Lorelei

disciples. À la fin de cette même saison, il veut faire de Jane son disciple mais Jane organise un piège, que John le Rouge évitera. Dans la cinquième saison, Jane dresse une liste de sept suspects pouvant être John le Rouge grâce aux paroles de Lorelei Martins, qui lui avait indiqué qu'ils s'étaient serrés la main par le passé, s'étonnant qu'entre manipulateurs, John et Jane ne soient pas alors devenus amis. À la fin de cette même saison, John le Rouge fait comprendre à Jane qu'il a changé les règles

la nature, mort des hommes, mort de l'amour, mort de l'identité du poète ("que sais-je " / " à moi ce cœur changeant " ) -> désagrégation de l 'être aimé dans le futur -> les cheveux et l'eau, dans le motif de la noyade (cf. le mort d'amour et la Lorelei par exemple, les mains et l'automne. La dernière strophe affirme la revanche du poète sur le temps puisqu'il devient parole / poétique, l'errance et la rêverie sont terminés, le livre ancien évoque l'histoire définitivement terminée. L'intarissable

le poète est attablé la nuit dans une sorte de cabaret entouré d'autres buveurs à qui il semble s'adresser : "debout, chantez plus haut". -Mais l'alcool, la chanson lente, le rêve l'entraînent dans un autre monde, plus beau peut-être, celui de la Lorelei, des légendes germaniques (Cf.: l'or du Rhin) où les sorcières fascinantes nous attirent par leur chant au fond de l'eau.   Tout est double dans le poème, le poète voit double : le monde et son reflet, le passé et le présent, les fées et les femmes

fréquente la bibliothèque Mazarine. Un an après, il part en Allemagne comme précepteur pour la famille de Milhau. C’est ici qu’il rencontre Annie Playden dont il tombe amoureux. C’est la période « Rhénane » dont ses recueils portent la trace La Lorelei, Schinderhannes. Annie quitte la famille Allemande, Guillaume Apollinaire la suit. Pour le fuir définitivement, Annie part en Amérique. Il célèbre sa relation et la douleur de la rupture dans de nombreux poèmes dont Annie ou La chanson du mal-aimé

dialecte wallon. En 1901 et 1902, il est précepteur pour la vicomtesse Elanor de Milhaud. Il tombe amoureux de la gouvernante anglaise Annie Playden qui refuse ses avances[3]. C'est la période « rhénane » dont ses recueils portent la trace (La Lorelei, Schinderhannes). De retour à Paris en août 1902, il garde le contact avec Annie et se rend auprès d'elle à deux reprises. Mais en 1905, elle part pour l'Amérique. Le poète célèbre sa relation avec Annie et la douleur de la rupture dans de nombreux

genres et registres – le lyrisme Perspective(s) complémentaire(s) : histoire littéraire et culturelle   ▪ Œuvre intégrale : APOLLINAIRE, « Rhénanes » (Alcools) Textes expliqués en classe - Nuit rhénane - Mai - La Lorelei - Rhénane d’automne Études d'ensemble - La biographie d’Apollinaire - Quelle évocation du fleuve et des réalités rhénanes ? Lectures cursives, documents et textes complémentaires : APOLLINAIRE, Alcools Prolongements

la nature, mort des hommes, mort de l'amour, mort de l'identité du poète ("que sais-je " / " à moi ce cœur changeant " ) -> désagrégation de l 'être aimé dans le futur -> les cheveux et l'eau, dans le motif de la noyade (cf. le mort d'amour et la Lorelei par exemple, les mains et l'automne. La dernière strophe affirme la revanche du poète sur le temps puisqu'il devient parole / poétique, l'errance et la rêverie sont terminés, le livre ancien évoque l'histoire définitivement terminée. L'intarissable

Cannes et de Nice. En 1901 et 1902, il fut précepteur pour la vicomtesse Elanor de Milhaud. Il tomba amoureux de la gouvernante anglaise Annie Playden qui refusa ses avances. C'était alors la période « rhénane » dont ses recueils portent la trace (La Lorelei). De retour à Paris en août 1902, il garda le contact avec Annie et se rendit auprès d'elle à deux reprises. Mais en 1905, elle partit pour l'Amérique. Le poète célébra sa relation avec Annie et la douleur de la rupture dans de nombreux poèmes, dont

et de Nice. En 1901 et 1902, il fut précepteur pour la vicomtesse Elanor de Milhaud. Il tomba amoureux de la gouvernante anglaise Annie Playden qui refusa ses avances. C'était alors la période « rhénane » dont ses recueils portent la trace (La Lorelei, Schinderhannes). De retour à Paris en août 1902, il garda le contact avec Annie et se rendit auprès d'elle à deux reprises. Mais en 1905, elle partit pour l'Amérique. Le poète célèbra sa relation avec Annie et la douleur de la rupture dans de nombreux

forgé le nom. En 1901 et 1902, il fut précepteur pour la vicomtesse Elanor de Milhaud. Il tomba amoureux de la gouvernante anglaise Annie Playden qui refusa ses avances. C'était alors la période « rhénane » dont ses recueils portent la trace (La Lorelei, Schinderhannes). De retour à Paris en août 1902, il garda le contact avec Annie et se rendit auprès d'elle à deux reprises. Mais en 1905, elle partit pour l'Amérique. Le poète célèbra sa relation avec Annie et la douleur de la rupture dans de nombreux