Légalité Des Pouvoirs Exceptionnels Du Président

contentieux est donc ressorti à l'administration elle-même (= l'adm° va se juger elle-même) = Système de l'administrateur-juge / Système de la justice retenue. => Situation pas contraire à L'esprit des lois, ni au Principe de la séparation des pouvoirs de Montesquieu. Mais cela pose un problème concernant l'Equité, car l'adm° est juge et partie. Pour pallier ce pb, on a crée des adm° consultatives de 2 types: _ Le Conseil d'Etat (CE), crée par la C° du 22 frimaire an VIII. (1799). _ Le Conseil

Bordeaux. A Toulouse, le doyen Hauriou estimait que la notion de puissance publique est au c' ur du Droit administratif, que l’État est une puissance publique personnifiée et que le Droit administratif porte sur les moyens de l’administration, les pouvoirs juridiques reconnus aux administrations. Celle de Bordeaux, conduite par le doyen Duguit, considère que c'est la notion de service public qui est le critérium du Droit administratif. Elle est finaliste et considère que le but de l’administration

administratif, cela pose donc la question des pouvoirs du gouvernement et de l’administration de poser des normes générales. Aujourd’hui et depuis la 5ème République, son domaine d’intervention est limité mais les divers types de lois sont toujours la principale source du droit écrit. La Constitution de 1958 opère une distinction claire en apparence entre le domaine de l’article 34 qui est celui du législateur et le domaine de l’article 37 qui est celui du pouvoir règlementaire. Le Conseil d’Etat s’est

institutions :Au cours de 4 mois de ‘’dictature’’, les principaux rouages du régime sont mis en place. Ici le terme ‘’dictature’’ est à comprendre au sens romain, soit une période exceptionnelle où toute légalité est suspendue pour rétablir la situation et sauver la cité. Ici, la dictature cesse le 27 mars 1852, au moment où les pouvoirs sont constitués. La première session législative a lieu deux jours plus tard. La nouvelle constitution est bâclée en quelques jours. Rédigé par Rouher, qui l’achève presque

profit du JA s’agissant des REP et des RPC est un PFRLR. « Relève en dernier ressort de la compétence de la juridiction administrative l’annulation ou la modification des décisions prises par les autorités administratives » (autorités exerçant le pouvoir exécutif, leurs agents, les collectivités territoriales de la République ou les organismes publics placés sous leur autorité ou leur contrôle). Le CE est compétent pour connaître des actes qui sont imputables aux personnes morales de droit public

sur les organes et les personnes ........................................................................ 24 La portée du contrôle .................................................................................................. 25 Contrôle de la légalité des actes...................................................................................... 25 Contrôle de l'opportunité des actes................................................................................. 27 Contrôle de la gestion et de

conséquences du contrôle de Conventionnalité, il existe deux possibilités: la loi est conforme au Traité, donc on applique la loi. La loi n'est pas conforme au Traité, elle doit donc être écarté ( le juge n'a pas le pouvoir de l'annulé) au profit de la norme supérieur. Le Conseil d'État a confirmé la jurisprudence Nicolo à l'égard de plusieurs types de normes internationales. .Arrêt du 24 Septembre 1990, « BOISDET »du Conseil d'État (règlement communautaire)

un moyen de défense des citoyens contre les abus de la puissance publique. C’est pourquoi dans les Etats, l’administration qui est le bras séculier de l’Etat, doit être soumise à toutes les normes juridiques supérieures, constitutives du « bloc de légalité ». C’est ce que l’on a appelé « Etat de droit » marqué par la soumission de l’administration au droit et par la faculté de recourir aux juridictions pour régler les litiges impliquant celle-ci. Alors, le recours en justice administrative ici, est

mais qui vit en société, c’est un être collectif. L’existence d’autorité, le pouvoir est inhérent à toute forme de société. Dans toute société humaine, l’absence d’autorité conduirait à de graves perturbations qui menaceraient la société. Le pouvoir politique est secrété par la société elle-même pour assurer son existence. Toute société pour résoudre des conflits ou pour apaiser des tensions sociales va secréter un pouvoir chargé d’assurer l’ordre et de créer un équilibre entre ces contradictions

de subordination au pouvoir politique. Elle se justifie par le fait que c’est le pouvoir politique qui exprime la volonté général, plus précisément, c’est lui qui détermine ce que recouvre l’intérêt général, l ‘administration a donc pour mission l’intérêt général, c’est le pouvoir politique qui le définit, mais ce déficit de légitimité explique quelle se contente d’exécuter les actes du pouvoir politique. (L’Administration a un pouvoir réglementaire d’exécution, le pouvoir réglementaire appartient