Lucius Munatius Plancus

écrasent Brutus et Cassius, âmes de la conjuration anticésarienne de 44 av. J.-C. Cassius, vaincu par Antoine, se suicide et Brutus, vaincu trois semaines après, le 23 octobre 42 av. J.-C., se suicide à son tour. L'année suivante, le frère de Marc Antoine, Lucius Antonius Pietas, alors consul et la femme de Marc Antoine, Fulvie, s'opposent à Octave, qui décide des opérations militaires contre Pérouse. En février 40 av. J.-C., la guerre de Pérouse se termine et les Triumvirs, réconciliés grâce à l'entremise

Celtes, plus connu sous le nom de « Gaulois ». Ils furent les fondateur de Condate appelé aujourd’hui Conflent. Le bourg des Confluents se situe entre le Rhône (fleuve) et la Saône (rivière). Lyon a été crée en -43 avant J.C par un certain Lucius Munatius Plancus, qu’il appela « Lugdunum ». C’était une ville très importante pour les romains car ils l’appelaient « la deuxième Rome ». On retrouve donc beaucoup de bâtiments de la ville romaine à Lyon. En 476, c’est la chute de Rome et les Burgonde

exerce un contrôle externe sur les opérations budgétaires, comptables et financières de l'État.  Concernant l'administration :  10 Octobre en l'an - 44 : Fondation de Lyon Le 10 octobre, le lieutenant de César Lucius Munatius Plancus fonde une colonie sur la colline de Lugdunum qu'il baptise "Colonia copia Lugdunum". Elle est destinée à abriter les citoyens romains chassés de Vienne par les Allobroges. La ville deviendra la capitale administrative et religieuse des trois

la Gaule du Sud. A Narbonne : nouveaux colons vétérans de l'armée de César en 45 av. JC. A l'origine de Béziers, Fréjus, Arles et Orange : vétérans d'Auguste ou de César. Nîmes = colonnie. En 43 av. J.-C. : création de Lyon (Lugdunum) par Lucius Munatius Plancus. A cette époque de nombreuses cités sont fondées : Autun, Angers, Tours.. Parfois les peuples sont liés par des traités, d'autres sont libres (Arvernes). Les peuples vaincus gardent ainsi des privilèges, en état fédérés. Leurs avantages fiscaux

meurent au cours de leur assaut. Octave se trouve aussi dans cette bataille. Antoine dut alors surmonter de terrible épreuves, résister à la faim, à la soif. Antoine rejoignit alors le camp de Lépide, son ami, ou il se rendit maître de son armé, Munatius Plancus, sénateur consul en -42 et censeur en -22 et Suétone dit que c’est lui qui suggéra le nom d’Auguste à Octave, se joignit à lui, si bien qu’Antoine marcha sur Rome avec dix-sept légions et dix mile chevaux. Octave se détacha rapidement de Cicéron

au pied du Capitole. (3) Elle compte successivement vingt-huit consulats, cinq dictatures, sept censures, sept triomphes et deux ovations. (4) Elle était distinguée par différents prénoms et surnoms. Mais, d'un commun accord, elle rejeta celui de Lucius, parce que deux de ses membres qui l'avaient porté furent convaincus, l'un de brigandage, l'autre de meurtre; (5) et, parmi ses surnoms, elle adopta celui de Néron, qui en langue sabine signifie brave et vaillant. (1) Beaucoup de Claudii se signalèrent

magistrature municipe Affranchissement Colonie romaine Acquisition collective de la citoyenneté Armée romaine/troupes auxiliaire Citoyenneté ouverte travail en autonomie par groupes sur dossier documentaire Les auteurs de la lettre sont Marc Aurèle et Lucius Verus, coempereurs entre 161 et 169. les empereurs possèdent le pouvoir législatif. Ils produisent des textes juridiques complémentaires aux lois qui expliquent comment la loi doit être appliquée ; il s’agit ici d’une constitution : en réponse à une

favorables : milieu noble des deux parents. Une telle naissance prédestinait César au consulat. Cette magistrature était d'abord l'ambition des parents et ensuite celle de César. Les Jules appartenaient au patriciat. La mère de César était fille du consul Lucius Aurelius Cotta, ce qui apportait à César tout l'appui des Aurelii Cottae. 3. Le contexte politique • Le sénat était divisé entre les populares qui désiraient une loi agraire, prendre aux riches pour donner aux pauvres; et les optimates

bien disposé à l’égard du peuple romain, ou qu’ils les y contraindraient par la force. Tout étant prêt pour le départ, ils fixent le jour où l’on doit se réunir sur la rive du Rhône : ce jour était le cinq des calendes d’avril, sous le consulat de Lucius Pison et d’Aulus Gabinius 6. VII. — César, à la nouvelle qu’ils prétendent faire route par notre Province, se hâte de partir de Rome 7, et gagne à marche forcées 8 la Gaule ultérieure, où il arrive devant Genève. Il ordonne de lever dans toute la

de Rome ; en cas de refus, ils les contraindraient par la force. Une fois tous les préparatifs de départ achevés, on fixe le jour où ils doivent se rassembler tous sur les bords du Rhône. Ce jour était le 5 des calendes d'avril, sous le consulat de Lucius Pison et d'Aulus Gabinius. 7. César, à la nouvelle qu'ils prétendaient faire route à travers notre province, se hâte de quitter Rome, gagne à marches forcées la Gaule transalpine et arrive devant Genève. Il ordonne de lever dans toute la province