Lycurgue

Lacédémoniens) Elles les pratiquaient en plein air, en compagnie des garçons et souvent peu vêtues (Xénophon, République des Lacédémoniens), ce qui choquait beaucoup les Athéniens. (Euripide, Andromaque) C'était dans le même souci d'eugénisme que Lycurgue, le législateur légendaire de Sparte, aurait réglementé les relations des jeunes époux (Xénophon, République des Lacédémoniens) et recommandé, dans certains cas, l'adultère. (Xénophon, République des Lacédémoniens) La femme n'était donc considérée

constitution spartiate «  Grande Rhêtra » du sanctuaire de Delphes. La constitution spartiate fait coexister plusieurs éléments comme la dyarchie ( deux rois), l'oligarchie ( gérousie, éphores)et la démocratie ( l'assemblée, « ékklésia »). Dès la reforme de Lycurgue au VIIème siècle environ, Sparte possède deux rois représentant la familles des Agiades pour l'un, et celle des Eurypontides pour l'autre . Le pouvoir est exercé par ces deux rois , ici Agésilas, roi eurypontide, est nommé dès la l.1 mais le deuxième

DIONYSOS ou Bacchus Sa naissance : DIONYSOS est né de Zeus et de Sémélé fille du roi de Thèbes. Sa vie : Il mène une adolescence mouvementée : selon l' Iliade , il est d'abord poursuivi par Lycurgue, puis est fait prisonnier par des pirates Tyrrhéniens, auxquels il n'échappe qu'en réalisant d'effrayants prodiges ( hymnes homériques ). Son culte excite d'abord les railleries, et il doit châtier les filles d'Eleuthère ainsi que Penthée, roi de Thèbes, pour cela Dionysos est avec apollon

Corinthe deviennent de grandes puissances marchandes autant que maritimes ; Athènes et Sparte entament une rivalité qui dominera l'Histoire grecque durant des générations. À Sparte, l'aristocratie foncière maintient son pouvoir que la Constitution de Lycurgue (vers 650) ne fera que renforcer en donnant à Sparte un régime militaire permanent sous forme d'une monarchie bicéphale. Sparte domine les autres cités du Péloponnèse, avec les seules exceptions d'Argos (la plus vieille des cités grecques) et de

les Athéniennes.[7] Ce qui était primordial pour la femme était la maternité. Lycurgue a institué des courses et des épreuves physiques entre hommes et femmes, car il croyait que si les deux parents étaient solides et énergiques, leurs enfants le seraient tout autant.[8] La seule raison pour laquelle les jeunes femmes pouvaient faire de la gymnastique comme les jeunes garçons était l’eugénisme.[9] Le législateur Lycurgue croyait que les enfants n’étaient pas la propriété de leur père. Ils étaient

accordé le partage des terres des aristocrates. Athènes connait dans les années -560 une lutte entre deux génos de grandes familles aristocratiques. Tout d’abord, Mégaclès de la familles des Alcméonides, chef des gens de la cote, les Paraliens, contre Lycurgue de la famille Etopoutades chef des gens de la plaine, les Pédiens. Enfin vient s’ajouter Pisistrate, chef des gens de la montagne, les Dariens ou Hyperacriens. Et c’est finalement Pisistrate en rusant qui va arriver au pouvoir et installer une tyrannie

« je » ligne1, du pronom possessif « mon » ligne1, du pronom réfléchi « me » lignes 24, 2. • Utilisation du pronom « nous » qui exclu le narrateur, lignes 8, 9, 5, 11 … •Citation d’auteurs et philosophes de l’antiquité : « Platon » l20-29 et « Lycurgue » l29. •Utilisation de verbes d’état « se trouver » l13, « être » l3, « sembler » l3, « avoir » l3 … •Verbes en général au présent. Utilisation du présent de vérité générale. •Longues phrases déclaratives avec de multiples virgules. •Rythme

plupart de ses notices biographiques, en effet, l'auteur semble ne pouvoir s'empêcher de faire une brève comparaison entre la vie qu'il vient de relater et celle d'un autre personnage de l'histoire. Ainsi fait-il des vies de deux grands législateurs, Lycurgue de Sparte et Numa Pompilius, mais aussi de celles d'Alexandre le Grand et de Jules César, deux hommes de guerre, ainsi que de Démosthène et de Cicéron, tous deux orateurs. Les Vies parallèles sont intéressantes non seulement du point de vue historique

pouvoir sur les hommes que l’habitude et la tradition. L’auteur nourrit ses idées d’exemples puisés le plus souvent de l’Antiquité. Il donne ainsi l’exemple de Lycurgue, “législateur de Sparte” qui élève deux chiens, frères, l’un habitué au confort et à manger, l’autre, habitué à la chasse et donc à courir dans les champs. Lorsque Lycurgue met devant eux une soupe et un lièvre, le premier choisit la soupe, le second court après le lièvre. Bien qu’ils soient frères, ce n’est pas la nature et leurs

fidélité n’est pas une obligation. La place des femmes et restreinte à la reproduction. Elles sont physiquement entraînées pour engendrer des soldats forts et robustes. II) Système Politique Le système politique Spartiate serait l’oeuvre de Lycurgue, fils d’un roi spartiate. Il fait coexister l’oligarchie, la dyarchie, la tyrannie et la démocratie. On trouve plusieurs composantes du système politique spartiate: 1) L’isonomie dans laquelle on trouve une égalité des droits politiques: les citoyens