Lombroso

criminalité a. le déterminisme anthropologique Les animaux tuent pour commander ou pour manger, le crime n’est donc pas l’œuvre de la liberté mais un acte bestial. Et lorsque l’homme l’accomplit, il n’est que le signe de l’instinct primitif. Lombroso a regardé également le corps des criminels et son squelette, il a plus établir le physique type du criminel. Il a un petit crane, un grand front… mâchoire volumineuse, barbe rare, vanité puéril. Il fut donc dextrement critiqué dans ses analyses

l’homosexualité est considérée comme une maladie. « Ce n'est qu'après le XVIIIe siècle qu'on commença à parler d'homosexualité comme d'une maladie. Un dénommé Karl Heinrich Ulrichs expliqua qu'on naissait homosexuel, comme on naît homme ou femme. Cesare Lombroso déclara pour sa part que l'homosexuel représentait l'échelon le plus bas de la race humaine. D'autres pensaient qu'ils étaient tous nés pervers ou criminels. Les homosexuels en ont donc vu de toutes les couleurs depuis le commencement du monde

pathologie de la volonté » et Rush, psychiatre américain, décrit ces patients comme ayant un « dérangement de la volonté et de l’indécence ». Morel (1857) pose la théorie de la « dégénérescence nerveuse » pour ce type de pathologie ; alors que Lombroso (1870) va plutôt parler de « criminel-né ». Le terme de psychopathie va apparaitre grâce à Kraepelin (1883-1909) dans les différentes éditions de sa nosographie psychiatrique. Il va délaisser la thèse de la dégénérescence nerveuse mais va garder

SCIENCES MEDICALES. Ces sciences recherchent les causes de la criminalité dans la personnalité physique de l'homme en concentrant leurs investigations sur l'étude anatomique et physiologique du délinquant. Ainsi l'anthropologie criminelle fut par César Lombroso en publiant son célèbre ouvrage sur "l'homme criminel" en 1874. Cet auteur s'efforça de découvrir selon la méthode expérimentale les stigmates caractéristiques du délinquant. La classification des individus d'après leur apparence extérieure en se

l’acte pour la première fois). En 1972, on reconnait une spécificité du droit pénal applicable aux mineurs avec l’apparition de juridictions spécialisées pour mineurs. 3. Les positivistes L’école positiviste est représentée par trois auteurs : Lombroso, Garofalo et Ferri. Ces trois auteurs vont changer l’approche du phénomène criminel en retenant la pensée de Darwin pour adopter une vision déterministe du phénomène criminel. A la deuxième moitié du XIXème siècle en Italie, on a en effet des liens

la fin du XIXème siècle : Lombroso, Ferri et Garofalo. Le premier ouvrage écrit par Lombroso en 1876 "l'homme criminel". L'idée de ces auteurs était de déceler des signes extérieurs de délinquance. "La sociologie criminelle" en 1881, et la "criminologie" en 1885. Cette criminologie avait pour objet la science du criminel, du phénomène criminel, et des thérapeutiques de la criminalité. L'ouvrage de Lombroso tendait à savoir si l'on pouvait identifier un criminel. Lombroso quant à la femme criminelle

transformation sociale avec l’étude de la criminalité. Il dégage 3 grands facteurs : L’invention (résultat des interactions sociales) – L’imitation (processus qui assure des inventions) – L’opposition (résistance et conflit par la diffusion des inventions). Lombroso pense que la criminalité est due à un facteur génétique génétique. Gabriel Tarde (1843-1904) Adversaire d’Émile Durkheim et inventeur de la célèbre théorie de l’imitation, Gabriel Tarde est autant un philosophe métaphysicien qu’un psychosociologue

l'individu. Deux grandes disciplines dominent alors dans son analyse :  la biologie, qui analyse les comportements des individus par des facteurs physiologiques, et l'anthropologie, avec la race qui explique un certain nombre de comportements  LOMBROSO a montré que la race est déterminante sur les comportements criminels.  la psychologie, qui montre que les comportements des individus s'expliquent par les pathologies  la folie ou l'hystérie témoignent d'une certaine fascination. 1° Le déterminisme

l’informatique). 1) La défense sociale d’Adolphe Prins Deux idées principales : * tenter de concilier les doctrines classiques en droit pénal (héritée des Lumières) et positiviste (école positiviste italienne : LOMBROSO) en criminologie. * LOMBROSO : biologique * GAROFALO : psychologique : question du crime naturel et de la manière d’aller rechercher des sentiments atteint par le crime * Ferry : « sociologique » : influence du milieu Ces 3 sont à la base de l’idée

appliquant la méthode expérimentale de Claude Bernard, Emile Zola croyait beaucoup aux lois de l’hérédité. La littérature a commencé à allumer la mèche de tout cela, puis elle a été suivie par le droit. Dans le même temps, en Italie, le docteur Lombroso décrivait l’homme criminel, appelé encore « le criminel né ». De son côté, un autre italien, Enrico Ferri publiait « La sociologie criminelle : la science criminelle ». Enfin en 1885, le comte de Garofalo publiait « Un manuel de criminologie ». La