Louis Vi Suger

commerciale… Mais cette empire est éphémère, Charles magne a un seul héritier louis le pieu, et il parvient a le maintenir. Mais à sa mort, les conceptions germanique refont surface, et les successeurs a louis l pieu ne parviennent pas à s’entendre. Et en 843 à lieu le partage de Verdun. Désormais cet empire se scinde en 3 : La Francia occidentalise attribuer à Charles le chauve (ouest de l’empire) La Francia orientalise attribuer à Louis le germanique (lest de l’empire) La Lotharingie est attribuer à Lothaire

facteurs défavorables qui ont entraîné un échec : - existence de guerres de successions entre les héritiers de l’Europe. Louis Le pieu (fils de Charlemagne) avait lui-même plusieurs fils ce qui posait problème pour les héritages. Les guerres entre ces fils les affaiblirent beaucoup. Partage de l’empire en 843. En 842, Les deux fils qui s’étaient alliés (Charles et Louis) avaient prêté serment à Strasbourg, en romain et en german. Traité de verdun partage l’empire en 3 parties : Est : Francia Orientalis

pour mieux se faire comprendre de leurs fidèles. En 842, le 1er témoignage en roman (donc encore proche du latin) est un document officiel “les serments de Strasbourg” relatif à l’alliance des deux petits-fils de Charlemagne, Charles le Chauve et Louis le Germanique, contre leur frère Lothaire. En 881, apparaît le 1er texte littéraire “la Séquence de Sainte Eulalie”, un poème à la gloire de la sainte martyre. La langue du Moyen Age n’a pas d’unité : les dialectes se multiplient. On distingue

l’élu de Dieu et sa personne est inviolable. A partir de ce sacre la titulature, le titre donné aux rois sera même «roi par la grâce de Dieu », on pense qu’il est pénétré par l’esprit divin ce qui lui permet de guider son peuple. A partir de 813(Louis le Pieu), on commence à développer la notion de ministère royal (ministerium regis), le roi doit faire régner l’ordre au sein de la société et faire en sorte que cette société soit conforme à la morale chrétienne. Pour ce faire il va devenir le protecteur

que l'empereur doit servir dans l'intérêt général de l'empire. Avec Héraclius il y a un changement important, affirmation du principe d'hérédité. Avant 610 la fonction impérial avait les caractéristiques de la fontion impériales romaine. Jusqu'au VI siècle le latin était la langue officielle de l'empire. Puis on a vu le grec qui se répand et devenir la langue officielle de l'empire. Puis de façon identique il n'y a jamais eu de règles strictes qui déterminent la succession à la dignité impérial

I (497-561) et Dagobert (623-639], le pouvoir du roi ne retrouve jamais des assises juridiques comparables à ce qui avait existé en Gaule à l’époque romaine (Pax romana). Pourtant, ces temps ne sont ni e universellement noirs (malgré la peste au VI siècle), ni dépourvus d’un certain ordre (lois barbares) pour lequel, il est vrai, les évêques et les moines travaillent plus efficacement que les compagnons du roi : ce sont eux qui assurent auprès des populations la protection et l’encadrement dont

cela montre que la tradition du partage était plus forte que le renouveau de la « respublica ». Ce fils, Louis le pieux, a cherché à maintenir l’indivisibilité de l’empire. Cet empereur était entouré d’évêques qui lui rappelaient la conception ministérielle du pouvoir, le pouvoir impérial était pour eux une institution qu’il fallait transmettre et surtout pas diviser. À la suite d’un accident, Louis le pieux échappa à la mort et se montra pressé de régler sa succession et sous la pression de l’église

Charlemagne, l’unité de l’empire est menacée. Les comtes échappent à l’autorité de l’empereur et la sécurité extérieure est mise en danger par le retour des invasions. En 814, Louis le Pieux succède à son père mais ses fils se livrent une guerre fratricide. A la mort de Louis en 840, la guerre reprend de plus belle entre l’aîné Lothaire, Louis le Germanique et Charles le Chauve. En 843, l’empire est partagé par le traité de Verdun. La monarchie connaît un tel affaiblissement que la majeure partie du royaume

géopolitique des siècles à venir. Pour rester dans le thème de la langue et de la culture, le serment de Strasbourg est un tournant dans l’abandon progressif du latin comme langue vivante. En effet en 842 en plein partage de l’Empire de Charlemagne, Louis et Charles décident de s’unir contre Lothaire. Un accord doit donc être signé et approuvé par les troupes de l’un et de l’autre. Ces dernières, ne parlant pas le latin, auraient juré sur un texte qu’elles n’auraient pas comprit, les deux frères décidèrent

contractuelle, de nature personnelle puisqu’elle est fondée sur des liens d’hommes à hommes. Elle est fondée plus exactement sur la fidélité personnelle au roi et non pas une fidélité prêtée à l’institution royale. Ainsi les rois mérovingiens des VI et VII exigent de leurs hommes libres, appelés les grands du royaume, les leudes, qu’ils lui prêtent serment au début de son règne. Ce serment pourra être renouvelé chaque fois que des évènements paraissent ébranler la confiance que les rois placent