Locuteur

plaidoyer pour la civilisation que constitue ce texte. I) La démarche argumentative de Voltaire Pour développer sa réflexion, Voltaire procède à une mise en scène des deux points de vue sur la civilisation au travers de : -L’énonciation : Le locuteur emploie la première personne du singulier (v.5 : “moi...je”) pour affirmer clairement sa prise de position et le pluriel qui constitue un caractère globalisant, soulignant que Voltaire ne parle pas juste en son nom. L’adversaire n’est pas défini

montre qu’ils sont vaniteux « ils prétendent », « ils se ventent ». Ainsi, le discours agité de la maréchale de Grancey confie une tonalité polémique au texte. On peut aussi percevoir une tonalité satirique dans le quatrième paragraphe. En effet, le locuteur utilise l’arme de l’ironie marquée par l’antiphrase : « voila une plaisante raison pour que j’aie un maitre » et de la phrase « j’ai bien peur ». De cette façon elle ridiculise l’homme en se moquant de lui. On repère aussi l’engagement de la maréchale

permet de faire comprendre nos intentions. 2. il faut donc savoir la moduler, et l’adapter à la situation et aux destinataires. (différentes voix en fonction des objectifs.) 3. la conversation est un échange et la parole est partagée entre le locuteur et l’interlocuteur. Qui se l’a renvois et l’adapte au grès de l’échange. 4. la voix peut être agréable ou désagréable. 1.avis partager quant à la nécessité de la présence physique dans une conversation : - pour les uns elle est indispensable

polémique, puis en deuxième partie, nous verrons, que Dom Louis garde une grande dignité. I) Un discours pathétique et polémique Le discourt de Dom Louis agit comme un discourt pathétique, il agit comme une véritable exorde, avec les marques du locuteur et du destinataire "je vois bien", "je vous embarrasse", "vous". Il montre à quels points leurs rapports sont conflictuels et difficiles "étrangement" et il insiste sur leur lassitude réciproque "si vous êtes las", "je suis bien las". De plus, Dom

Affirmer une présence et créer des liens affectifs Pour toucher le lecteur, le locuteur doit créer des liens avec lui et donc manifester sa propre présence (1er personne, marques de subjectivité). Il faut que le destinataire se sente directement concerné (2e personne). On peut également recourir aux procédés de la sollicitation (apostrophe, question rhétorique) On peut réaliser la complicité entre le locuteur et le destinataire en associant ce dernier à l’énonciation (1er personne du pluriel

analogie, elle résume l’essentiel de la pensée humaine. C’est cette polysémie qui est à l’origine de courants littéraires tels que le Symbolisme. 2) La communication du langage A) Les éléments de la communication L’émetteur/ destinateur/ locuteur délivre un message à un récepteur/ destinataire/ interlocuteur. Le message porte sur le référent, utilise un code, et est véhiculé par un canal. B) Les fonctions du langage Selon que l’accent soi mis sur l’un ou l’autre des éléments de

quelqu’un d’autre. Ici René G-C utilise plusieurs moyens pour atteindre ce but , tout d’abord il utilises des pronoms personnels de la 1ere et 2eme personne du singulier comme «  je «  ( vers 1 ) et « tu » ( vers 7 ) il y a donc la présence d’un locuteur et d’une destinataire , chacun a son identité propre . Mais il y a une insistance sur le «  tu «  répété plusieurs fois , afin de montrer son importance par rapport au » je » et donc par rapport a lui-même . Cela nous permet de comprendre qu’il y

L’absence du locuteur est relative car sa présence se manifeste dans le pronom « on » v 4, 13, 28, et la ponctuation expressive (les interrogatives et les exclamatives). C’est une présence volontairement discrète : le lecteur saisit ses sentiments à partir des sensations que le paysage lui impose. Sans être explicitement le destinataire, le lecteur est sollicité par les interrogations rhétoriques. Le poème entrelace notations descriptives et interventions insistantes du locuteur sur le mode interrogatif

liées à la nature du discours.  • La communication linguistique est "une mise en fonction de la langue par un acte individuel." Cet acte s’effectue par le respect des éléments linguistiques par lesquels le sujet prend en charge: son rôle en tant que locuteur ,son discours, la langue, son interlocuteur, la situation  • L'énonciation est en effet "l'activité langagière exercée par celui qui parle au moment où il parle".  Les déictiques désignent - Le rôle des actants de l'énoncé  - Les pronoms personnels (je

langue acquise “naturellement”. Cependant, dans le texte, Véronique Castellotti emploie plus le terme de “langue première” dans lequel “premier” renvoie à l'ordre d'acquisition ainsi qu'à une dimension psycho-affective (degré d'importance pour le locuteur, la société...). Dans ce chapitre, Véronique Castellotti évoque une "règle" implicite qui est de n'utiliser que la langue cible, comme c'est la cas à partir de l'école primaire. Pourtant, dans les faits, la langue maternelle des apprenantsest souvent