Lutte ouvrière

Thèmes majeurs Le matérialisme historique Contre l'idéalisme hégelien qui voit dans l'Histoire la réalisation de l'Esprit, Marx et Engels soutiennent que c'est la production de la vie matérielle (en particuliert les rapports de production et la lutte des classes qui en résulte) qui permet d' "expliquer (...) toute la superstructure des institutions juridiques et politiques, ainsi que des conceptions religieuses, philosophiques et autres de toute période historique." Ainsi, les formes de conscience

s’agit de Karl Marx et de Ferdinand Lassalle. Karl Marx, économiste et philosophe allemand, souvent associé à Friedrich Engels, veut extraire la société de ce qu’il appelle la « lutte des classes », concept d’abord évoqué en France par l’historien François Guizot, selon lequel la société et l’économie sont marquées par une lutte constante de survie entre des classes sociales antagonistes. Il appartient au courant révolutionnaire. Parallèlement, Ferdinand Lassalle, homme politique allemand, prône un changement

«salariés en bas de l'échelle, menacés par le chômage, ne peuvent évidemment pas prendre le risque de perdre leur emploi». Cela traduit un éclatement du monde ouvrier. Le recul des conflits du travail concourt au déclin de la classe ouvrière au sens marxiste, puisque la lutte des classes était selon cette analyse un élément déterminant de la conscience de classe. Ainsi, l'idée d'un antagonisme entre classes sociales aurait perdu toute sa pertinence aujourd'hui, la société française se serait moyennisée

population. Le dictateur aurait causé en tout la mort de 65-70 millions de personnes en Chine. Hô Chi Minh en 1941 crée un parti communiste vietnamien, le viêt-minh, et se consacre au combat pour l’indépendance du Vietnam qu’il proclame en 1945. Puis il lutte pendant neuf ans contre l’armée française. La bataille de Diên Biên Phu fut la plus longue, la plus furieuse, la plus meurtrière de l'après Seconde Guerre Mondiale, et l'un des points culminants de la Guerre Froide. On estime à près de 25 000 le nombre

d'existence des hommes (en particulier leur place dans les rapports de production) qui détermine leur conscience et non l'inverse. Pour lui, la dialectique de l'histoire trouve son origine dans les contradictions entre les classes sociales, dans la lutte entre leurs intérêts divergents ainsi qu'entre le développement des forces productives et les rapports sociaux issus de leur état antérieur. «Dans la pratique sociale de leur vie, les hommes entrent en rapports déterminés, nécessaires, indépendants

fondée sur l’exaltation de la lutte des classes, l’appel à la révolution contre le capitalisme, et l’instauration de la dictature du prolétariat ; cette attitude du S.P.D. est cohérente avec sa prétention d’avoir changé : « D’un parti de la classe ouvrière, le S.P.D. est devenu un parti du peuple ouvert à tous », puisque patrons, actionnaires et ouvriers collaborent à une œuvre commune. La fin de l’extrait situe à nouveau les choix du S.P.D. dans une perspective de lutte contre le communisme Est-Allemand :

l'Etat, qui sont des réalisations imaginaires, et substitue la conscience humaine à la conscience divine. Pour lui, le socialisme consiste à supprimer les besoins de Dieu et non pas Dieu lui-même. Karl Marx développe une philosophie basée sur la lutte des classes (exploitants et exploités) qui est le moteur de l'histoire. Le matérialisme dialectique se caractérise par le primat de l'histoire (tout évolue), le progrès venant de contradictions résolues, l'action réciproque des choses les unes sur

de lancer des copératives ouvrières qui seraient subventionnées par l'Etat. Ces 2 utopistes pensent que la coexistance entre la propriété privée et la propriété collective n'est pas un problème. Etienne Cabet dans un ouvrage intitulé voyage en Icarie, propose une société où la propriété privée serait supprimée et organisée sous la forme d'une fédération, elle serait chrétienne car le Christ demande le partage des biens. Blanqui propose une analyse très fine de la lutte des classe et précise notament

conflit : un dysfonctionnement social ? A-Définir le conflit Le conflit fait l'objet de différentes approches : Pour Marx, il est au cœur des rapports de production et de la société capitaliste. Il explique les conflits par l'exploitation de la classe ouvrière par la bourgeoisie : c'est une raison économique objective. Pour Durkheim, il ne fait pas partie de la vie sociétale normale, c'est une rupture de la cohésion sociale. Les conflits sociaux sont l'occasion de l'action collective et par là, des mouvements

classique s’inscrit dans la vision libérale des classiques  Père de la microéconomie  Système économique = Capitalismesystème libérale III. Courant marxiste : Karl Marx (1818-1883) - Moteur de l’histoire = la lutte des classes - Capitalisme = opposition entre classe ouvrière –prolétariat- et la bourgeoisie qui détient des moyens de production (exploitation). - Valeur du travail (Adam Smith). - L’Etat est au main de la bourgeoisie et défend ses intérêts.  Contre la main invisible 