Lycurgue

PRÉSENTATION EN HISTOIRETHÈME :LES APPORTS DES CIVILISATIONS ANTIQUES---------------------------------------------INTRODUCTION La civilisation grecque a exercé une influence considérable dans le monde antique par ses différents apports aussi bien, du point de vue culturel que intellectuel. La cité de Sparte fait partie des différentes cités-états tels que Athènes et Thèbes ayant eu un apport important dans l'émancipation de cette grande civilisation antique. Cependant, comment était

palestre lancer de disques, de javelot et la lutte[footnoteRef:4] [2: Calame, C., Les Chœurs de jeunes filles en Grèce archaïque, Rome, 1977] [3: Xénophon, Constitution des Lacédémoniens, 4, v. 377-378 a. C.] [4: Plutarque, Parallèle des vies de Lycurgue et Numa, 3, 7, v. 100-120 p. C.] b. Les jeunes filles au service de la religionLe service religieux s’ajoute à l’éducation et donc au rituels de sortie qui participent à l’intégration des jeunes filles dans la vie de la cité. Athènes : jeunes filles

faire part de leurs biens aux pauvres ». Sa théorie est alors un échec , pour Jean Bodin , car il n'est pas parvenu à la mettre en pratique. L'auteur nous apprend aussi que Lycurgue, un législateur mythique de Sparte « banni l'usage de l'or » afin de mettre fin a la thésaurisation et inciter les gens à partager leur richesse. Lycurgue « partagea également tous les héritages » ,on sait en effet qu'il entama une redistribution des terres, la Laconie fut divisée en 30 000 lots et le territoire civique de

beau" là où la nature souhaite lui offrir la vie, et que les oiseaux chantent mieux sans l'influence des hommes. Ces trois vers montrent très bien que, selon lui, l'artifice ne fait qu'enlaidir. Il nous parle ensuite de deux législateurs, Platon et Lycurgue, qui racontent que l'art, autrement dit la création de l'homme, rend la nature imparfaite. Ce texte se termine par l'énumération des choses que les cannibales n'ont pas. On peut constater que la totalité de ces choses ne sont que des créations de

personnel « je » ligne1, du pronom possessif « mon » ligne1, du pronom réfléchi « me » lignes 24, 2. Utilisation du pronom « nous » qui exclu le narrateur, lignes 8, 9, 5, 11 … Citation d’auteurs et philosophes de l’antiquité : « Platon » l20-29 et « Lycurgue » l29. Utilisation de verbes d’état « se trouver » l13, « être » l3, « sembler » l3, « avoir » l3 … Verbes en général au présent. Utilisation du présent de vérité générale. Longues phrases déclaratives avec de multiples virgules. Rythme des phrases :

remonte aux origines mêmes de l’occupation des lieux et les traditions mythiques rapportées essentiellement par Pausanias, oscillent entre l’union et le conflit avec des incidents à la frontière des deux régions. Selon les traditions divergentes Lycurgue est dit avoir importé de Crète la constitution de Sparte, ou bien l’avoir reçue d’un oracle d’Apollon Pythien, le dieu fondateur par excellence. Cette rhètra, prévoit la fondation d’un sanctuaire de Zeus et d’Athéna qui sont des divinités poliades

fort peu abâtardies par les nôtres : Mais c'est en telle pureté, qu'il me prend quelque fois déplaisir, de quoi la connaissance n'en soit venue plus tôt, du temps qu'il y avait des hommes qui en eussent su mieux juger que nous. Il me déplais que Lycurgue et Platon ne l'aient eue : car il me semble que ce que nous voyons par expérience en ces nations-là, surpasse non seulement toutes les peintures de quoi la poésie a embelli l'âge doré, et toutes ses inventions à feindre une heureuse condition d'hommes

commandent encore, fort peu abâtardies par les nôtres, mais c'est dans une telle pureté qu'il me prend quelquefois déplaisir que la connaissance n'en soit venue plus tôt, du temps qu'il y avait des hommes qui eussent su juger mieux que nous.... Ils ( Lycurgue et Platon) n'ont pu imaginer une naïveté aussi pure et simple que nous la voyons par expérience. Ils n'ont pu croire non plus que notre société peut se maintenir avec si peu d'artifice et de soudure humaine. C'est un peuple, dirais-je à Platon, dans

d’honneur que de la tradition. En effet, l’auteur évoque le fait que les partheniens n’ont pas d’héritage et « se croyaient entachés d’infamie par leur adultère ». On s’aperçoit alors que Justin fait en effet indirectement référence aux lois de Lycurgue. La consultation de l’oracle n’est pas évoquée et l’installation sur le site tarentais semble plus découler de leurs « diverses aventures » que d’une prévision précise. De plus, il n’est pas précisé qu’il y a volonté de colonisation mais simplement

Dans la mythologie grecque, Atalante (en grec ancien Άταλάντη / Átalántê) est une héroïne présente dans deux traditions différentes. Dans la version arcadienne, elle est la fille d'Iasos, roi du Péloponnèse, fils de Lycurgue, et de Clymène, fille de Minyas. Comme Iasos ne voulait pas de fille, elle fut abandonnée à la naissance, et recueillie par une ourse dans la forêt du Pélion. Des chasseurs enfin la trouvèrent et l'élevèrent ; elle devint une chasseresse redoutable, se distinguant notamment