Lois Jules Ferry

sécularisation et de laïcisation (cf. lois Jules Ferry), les républicains opportunistes, au pouvoir, recherchent une alliance avec le centre-droit catholique sous le signe du « ralliement » contre l’extrême gauche socialiste et anarchiste et la droite nationaliste et monarchiste 2 montée du socialisme : devant le refus de réformes sociales le mouvement ouvrier s’organise sur le plan syndical (la CGT créée en 1895) et entre sur la scène politique derrière Jules Guesde (POF) et Jean Jaurès – l’extrême

révolutionnaires plus ou moins assumés.   C’est à la lumière de ce débat que les républicains vont tirer des conclusions pour ne pas réitérer les mêmes erreurs. En effet, les républicains sous le second empire seront ceux qui feront la IIIème République (Ferry, Gambetta, Lamartine, Quiney ...) ; sont également historiens pour la plupart, et histoire corrélée au politique à l’époque.   Quiney : en exil en Angleterre, républicain, écrit livre sur l’héritage révolutionnaire. Accepte l’héritage de 1789, mais

représentées à travers l'art, grâce à des sculptures, telle celle réalisée par Jules Dalou, Le Triomphe de la République, qui se situe sur la place de la Nation. Elle doit célébrer le centenaire de la Révolution en 1889 et symbolise l'unité républicaine retrouvée après l'épisode de la crise boulangiste. Puis, l’Etat va imposer des lois pour rallier les opposants au régime. Les libertés fondamentales vont être assurées par des lois qui garantissent un régime démocratique, c'est-à-dire un régime où le peuple

par les guerres, la violence et l’insécurité. C’est pour les préserver que l’individu accepte d’entrer en société. On peut donc voir l’entré en société d’un individu comme un contrat qui met en vigueur l’acceptation de l’individu d’être obéissant aux lois et au pouvoir du dirigeant à condition que celui-ci assure la paix et maintien la sécurité. Ce contrat concerne donc, l’individu et le souverain, le dirigeant de la société en question. Comme tous les contrats, celui-ci peut se retrouver à être révoqué

monarchie. Deux années passent, 1873, un président légitimiste connu son le nom de Mac-Mahon, un Sénat et une Assemblée en majorité monarchistes, mais surtout de nouvelles élections. Et cette fois-ci les républicains l'emportent, et votent en 1875 les lois constitutionnelles posant les bases de la vie politique du régime. En 1877, Mac-Mahon éxerce son pouvoir de dissolution de l'Assemblée la trouvant trop républicaine, d'ultimes éléctions (dont la campagne des républicains fut salement réprimée) ont

Jersey puis Guernesay, Flaubert et Baudelaire subissent les contrecoups de ce régime (Flaubert:Madame bovary) (Baudelaire:Les fleurs du mal) Début de la IIIème République Selon c'est une année terrible. Sous la III ème république Jules Ferry crée la lois de la scolarité obligatoire et de la société. Le XIX siècle est un siècle de progrès; mutation. Domaine commerciale Zola (le bon marchais).positivisme. Les paysans sont décrit par Maupassant et Zola qui dénonce la misère. Balzac;Stendhal;Maupassant

travail disparaît pour bien montrer que l'on est plus dans une monarchie. Dans la pratique, la IInde République reposera sur une assemblée unique qui sera élue au suffrage universel. C'est un modèle monocamériste. Il est réfléchit sur l'élaboration des lois (dimension législative). La dimension exécutive est laissée au président. Promulguée le 4 novembre 1848, la IInde République se met officiellement en place. La première chose mise en oeuvre est l'élection du président de la République. Celle-ci

connaître et savoir utiliser les repères historiques suivants Dates Repères IIIe millénaire av. J.-C. Les premières civilisations VIIIe siècle av. J.-C. Homère, fondation de Rome, début de l'écriture de la Bible Ve siècle av. J.-C. Périclès 52 av. J.-C. Jules César et Vercingétorix, Alésia Ier siècle Début du christianisme Ier et IIe siècles « Paix romaine » 622 L'Hégire 800 Le couronnement de Charlemagne Xe-XIIe siècle L'âge des églises romanes 1096-1099 Première croisade XIIe-XVe siècle L'âge des églises

colonisation est la force expansive d'un peuple, c'est sa puissance de reproduction, c'est sa dilatation et sa multiplication à travers les espaces; c'est la soumission de l'univers ou d'une vaste partie à sa langue, à ses moeurs, à ses idées et à ses lois. Un peuple qui colonise, c'est un peuple qui jette les assises de sa grandeur dans l'avenir et de sa suprématie future... A quelque point de vue que l'on se place, que l'on se renferme dans la considération de la prospérité et de la puissance matérielle

ressources. II) Des débouchés rentables et constants 1. Placement de capitaux « La France, qui a toujours regorgé de capitaux et en a exporté des quantités à l’étranger […] a intérêt à considérer ce côté de la question coloniale » disait Jules Ferry le 28 juillet 1885 lors d’une intervention à la Chambre des Députés. En effet, ce dernier, inspiré de l’économiste Stuart Mill, défendait l’idée selon laquelle le transfert de capitaux de vieux pays riches vers ces pays jeunes et dynamiques serait