Lombroso

les plus connus (Alfred Espinas, Théodule Ribot, Hippolyte Taine, Charles Richet, Pierre Janet, Valentin Magnan) ainsi que les plus grandes figures internationales des sciences humaines du moment (Wilhem Wundt, William James, Alexander Bain, Cesare Lombroso, Enrico Morselli, etc). Au coeur des débats, se situent les discussions sur l'hypnose, les hallucinations, le spiritisme et tous ces « faits extraordinaires » qui fascinent alors les psychologues français les plus positivistes à l'image de leurs

cerveau humain, sur l'humain en tant qu'anatomie, détermination anatomique, physiologique des comportements humains. Ils ont donc tenté de calqué ces sciences physico-naturelles aux sciences sociales, ce qui se nomme donc le scientisme) = théorie de Lombroso (savant italien pensant que les facultés des gens étaient dues à la constitutions physique/extérieure du crâne, du cerveau et de la boîte crânienne, ce qui donnait des capacités à l'individu? Il prétendait être capable de déterminer les capacités

brouillon, érotique , il y a une suspicion de déviance. Il font une sorte de raccourci entre l’académisme et la santé mentale. Le public , les médecins vont une suspicion de maladie mentale assez courante qui pèse sur les avant-gardes. Le psychiatre Lombroso va écrire un livre «  Génie et Folie » ou il défend la thèse selon laquelle les artistes contemporains présentent une sorte de degré très diluée de maladie mentale. Il fait du comparatisme un peu rapide entre les œuvres des patients et l’art contemporain

les aptitudes sociales et les attitudes morales du délinquant. Le fondateur de l'école anthropologique Cesare LOMBROSO, a classé les anomalies psychiques parmi les tares congénitales qui conduisent fatalement au crime en considérant que les actes honnêtes, sociaux ou antisociaux de l'Homme sont toujours le produit de son organisme psychologique et psychique. Selon la thèse de LOMBROSO, un enfant naît et demeure idiot, incapable de comprendre et de respecter les limitations imposées à la liberté

le fonctionnement de ministère de la justice est contrôlé donc on fait des statistiques pénales, à partir de là on a de la matière pour une étude scientifique. Voir Quételet (1). Ensuite on va commencer à travailler sur les aspects médicaux avec Lombroso en 1876 (2), qui se fonde sur la phrénologie, c'est-à-dire l'étude des crânes. Ensuite, on va avoir l'aspect sociologique, avec Ferri (3) en 1881. Tout ça aboutit en 1885 avec l'invention du mot « criminologie » de Garofalo (4), même si le terme

évolution plus raisonnée et plus scientifique que la précédente. CHAPITRE 1 : les différentes écoles de droit pénal A – L’école positiviste Elle correspond à la fin du 19e siècle. Cette doctrine fut développée par des criminalistes Italiens : Lombroso, médecin ; Ferri, professeur de droit pénal, avocat et homme politique ; Garofalo, magistrat. La doctrine positiviste est fondée sur le fait que l’homme est déterminé. La répression doit donc être calquée sur la personnalité du délinquant, mais

la conformation des dessins digitaux.(26) C'est d'ailleurs son intérêt pour les lois de l'hérédité qui a conduit le fondateur de l'eugénisme à se pencher sur les empreintes digitales. En tout cas, il a échoué, et si d'autres, comme les élèves de Lombroso, se sont aventurés sur ce terrain, c'est pour en revenir bredouilles. Rétablir aujourd'hui dans les prétoires, le lien entre un individu et une race ne constitue-t-il pas un danger ? Notes (1) Dans les pays anglo-saxons, toutes les disciplines

les aptitudes sociales et les attitudes morales du délinquant. Le fondateur de l'école anthropologique Cesare LOMBROSO, a classé les anomalies psychiques parmi les tares congénitales qui conduisent fatalement au crime en considérant que les actes honnêtes, sociaux ou antisociaux de l'Homme sont toujours le produit de son organisme psychologique et psychique. Selon la thèse de LOMBROSO, un enfant naît et demeure idiot, incapable de comprendre et de respecter les limitations imposées à la liberté

l’apanage exclusif des truands, il a conquis en prison quelques lettres, pas forcement nobles. Durant un siècle, s’écrivaient sur les « Hommes » bagnards, taulards et autres forçats. La poésie de la canaille malheureuse » (p179) Des auteurs, comme Lombroso et Lacassagne, se sont intéressés aux tatouages dans les milieux plus marginalisés ; notamment le milieu carcéral, qui était moins illustratif mais tout autant symbolique. Nous l’avons abordé brièvement dans l’introduction, l’époque de l’enquête

de l’auteur de l’infraction. b)    La criminologieElle se propose de rechercher quelles sont les causes, les conséquences de la délinquance et les remèdes que l’on pourrait y apporter. Les trois fondateurs de la criminologie sont italien :-    Lombroso (1835-1909), médecin : il va développer ce que l’on appelle la théorie du criminel né. Il publie en 1874 l’Homme Criminel et est considéré comme le père de l’anthropologie criminelle. Il va étudier les caractéristiques morphologiques des délinquants