit d’un trait particulier, redoublement de

savoir, retrace un événement ou décrit une situation réelle ou imaginaire (le rêve par exemple) : « Il pleut ». 1. La fonction émotive (ou expressive), fondée sur l'émetteur, révèle les sentiments qu'éprouve celui qui parle (désigné aussi comme le locuteur) face à la situation qu'il évoque : « Hélas, il pleut… ! » 2. La fonction conative (ou impressive), fondée sur le récepteur, a pour effet de faire pression sur le destinataire du message pour agir sur lui, provoquer en lui une réaction, essayer de

dialogue : * inséré dans un texte narratif → vous devez savoir utiliser à bon escient la ponctuation du dialogue (un dialogue romanesque s'ouvre et se ferme par des guillemets. Entre-temps, on utilise des tirets pour marquer les changements de locuteurs) ; vous préciserez bien qui parle avec des verbes de prise de parole dans des propositions incises (variez-les : ne répétez pas 10 fois "dit-il"…).    * de théâtre → écrivez en lettres capitales, et avant chaque réplique, le NOM de celui qui la

une première situation de communication, dans laquelle le fabuliste s'adresse directement au lecteur. L'absence de marque de la 1re pers. pourrait porter à croire que le locuteur n'est pas spécifié. Or, à l'avant-dernier vers, le pronom on prend la valeur d'une 1re pers. du pluriel, référant à la fois au destinataire et au locuteur (le fabuliste), ce qui contribue à établir une relation de complicité avec le lecteur. (L'emploi du déterminant possessif notre à la fin du poème confirme cette analyse

souvent liées à une description de la réalité, mais elles peuvent entrer dans une argumentation comme la gradation. La répétition peut être grammaticale ou sémantique. Beaucoup de ces figures peuvent passer pour des fautes, mais c'est l'intention du locuteur et le sens général de l'énoncé qui décident de la pertinence de ces formes. L'intensité du propos varie en fonction de ces redites.

genres de discours datant de (l’Antiquité, Ve s. av. J.C) : - Judiciaire (établie la vérité) - Délibératif (Débattre) - Épidictique Il y a 2 genres de l’épidictique : - L’éloge - Le blâme I/ L’éloge C’est un discours par lequel un locuteur cherche à mettre des mérites en avant, à convaincre. Le Blason : C’est un genre poétique qui met en valeur la beauté physique (d’un individu) L’éloge panégyrique : discours public célébrant les vertus d’une personne L’éloge paradoxal : célébration

est centré sur son objet ; centré sur ce on quoi on parle, ce qui est décrit, réel. * Fonction Expressive (appelé aussi émotive) : Elle concerne les cas ou le locuteur exprime directement son attitude à l’égard du contenu de son discours ; on parle de se qu’on ressent, centré sur celui qui l’émet. * Fonction Conative :

l'argumentation directe? Introduction:Beaucoup d'auteurs utilisent l'argumentation afin de faire passer un message à leurs lecteurs.Elle a pour but de démontrer,convaincre ou persuader et donc de faire agir une personne. Pour soutenir sa thèse, le locuteur a recourt à des arguments organisés qui fondent la validité du propos. Ces arguments peuvent être en effet indirects mais aussi directs. La question qui se pose alors est de savoir si l'argumentation indirecte pourrait être plus efficace qu'une

sont les idées émises par le locuteur pour prouver que la thèse est juste) ;  Des exemples qui illustrent ces arguments (ce sont des faits réels, dans la plupart des cas) b. Indices grammaticaux :  L’utilisation de « je », « nous », « tu », « vous » pour représenter distinctement le locuteur et le narrateur ;  Des verbes d’action et des mots qui expriment un jugement, une opinion décisive. 5. Le discours injonctif : Il est largement utilisé lorsque le locuteur vise à donner des conseils,