Légitimité Pragmatique

pays du monde, les PME occupent une place primordiale dans le paysage économique. D’après l’OCDE en 2004, plus de 95% des firmes sont des PME et elles fournissent de 60 % à 70 % des emplois au sein des pays membres. Sur le plan académique, la légitimité des PME comme objet de recherche à part entière est reconnue depuis quelques années. La PME n’est plus considérée comme une grande entreprise en miniature (Julien, 2005). L’identification des ses caractéristiques propres permet de l’appréhender

n’a de sens qu’au sein d’un espace public où le sujet pensant communiquer librement à autrui le fruit de sa réflexion grâce à la liberté d’opinion ; liberté première entre toutes. Les vertus démocratiques de l’espace public : opinion publique, légitimité et délibération démocratique La sphère publique selon HABERMAS a de plus en plus un lien avec le politique il va jusqu’à parler « d’une sphère publique politiquement orientée ». Par ce qu’il se dit dans l’espace public ce dernier vient à avoir

problème de la décision d’un point de vue féminin car il engendre la question cruciale de la légitimité de l’action au féminin. Comment la décision au féminin acquiert la légitimité ? Il ne s’agit pas ici de faire le procès de l’avortement mais de voir comment l’appréhender non d’un point de vue délibératif (pour ou contre) mais du point de vue de l’éthique du care et de ses conséquences politiques. La légitimité de l’avortement peut se comprendre selon ces trois axes : comprendre l’éthique du care

s'attaque au fondement de l'autorité politique du moment. La tonalité "objective" de l'article lui permet de développer une argumentation à la logique implacable qui, en retournant les arguments religieux de ses adversaires, lui permet de détruire la légitimité du monarque de droit divin, tout en lui substituant l'idée de liberté et de démocratie. La nature même de Dieu rendant impossible la tyrannie, l'homme se retrouve logiquement condamné à la liberté. Cet article de L'Encyclopédie définit l'autorité

violence symbolique qui entretient la légitimité de l’institution scolaire. Légitimité n’est pas pour autant pouvoir, c’est-à-dire l’exercice d’une coercition unilatérale sur autrui. Cette notion de légitimité au cœur du concept de domination suppose d’appréhender le pouvoir de manière relationnelle. Le pouvoir ne peut se pérenniser par la seule force, il faut tout au tard obtenir pour perdurer l’acceptation des dominés à leur propre domination. La légitimité est donc duale. Elle suppose d’un

d’un système étatique de trois manières a. premièrement, le fait d’une très faible institutionnalisation, c’est-à-dire que le pouvoir ne peut se dissocier de l’individu qui l’exerce. Certes, le nom des puissants est le porteur de leur légitimité b. deuxièmement, une très forte fragmentation manifestée par la pluralité des groupements de domination ; chacun n’étant qu’une réplique d’un autre en matière de son ordre féodal, mais en même temps, exerçant son pouvoir indépendant

obéissent docilement aux lois. A ce point, l’obéissance automatique aux lois montre la déresponsabilisation de l’homme. L’être humain justifie ainsi son obéissance aveugle des lois selon trois excuses : une nécessité, une obligation morale ou la légitimité des lois.  Mais ces alibis prouvent être invalides. Dans ce monde partiellement civilisé, le refus de loi signifierait le retour à la sauvagerie propre de l’être humain, mais les obéir aveuglement serait être complice d’une telle violence. Les

grecque, la res publica romaine, le Saint Empire romain germanique etc. Il est délimité par des frontières territoriales à l'intérieur desquelles ses lois s'appliquent et est constitué d’institutions par lesquelles il exerce autorité et pouvoir ; la légitimité de cette autorité repose sur la souveraineté (du peuple ou de la nation par exemple). Le pays désigne une entité géographique tandis que le gouvernement est l’institution qui dirige l’État ; la nation quant-à-elle ne se confond pas avec l’État

Quelle est pour vous la finalité et la légitimité de l'action humanitaire et de l'aide au développement ? Il me paraît nécessaire d'apporter une brève définition du sujet qui nous concerne ici. Bien que les définitions de l’aide au développement et de l’aide humanitaire diffèrent en fonction des pays et des courants de pensées, j’ai tenté de les définir selon mes propres connaissances du sujet. D’après l’Agence française de développement (AFD)[1], l’aide au développement consiste à réduire

même pour raison d’être, la mise en application des volontés du législateur. Or, dans ce rôle d’exécutant, l’administration peut se montrer autoritaire. Elle peut se montrer autoritaire parce que, dans ce schéma là, l’administration bénéficie de la légitimité démocratique d’un Parlement qui est lui même l’expression de la souveraineté nationale. Donc pour que la loi soit fidèlement appliquée, il ne faut pas que l’administration cultive la négociation. Le droit administratif, qui s’est forgé dans