Logique Entrepreneurial

(un projet), une vision politique de l’association (stratégie), des qualités d’impulsion des équipes (direction et encadrement des personnels) et des modalités décisionnelles articulées autour des opportunités. Si JAR-TOGO intègre une démarche entrepreneuriale, et ce projet associatif peut être considéré comme les prémices, elle assimilera la prise en compte d’événements comme saisie d’opportunités s’inscrivant dans un plan stratégique. JAR-TOGO regarde devant elle en utilisant différemment les ressources

influençant le style de direction. A. La personnalité du leader Le style de direction est fortement influencé par la personnalité du dirigeant, ses valeurs, sa confiance dans ces subordonnées, sa formation, ses objectifs mais également sa logique managériale ou entrepreneuriale. Qui déterminera sa tolérance aux risques et donc sa prise de décision. B. L’attitude de l’individu au travail. Douglas Mc Gregor distingue deux catégories d’individu selon leur attitude au travail : - Les « X » dépourvu d’ambition

personnalité du leader manager Un style de direction c’est tout d’abord une façon de se comporter au quotidien. Ce style est influencé par sa personnalité, par ses valeurs par sa formation, par sa confiance dans les subordonnées. Sa logique managériale, entrepreneuriale. ❖ La structure de l’équipe Maslow a montré que l’analyse des besoins des individus au travail peut influencer le style de direction -> Pyramide Maslow « un besoin d’estime peut correspondre à un style participatif Analyse

spécialisation modèle J: coordination horizontale entre les unités opérationnelles – partage des informations Quel degré de centralisation du pouvoir choisir? D: quel degré de spécialisation ? III: les configurations types A: la structure entrepreneuriale 1) Le schéma 2) Les caractéristiques - structure simple, la direction de l’entreprise est au cœur de l’organisation : elle est en relation avec l’ensemble du personnel et centralise les décisions. - Faible spécialisation du travail

gérant des projets complexes nécessitant plusieurs collaborations (développement d’avions pour Boeing, développement de nouveaux modèles de véhicules pour Renault, agences publicitaires gérant des budgets importants…), cette structure répond à une logique de transversalité. On la retrouve aussi dans les entreprises multinationales, qui peuvent ainsi adopter un découpage par fonctions, par métiers (divisions), ou par zones géographiques. B. Les enjeux de la structure matricielle En mettant

gérant des projets complexes nécessitant plusieurs collaborations (développement d’avions pour Boeing, développement de nouveaux modèles de véhicules pour Renault, agences publicitaires gérant des budgets importants…), cette structure répond à une logique de transversalité. On la retrouve aussi dans les entreprises multinationales, qui peuvent ainsi adopter un découpage par fonctions, par métiers (divisions), ou par zones géographiques.   1. Les enjeux de la structure matricielle   En mettant en place

Les penseurs en management J. SCHUMPETER Le champ de l’entreprenariat recouvre plusieurs logiques de création ou de développement d’activités. SCHUMPETER estime que c’est l’entrepreneur qui incarne le pari de l’innovation. Il a vocation à prendre des initiatives, à créer, il est passionné, créatif, et délègue peu. Opposition entre la logique entrepreneuriale fondée sur la prise de risque et la logique managériale axée sur l’optimisation des ressources confiées au manager. -------------------------------------------------

nécessitent plusieurs personnes, la division du travail devient nécessaire. Les premières références à la division du travail se retrouvent chez Adam Smith, avec l’exemple de la fabrique d’épingles. L’organisation scientifique du travail résulte de cette logique en séparant le travail de conception et d’exécution et en parcellisant les tâches. On distingue : – la division verticale, qui détermine le nombre de lignes hiérarchiques. C’est la hauteur de l’organigramme. Plus le nombre de niveaux hiérarchiques

nécessitent plusieurs personnes, la division du travail devient nécessaire. Les premières références à la division du travail sont à trouver chez Adam Smith avec l’exemple de la fabrique d’épingles. L’organisation scientifique du travail résulte de cette logique en séparant le travail de conception et d’exécution et en parcellisant les tâches. On distingue : – la division verticale qui détermine le nombre de lignes hiérarchiques. C’est la hauteur de l’organigramme. Plus le nombre de niveaux hiérarchiques

nécessitent plusieurs personnes, la division du travail devient nécessaire. Les premières références à la division du travail se retrouvent chez Adam Smith, avec l’exemple de la fabrique d’épingles. L’organisation scientifique du travail résulte de cette logique en séparant le travail de conception et d’exécution et en parcellisant les tâches. On distingue : – la division verticale, qui détermine le nombre de lignes hiérarchiques. C’est la hauteur de l’organigramme. Plus le nombre de niveaux hiérarchiques