Lois sur le statut des Juifs du régime de Vichy

d'anéantissement et génocide des Juifs et des tziganes La Première Guerre mondiale devait être « la der des ders », pour reprendre une expression française. Il n'en sera rien. Malgré l'importance des idées pacifistes dans l'Europe de l'entre-deux-guerres (en particulier dans les démocraties occidentales), tous les ingrédients du déclenchement d'une Seconde Guerre mondiale sont bien en place dès 1919.  Dans ce contexte, les idéologies impérialistes et nationalistes des régimes totalitaires, soucieux de la

et l’image des étrangers en France ? Pour répondre à cette question, nous allons d’abord étudier le statut accordé aux étrangers aux lendemains de la guerre. Cela nous permettra de comprendre dans une seconde partie le tournant juridique qui va régir leurs droits en France puis de nous pencher sur la question du travail dans une troisième partie. I - Etat des lieux en 1945 : Quel est le statut des étrangers au lendemain de la guerre ? 1. Les effets de la crise de 1929 Dans l’entre-deux-guerres

Durant les années 30, la France et la Grande-Bretagne étaient des démocraties avec plusieurs partis politiques qui se sont formés durant ces années. Une démocratie est un régime politique dans lequel le pouvoir est détenu par le peuple sans qu'il y ait de distinctions dues à la naissance, la richesse ou la compétence. Les partis politiques Français A) Croix de Feu B) La Cagoule Le parti politique Anglais A) British Union Of Facists Croix de Feu : Association

Chaumière. » Naturalisé Français en 1937, il fut mobilisé en 1939 au 134 ème d'infanterie. Après sa démobilisation, il perdit son emploi, astreint à l’exclusion professionnelle en conformité au statut des Juifs (lois spécifiques excluant les Juifs du corps social) instauré par le gouvernement français (régime dit de Vichy) Arrêté et transféré à Drancy il fut ensuite déporté à Auschwitz (1943). Là il fut sélectionné pour le travail. Il y fut désigné comme membre des Sonderkommando (ou Kommando spécial, chargé

réfugiés politiques de la fin des années 20 et 30 ? Pourquoi ? Les réfugiés politiques de la fin des années 20 sont des réfugiés d’Europe centrale et orientale, les antifascistes. Dans les années 30, les réfugiés politiques sont les anti nazis, des juifs et les républicains espagnols qui se réfugient en France à cause de la guerre civile en Espagne (franco au pouvoir). 9-Qu’est-ce qui explique la montée de la xénophobie et de l’antisémitisme pendant la période ? La montée de la xénophobie et de

tradition syndicale et réformiste, participant à tous les organismes consultatifs ou paritaires. La CGTU restait révolutionnaire, en rupture avec la tradition syndicale, sous l’emprise du PC. Elle prônait les grèves politiques dures et condamnait les lois sociales comme contraires aux objectifs révolutionnaires du mouvement ouvrier. Ces positions intransigeantes entrainèrent une érosion rapide de ses adhérents. 3) La crise et les espoirs du Front Populaire La crise économique des années 1930 frappa

mondiale : guerre d'anéantissement et génocide des Juifs et des tziganes La Première Guerre mondiale devait être « la der des ders ». Il n'en sera rien. Malgré l'importance des idées pacifistes dans l'Europe de l'entre-deux-guerres (en particulier dans les démocraties occidentales), tous les ingrédients du déclenchement d'une Seconde Guerre mondiale sont bien en place dès 1919.  Dans ce contexte, les idéologies impérialistes et nationalistes des régimes totalitaires, soucieux de la grandeur de leurs

du crime contre l’humanité est unsigne de reconnaissance en droit international et par un certain nombre d’États des Droits de l’homme et de la personne humaine.   Le statut du tribunal de Nuremberg reste l’acte fondateur de ladéfinition du crime contre l’humanité. Aujourd’hui, cette définition est développée à la fois dans des textes de droit international (statuts des Tribunaux pénaux internationaux pour l’ex-Yougoslavie et pour le Rwanda : TPIY et TPIR, et désormais la Cour pénale internationale) et dans certains

Seconde guerre mondiale » se trouve au croisement de deux points forts du programme d’histoire de cycle 3 portant sur la partie « le XXème siècle et le monde actuel » : • La planète en guerre, l’extrême violence du siècle • L’extermination des Juifs par les nazis : un crime contre l’ Humanité Il s’agit donc , à travers l’exemple de la France et de la Seconde Guerre mondiale, de caractériser le phénomène « guerre » (notion travaillée) et de réfléchir sur les modalités de la violence dans la

la violence en France. Pour Pierre Boyer, il y a 3 temps : celui du deuil (toucher par la guerre), celui de la justice (épuration, procès de Nuremberg) et celui de la mémoire (commémoration). La 2ème guerre mondiale est un épisode clé car les 2 régimes politiques qui suivent tirent leurs légitimités de la résistance (IVe et Ve République). La vie politique a-t-elle été renouvelée et comment la France se relève de ses ruines puis comment l’Etat se reconstruit ? I) La libération et la fin de la guerre