Loi Badinter

6e principe : l’égalité devant la loi. Article 6 de la DDHC et article 2 de la Constitution de 1958. CC a condamné des législations qui imposaient des discriminations fondées sur le sexe. A condamné d’office la constitutionnalité d’une disposition législative qui prévoyait de réserver aux femmes seulement 25% des places sur les listes pour les élections municipales. A jugé que cette règle qui comporte une distinction entre candidats en raison de leur sexe méconnaît le principe d’égalité.

coutumières qui déterminent la forme de l’Etat (unitaire ou fédéral), la dévolution et l’exercice du pouvoir. loi : au sens strict, règle de droit écrite, générale et permanente, élaborée par le Parlement (art.34 de la Constitution du 4 oct. 1958). Au sens large, règle de droit, d’origine étatique, qu’elle soit parlementaire (loi au sens strict) ou non (ordonnances, décrets, arrêtés). La loi est écrite dans le code civil en 1804, codification écrite voulue par Napoléon. Elle est votée par le parlement

Pour autant, ce caractère limitatif faisait polémique. En effet, parfois, il était impossible de trouver un responsable, ce qui empêchait la victime d’être indemnisée, alors même que le mouvement était à une indemnisation massive (par exemple, loi Badinter de 1985), et que le développement des assurances de responsabilité civile pouvait permettre une extension. Dans le même temps, se développaient de nouveaux traitements des personnes handicapées : on ne considérait plus que celles-ci doivent

juger de leur caractère indispensable ou non. Il est parfois évident que la création d’une nouvelle loi relève d’une nécessité technique reposant sur de nouveaux besoins. Dans ce cas précis, on ne parlera pas d’inflation puisque cette loi manquait. Au contraire, selon Carbonnier, ce sont les besoins artificiels et imaginaires qui incitent le législateur à légiférer. On croit avoir besoin d’une loi, donc on la créée. Pourtant, ce besoin n’est qu’une illusion. Le problème est d’ailleurs source de nombreux

autres personnels sont chargés des tâches d'accueil, de secrétariat, de restauration et de transport. * Le Conseil constitutionnel jouit de l'autonomie financière ; son président en fixe le budget dont la dotation est inscrite dans le projet de loi de finances au titre de la mission « Pouvoirs publics ». Composition * 9 membres renouvelés par tiers tous les trois ans. * Les membres sont désignés respectivement par le Président de la République et le Président de chacune des assemblées

Les initiatives procédurales des parquets au XIXème siècle1 Xavier Moroz, ATER à l'université Jean Moulin-Lyon 3 Colloque « Parquet et politique pénale depuis le XIXème siècle » « En définitive, la nécessité domine la loi ; mais un voleur n’oserait donner cette excuse aussi insolemment devant les tribunaux »2. Le Code d’instruction criminelle de 1808, l’ancêtre de notre Code de procédure pénale, a régi la procédure pénale française pendant presque un siècle et demi3. Honorable longévité si l’on

sur l’article 1386 du code civil, ce qui parait critiquable. Les causes d’exonération du propriétaire sont les mêmes que le gardien d’un animal. 3. La loi n° 85-677 du 5 juillet 1985 (loi Badinter) : Cette loi est intervenue afin d’améliorer "la situation des victimes d’accidents de la circulation". Le champ d’application de cette loi est d’ailleurs très large. Il existe certaines conditions : L’accident de la circulation doit être l’origine du dommage. Le dommage ne doit pas avoir

coutumières qui déterminent la forme de l’Etat (unitaire ou fédéral), la dévolution et l’exercice du pouvoir. - loi : au sens strict, règle de droit écrite, générale et permanente, élaborée par le Parlement (art.34 de la Constitution du 4 oct. 1958). Au sens large, règle de droit, d’origine étatique, qu’elle soit parlementaire (loi au sens strict) ou non (ordonnances, décrets, arrêtés). La loi est écrite dans le code civil en 1804, codification écrite voulue par Napoléon. Elle est votée par le parlement

victimes et d’accélérer leur indemnisation. Pour ce faire, il a promulgué le Dahir du 02/10/1984 relatif à l’indemnisation des victimes des accidents de la circulation. Son homologue français a fait de même à travers la loi 05/07/1985 dite loi Badinter[1]. Ce texte ainsi que le national, tendent à l’indemnisation des victimes des accidents de la circulation, mais divergent sur plusieurs points. Ainsi au Maroc, et selon l’article 88 du DOC, pour s’exonérer de sa responsabilité

La responsabilité pénale des personnes morales et le lien de causalité La loi du 9 mars 2004 portant adaptation de la justice aux évolutions de la criminalité a procédé à la généralisation de la responsabilité pénale des personnes morales. Ainsi toutes les infractions peuvent être inputés à une personne morale. Les personnes morales sont des groupements ayant la personnalité juridique, susceptible d'être titulaire de droits et obligations. Puis la responsabilité pénales est l'obligation