Longues Didascalies

première scène de l’acte I, les didascalies sont particulièrement longues. Elles situent, pour le lecteur, l’action et les personnages, avant même la première réplique. Le spectateur, lui, est conditionné par le décor imposé. La scène est dominée par la présence de Don Salluste qui s’adresse à deux personnages visiblement inférieurs par leur costume : Gudiel paraît être un confident et Ruy Blas, un valet. 1. Les éléments d’une scène d’exposition Les didascalies initiales auxquelles s’ajoutent

informative, introduit l'absurde de part son écriture qui renouvelle totalement le genre dramatique. Ainsi, à l'ouverture de la pièce, le lecteur peut être frappé par l'abondance et la précision des indications scéniques et notamment par la longue didascalie initiale, titrée « décor ». L'étude analytique du texte révélera effectivement l'importance des éléments non verbaux dans ce début de pièce. Nous étudierons en quoi cette pièce d'exposition est annonciatrice de l'ensemble de la pièce. Elle

fait pour être joué, vu et entendu. Il faut donc être attentif à toutes les indications dans le texte -registres de langue, répartition de la parole, types de phrases- permettant de comprendre les intentions et sentiments des personnages ou les didascalies permettant de mieux comprendre certains points comme le lieu, le temps, le ton. I Composition d’une pièce Au début le changement d’acte était lié à la nécessité de changer les bougies donnant la lumière. Chaque acte doit constituer une unité

fait pour être joué, vu et entendu. Il faut donc être attentif à toutes les indications dans le texte -registres de langue, répartition de la parole, types de phrases- permettant de comprendre les intentions et sentiments des personnages ou les didascalies permettant de mieux comprendre certains points comme le lieu, le temps, le ton. I Composition d’une pièce Au début le changement d’acte était lié à la nécessité de changer les bougies donnant la lumière. Chaque acte doit constituer une unité.

ainsi le spectateur connaître sa nature profonde b) La parole permet le respect des règles → La règle de bienséance n'est ainsi pas mis à mal. Ainsi, la parole peut permettre le récit. Celui-ci prend, la plupart du temps, la forme d'une longue tirade, dans laquelle un personnage raconte ce que le spectateur ignore → pour éviter de représenter une scène qui ne respecterai pas la bienséance. Exemple: dans Phèdre de Racine la mort horrible d'Hippolyte ( traîné sur la plaine par ses

roi, salon de Danaé). - La richesse : magnifique, dorés (à 2 reprises), les adjectifs grande (grande fenêtre, grande cloison), large porte, longue galerie, enfin la présence de vitrages, soulignée par la répétition (cloison vitrée, porte également vitrée). - La pièce se localise dans le milieu des nobles de la cour → une action tragique - Dans les didascalies : l'évocation de Philippe IV, de son fils Charles II - Dans le texte, le nom alguazils (v.58) placent l' action à la fin du XVII ème siècle

quand même voulu surprendre les spectateurs en mettant du relief à sa prise de parole (exclamations, énervement) Changement d’humeur fréquent visible par l’alternance phrase exclamative/déclarative Présence d’hurlements 2) Représentation a) Didascalies : indications scénique pour le jeu de l’acteur b) Mais aussi pour le décor a utilisé KORAL Date : 30/01/12 Antoine 1S4 Devoir de Français ____________________________________________________________________________________________________________

Ensuite, nous pouvons relever la présence des didascalies, qui font parties du texte « écrit mais non dit ». Ces didascalies sont des éléments clés et caractéristiques du théâtre car elles montrent le découpage des pièces en actes et en scènes, et servent à indiquer qui doit parler et distribuent la parole. Elles donnent des indications sur le nom, la position sociale, les liens de parenté et le rôle théâtrale de chaque personnage. Cependant, les didascalies ont un rôle beaucoup plus important concernant

Exemple de commentaire rédigé. Rhinocéros, II, 2: didascalie liminaire. Cet extrait de Rhinocéros proposé à l'étude est une didascalie, c'est-à-dire une indication scénique (de décor, ici, ce qu'indique le terme "décor" en tête de l'extrait), qui n'est pas jouée mais qui est la marque de la communication directe de l'auteur au lecteur ou au metteur en scène. Une didascalie a pour fonction de présenter, d'informer sur les entrées et sorties des personnages, ainsi éventuellement, que sur

intense jeu de répétition comique où chaque fois qu’estragon répond il parle plus fort on le comprend grâce aux didascalies où il y a aussi un parallélisme. Le spectateur a donc l’impression que les deux personnages ne parviennent pas à s’entendre et à se comprendre. Il y a un comique de mots grâce au silence et un comique de situation les deux personnages se coupe la parole, didascalies ( se retourne simultanément) il est suivi d’un jeu de sympathie et d’amitié entre les deux personnages mais qui