Loi du χ²

a) Calculer la différence de marche  entre 2 rayons diffractés par 2 plans successifs en fonction de d. b) Quelle est la condition d’observation de maxima d’intensité diffractée en fonction de d,  et ? Cette relation est connue sous le nom de Loi de Bragg. c) Sachant que l’on obtient un maximum d’intensité d’ordre 1 pour 1= 58°, en déduire la distance entre les plans atomiques du cristal. 2) Diffraction d’électronspar un cristal de nickel Davisson et Germer ont réalisé la même expérience

de Maxwell lient le champ ´lectrique E et magn´tique e e e e B: rot(E) + ∂B = 0 ∂t div(B) = 0 (1.1) (1.2) Elles sont ind´pendantes de la pr´sence ´ventuelle d’un milieu mat´riel. Int´gr´es dans e e e e e e l’espace, elles permettent d’exprimer la loi de l’induction. 2. Les deux autres ´quations de Maxwell d´pendent du milieu mat´riel. Elles lient les e e e champs E et B aux densit´s locales de charges fixes ρ et mobiles j et a trois autres e ` champs localis´s dans la mati`re qui traduisent macroscopiquement

l’ordre impos´ par l’interaction e e d’´change (figure1.1). Le mat´riau perd son aimantation et devient paramagn´tique. Ainsi l’aie e e mantation est maximale pour une temp´rature de 0 K. La loi de Curie donne l’´volution de la e e susceptibilit´ magn´tique en fonction de la temp´rature : e e e χ= C M = H T − TC (1.2) o` M est l’aimantation induite par le champ H et C est la constante de Curie relative au u mat´riau consid´r´. e ee 1.1.2 ´ Energie dipolaire Lorsqu’un

Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Lancer de dés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Loi Binomiale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Loi géométrique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Loi de poisson . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

souvent employ´e). Une variable al´atoire X de loi la mesure de Dirac en x0 È E est presque sˆrement e u constante ´gale ` x0 et r´cipoquement : PX Øx0 Ù ÈØX x0 Ù 1. Lorsque E Ê, on a e a e ÖX × x0 , VarÔX Õ 0, 1 ϕX Ôθ Õ eiθX eiθx0 . Mesure de Dirac en x0 1 Fonction de r´partition e 0 x0 0 x0 On pourra prendre pour d´finition : e e e D´finition. — Soit ÔE, E Õ un espace mesurable s´par´ (tous les singletons sont mesurables). e e Toute loi discr`te sur ÔE, E Õ est combinaison barycentrique

....................................................................................................... 272 INTRODUCTION GENERALE 1 Le système de formation continue a connu une transformation importante avec la loi du 16 juillet 1971. La mise en application de la loi a, en effet, entraîné un accroissement des budgets et une forte implication des entreprises dans le financement de la formation continue à l’origine d’une forte augmentation du nombre de dispensateurs de formation et une forte

= T (P, V ) o` u P , V et T sont respectivement la pression, le volume et la temp´erature. On appelle : – Coefficient de dilatation thermique `a pression constante : α= 1 V ∂V ∂T P – Coefficient de compressibilit´e isotherme : χ=− 1 V ∂V ∂P T – Coefficient de variation de pression a` volume constant : β= 1 P ∂P ∂T V D’apr`es la relation(1.7) en rempla¸cant x, y et z par P , V et T : ∂P ∂V T ∂V ∂T P ∂T ∂P = −1 V ´ CHAPITRE

stock) = α 302.2. LA GESTION DES STOCKS 1 - α est alors la probabilité de tomber en rupture. 1 - α est appelé risque de rupture. Soit D la variable aléatoire représentant la demande pendant le délai de livraison. On sup- posera que D → N(D , σD) loi normale de moyenne D et d’écart type σD. Cette hypothèse est souvent raisonnable en pratique. On a alors : Pr ( Ne pas tomber en rupture de stock ) = Pr (D ≤ r) = α Pr(D ≤ r) = α⇔ Pr( D −D σD ≤ r −D σD ) = α On pose : r −D σD = z avec Pr(X ≤ z) =

directoire semble à l'heure actuelle avoir la faveur de certaines entreprises. De grands groupes ont abandonné la formule du conseil d'administration traditionnel au profit de la structure conseil de surveillance (Club Méditerranée, Accor, DMC). Sur la p é1 Loi du 12 juillet 1967 (articles 119, 120 et 128). Dans cette seconde formule, empruntée au droit allemand, le directoire est chargé de la direction de la firme alors que le conseil de surveillance prend en charge la fonction de contrôle. Laurence

3. Principes des cartes de contrôle de Shewhart 31 Soit Y , la variable aléatoire représentant le nombre de points à représenter sur la carte avant d’observer une alarme (alarme comprise). Comme les observations sont indépendantes, Y suit une loi de probabilité telle que : P (Y = i) = Pci−1 ∗ (1 − Pc ) d’espérance mathématique : ∞ ∞ où Pc est défini en (3.5) et i = 1, 2, 3 · · · (3.8) E(Y ) = i=1 iP (Y = i) = i=1 iPci−1 ∗ (1 − Pc ) = 1 = ARL(c) 1 − Pc (3.9) Si l’on