Longueur

aujourd'hui par tous les sauteurs. « Fosbury » Technique « ciseau » -saut en longeur Le saut en longueur consiste à effectuer un bond à partir d'une planche d'appel (a ne pas dépasser) après avoir effectué quelques pas d'élan, en vitesse proche d'un sprint. -triple saut Le triple saut est une variante du saut en longueur. Comme son nom l'indique, le triple saut consiste à effectuer une série de trois bonds après élan : un premier à cloche-pied, le pied

est un rayonnement électromagnétique, une énergie émise par le soleil est composée de nombreuses longueurs d'onde différentes; elle voyage dans l'espace à la vitesse de 300 000km/s. Elle nous apporte la chaleur et la lumière dont nous avons besoin, mais aussi les ultraviolets nocifs. 1) Incidence des rayons UV: Les rayonnements ultraviolets (UV) est un rayonnement électromagnétique d'une longueur d'onde plus courte que celle de la lumière visible mais plus longue que celle des rayons X. Un

constante dans un milieu donné dans des conditions données. Par exemple : - la célérité du son dans l'air dépend de sa température. - La célérité d'une onde se propageant sur une corde dépend de sa tension et de sa masse linéique (masse par unité de longueur). 4. Croisement de deux ondes. Deux ondes se propageant dans le même milieu peuvent se croiser sans se perturber mutuellement. après III. Onde progressive à une dimension. 1. Introduction. Les propriétés générales des ondes évoquées précédemment

Radiation et longueur d’onde Une lumi`re monochromatique ne peut ˆtre d´compos´e par un prisme. e e e e Chaque radiation lumineuse est caract´ris´e par sa longueur d’onde λ dans le vide ou l’air. Son unit´ l´gale e e e e est le m`tre (m). e Le laser rouge utilis´ au lyc´e a une radiation de longueur d’onde λ = 633 nm. e e Remarque : Une lumi`re complexe est un m´lange de plusieurs radiations. Elle n’est pas caract´ris´e par une longueur e e e e d’onde. On lui associe une plage de longueurs d’onde. Domaine

indique que « les CD et les DVD conventionnels utilisent respectivement des lasers infrarouges et rouges », donc de longueur d’onde supérieures à celle du laser blu-ray. ν= 2. Diffraction 2.1. Expression de λ L L 2.1.1. tan θ ≈ θ = 2 = D 2.D 2.1.2. θ = avec λD en mètres, θ en radians et a en mètres. a L.a λ L 2.1.3. θ = = D ainsi λD = 2.D 2.D a λD 2.2. Détermination de la longueur d'onde λD de la radiation d'un laser de lecteur DVD L.a L '.a λD = et λB = 2.D 2.D L.a λD 2.D L = = λB L '.a L

physiologique du rayonnement dans les organes sensoriels. A partir du fait que la décomposition spectrale de la lumière blanche produit la perception de différentes couleurs, on peut en déduire que la perception de la couleur est liée étroitement à la longueur d'onde de la lumière. La perception de couleur est formée au niveau de notre cerveau par la superposition de signaux neuraux provenant de trois types de photorécepteurs différents répartis sur la rétine de l'oeil humain. Ces photorécepteurs appelés

SOURCE POLYCHROMATIQUE (lampe spectrale ou lampe à continu) A chaque longueur d'onde correspond un système de franges caractérisé par un interfrange qui dépend de λ . Si la source comporte plusieurs longueurs d'onde (par nature incohérentes puisque correspondant à des atomes émetteurs différents), les systèmes de franges vont se superposer d'où un brouillage plus ou moins important. Il n'y a que pour δ =0 que toutes les longueurs d'onde donnent des interférences constructives, par conséquent les franges

interférences (Mr Gastebois) 5. interférences (université de Nantes) 6. effet Doppler 7. spectres de raies d'absorption (Ostralo.net) Table des matières I) diffraction des ondes 1) le phénomène de diffraction 2) ondes lumineuses: relation entre longueur d'onde, taille de l'objet et ouverture angulaire II) Interférences 1) le phénomène d'interférence 2) Interprétation du phénomène d'interférence Animation: 3) Valeur de l'interfrange 'i' 4) interférences de la lumière blanche: couleurs interférentielles

nous allons étudier les ondes qui se propagent à la surface de l’eau : Les ondes de gravité de surface : pour de grandes longueurs d'ondes ( où la gravité domine et les oscillations de la surface se traduisent par un échange d'énergie entre l'énergie cinétique et l'énergie potentielle de gravité (À reformuler? Laisser la déf ?) Les ondes capillaires : pour de petites longueurs d'onde (. La tension de surface domine la gravité. Nous chercherons donc à mettre en évidence ces ondes de surface à l'aide

progressives sinusoïdales de fréquence N à la surface de l'eau. Le phénomène observé possède une longueur d’onde (. a) Définir la longueur d’onde (. b) Quelle relation existe-t-il entre la longueur d’onde (, la fréquence N et la célérité v des ondes observées ? 1.2. A l'aide de la photo 1 (page 4), déterminer le plus précisément possible la longueur d'onde (1 et calculer la célérité v1 des ondes sachant que pour cette expérience 1 la fréquence