Légitimité Pragmatique

fonder son hypothèse (part d'un constat théorique). Méthode: échantillonnage. DEUX TYPES DE NOMENCLATURE Analyse multivariée et analyse uni variée: tableau n°1 et tableau n°2 (page 10). A partir de là, dresse une typologie pour répertorier la légitimité dont bénéficie ces différentes pratiques. Donc établit 5 profils de préférence (page 17). Autre approche (page 23) d'après laquelle il créé 5 classes. Cas de probabilité: retient un nombre de variables limité, qu'il croise ensuite (avec le revenu

vrai distinction et donc portée sur le côté obligatoire de la morale et par la visée d’une vie accomplie sous le signe des actions estimées bonnes pour l’éthique. 2. Expliquer ce qui distingue la légalité de la légitimité Afin de mieux comprendre la distiction en légalité et légitimité, il me semble important de noter cette citation du TLFI : « Est légal ce qui est conforme à la loi, à la législation ; ce qui est prévu, désigné par la loi. Est légitime ce qui est conforme au droit positif ou

la morale, l’existence quotidienne (sexualité, éducation alimentation), plus les écarts entre instruits moins instruits, femme et homme se resserrent. La pratique, les intérêts de groupe pour ceux qui ne détiennent pas de capital scolaire ou de légitimité sociale sont autant d’idées et d’éléments de réponses qui leur auto confère une compétence. Il en ressort une règle: ceux que la sélection « technocratique » exclurait s ‘excluent seul du « jeu démocratique » en se bornant à répondre aux seules

qu’aurait répondu Monsieur Jean Jaurès s’il avait eu à se prononcer sur l’article 1er de la loi du 4 mars 2002 et plus précisément sur son alinéa un que nous allons étudier maintenant. En effet, cet article de loi aborde notamment la question de la légitimité des préjudices à la fois de l’enfant né d’un handicap mais également celui de ses géniteurs en mêlant à cela des dispositions sur la responsabilité du corps médical mais aussi sur l’application de la législation elle-même. Cet article, et plus

et donc que le système n’est pas véritablement démocratique. Tout constituant devrait donc choisir et renoncer ou bien à la suprématie de la constitution ou bien à la démocratie(II). On a cependant tenté d’échapper à ce dilemme et d’affirmer la légitimité du contrôle de constitutionnalité dans un système démocratique(I). I- Le contrôle de la constitutionnalité est un progrès pour la démocratie A) Quel est le rôle du contrôle de la constitutionnalité ? Et pourquoi parle-t-on de progrès ?

gouverner de façon stable et solide la France. Ensuite, Pendant la 1ere guerre mondiale la Grande-Bretagne et l`Allemagne sont devenus des États modernes. P.84 C3 Le processus de désignation du Premier Ministre par l’élection lui donne une légitimité relativement incontestable dans notre société. Même s’il se fait remplacer par le Vice-Premier Ministre qui lui n’est pas élu, le peuple a voté pour un parti au complet et non pas pour un seul individu. C’est ma vision de la chose qui est plus nuancée

absence de consentement. En l’espèce, les futurs époux, Appietto et Liliane Feibelman, avaient convenu que le divorce serait demandé dès la célébration du mariage, leur intention n’étant pas de fonder un foyer mais seulement de conférer la légitimité à un enfant commun. Cependant, la femme ne respecta pas cet engagement et le mari décida de demander l’annulation du mariage. En première instance, le tribunal a rendu un jugement infirmatif. Appietto a donc interjeté appel auprès de la Cour

les règles jurisprudentielles A- Les caractéristiques des règles jurisprudentielles et leur technique d'élaboration (Autorité des règles jurisprudentielles etc…) B- Remise en cause de la portée normatrice de ces règles (Question de la légitimité et de l’utilité des principes non écrits etc…) II- La création majeure du juge administratif : les principes généraux du droit A- L'origine et le contenu des principes généraux du droit (PGD) (Objectif de complétude du droit administratif

que simple agrégation. « (...) Cet acte d’association produit un corps moral et collectif, composé d’autant de membres que l’assemblée a de voix, lequel reçoit de ce même acte son unité, son moi commun, sa vie et sa volonté. » La question de la légitimité d’un pouvoir reposant sur le contrat social ne se pose donc plus. L’autorité politique n’est en effet plus une violence faite au peuple mais ce qui lui permet d’exister. Le contrat social est nécessaire selon Rousseau lorsque les besoins sont supérieurs

cet extrait, Rousseau réfute la théorie de la légitimité et de la pérennité d’un Etat reposant sur l’usage de la force. Il structure son argumentation en trois temps. Dans un premier temps, « Le plus fort n’est jamais assez fort [...] En quel sens pourra-ce être un devoir ? », Rousseau expose les principes de cette théorie, le débat dans lequel elle s’inscrit et les enjeux qu’elle soulève. Il montre ainsi qu’un Etat régi par la force n’a aucune légitimité, et donc aucun droit qui ne puisse en découler