Légitimité Des Syndicats Représentatifs

un prince germain qui prend le relais et il fonde un autre empire, plus vaste qui couvre l’empire romain et l’empire germanique. Cet empire est souvent resté vide. L’empereur n’a pas de légitimité politique. D’une part car il ne se succéder pas selon le principe du droit divin et il n’y a pas non plus la légitimité populaire. L’empereur est élu par un conseil des puissants : un arrêt opage. Mais se faisait le plus souvent par la corruption. Les royaumes n’ont eu aucune difficulté à s’affranchir de

un pouvoir de contrainte. Le Pouvoir normatif est le pouvoir de créer des règles contraignante étant entendu que d'autres que l’État dispose aussi de ce pouvoir, les particuliers et les groupements tel que les associations, les sociétés, les syndicats peuvent imposer mais par contrat càd un accord de volonté des obligations à leurs membres ou a leurs adhérents. S’agissant de l’État le pouvoir normatif s'exprime normalement par voie de décision unilatérale cad par une manifestation unilatérale

l’époque on se limitait à l’étude de la Constitution : l’organisation et la formation des pouvoirs publics et leurs relations. C’est à cette époque que sont nées les grandes notions du droit constitutionnel : la séparation des pouvoirs, le régime représentatif, etc… Il n’y avait pas de droit constitutionnel en dehors de la Constitution. A cette époque, le droit constitutionnel était une étude des dispositions écrites de la Constitution, ce qui privilégiait une approche normative de la matière (on

syndicales, 100 collectivités locales, 100 organisations internationales (10). Les fédérations commerciales européennes représenteraient un tiers de ces groupes ; les bureaux de consultants, un cinquième ; les entreprises individuellement, les ONG et les syndicats (d’employeurs ou de salariés), chacun environ 10% ; les représentations régionales et les organisations internationales, 5% chacune ; et les think tank s, 1%. Cette variété d’acteurs du lobbying peut être grossièrement scindée en deux catégories

importe la population de l’état). Les états participent à l’élaboration de la constitution fédérale (principe de participation). CHAPITRE 2 : L’ETAT ET LES THEORIES JURIDIQUES. Les philosophes du droit et les juristes se sont penchés sur la légitimité du droit. L’état peut il être limité par le droit ? L’état, instance souveraine, monopolise la violence légitime, il créé le droit, peut il en être soumis ? Etats de droit, notion qui symbolise le renouveau du droit constitutionnel. L’état de

qui proclame la nécessité d’une Constitution reposant sur la séparation des pouvoirs (art.10 « toute société dans laquelle la garantie des droits n’est pas assurée ni la séparation des pouvoirs déterminée n’as pas de Constitution »), enracine la légitimité politique dans la nation (art.3 « le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément »), et impose une conception de la loi inspirée directement

de repère pour les H dans un Etat donné. Les H ne veulent pas être gouvernés sans garantie, n’importe comment et par n’importe qui. La constitution fonde la légitimité pour l’exercice du pouvoir politique au niveau le plus élevé, celui de l’Etat; niveau où les acteurs compétents peuvent s’exprimer pour toute la soc. Constitution fonde légitimité en traçant une voie légitime pour arriver à ce niveau de pvr, voie que doivent emprunter tout ceux qui gouvernent ou prétendent gouverner la soc. En fixant

d'acteurs dans la relation. Plus les acteurs sont nombreux et plus il est difficile de faire entendre sa voix, son choix individuel. La vie en société est composé de plusieurs niveaux de relation qui sont hiérarchisés (couple, famille, lieu de travail, syndicat, association, nation, Etat). Suivant la relation, l'individu va, soit pouvoir imprimer sa marque, soit être conditionné par le corps social. Cette vision permet de concilier les deux approches. Deux conclusions: - Le poids de l'autonomie individuelle

politique est qualifié pour exercer cette fonction: c’est la légitimité. Il y a eu des divergences de cette légitimité. Pour savoir quel est le critère de légitimité. Le courant théocratique: vient de Dieu, il décidera un représentant du pouvoir, c’est la souveraineté de droit divin. Cette croyance a été critiquée notamment en occident dans le cadre de la philosophie des lumières. On est passé de la légitimité théocratique à la légitimité démocratique. Le pouvoir rassemble le peuple. Dans la constitution

leaders d’opinion Leader d’opinion : individu qui exerce une influence sur autrui dans un groupe déterminé. Caractéristiques : ▪ Une autorité reconnue dans le groupe qu’il fréquente et ce dans un domaine déterminé. Cette autorité tirant sa légitimité d’une position sociale, d’un diplôme… ▪ Une grande consommation de tous les moyens d’information disponibles et plus particulièrement les mass-médias. ▪ Une centralité dans le groupe. Ils sont en contact avec un grand nombre d’individus de celui-ci