Légèreté Et Le Rire

étudiées cette année mais aussi sur votre culture personnelle. Plans possibles pour la discussion 1. Un plan dialectique en deux parties (cf. rédaction ci-dessous) I. L’affaire du théâtre est de divertir les gens (= plaire) a. en les faisant rire b. en leur racontant une histoire c. en leur offrant des textes frappants (langage) II. Mais il permet aussi de faire naître une réflexion sur le monde (= instruire) a. En purifiant le lecteur de ses passions (catharsis) b. En transmettant

recherché : * Selon La Fontaine, la gaieté n'est pas simplement « ce qui excite le rire ». Elle est davantage « l’air agréable » que l’on donne à un sujet sérieux lorsque l’on souhaite inviter le lecteur à la réflexion. La Fontaine pratique ainsi une sorte d’esthétique de la gaieté : nulle gravité dans l'évocation du combat fratricide des deux Coqs ou dans l'intervention fatidique du Vautour (v. 23), mais une légèreté, une espièglerie, un goût certain de l’incongruité et de la moquerie joyeuse. Ainsi

changé ce langage. Il a gardé son personnage et essaie de faire rire son public avec des mots, alors que son art était purement visuel. Ansi, les studios continuèrent à faire avec lui du « Keaton parlant », mais cela n’a pas fonctionné. Les premiers « essais » cinématographiques de Keaton dans le parlant n'ont pas eu succès, sa voix ne tombait pas bien avec son personnage, son attitude et son jeu se sont trouvés modifiés, sa légèreté et son inventivité comique ont été reconverties en simples gags

message au lecteur. 5e strophe : « La pointe assassine » désigne les poètes satiriques comme Boileau ou Voltaire. Donc il veut nous dire qu’il ne faut pas du tout les suivre. « L’esprit cruel et le rire impur » désignent également les poèmes satiriques qui sont des poèmes moqueurs et dont le rire est malsain. « Et tout cet ail de basse cuisine » désigne les poésies romantiques qui font pleurer. Il emploie le mot « ail » car il fait pleurer. 6e strophe : « Prend l’éloquence et tords-lui le cou 

le monde comprend le vrai sens du texte -Explicite Dans la caricature de Paul Hadol, on trouve des critiques, des moqueries de la famille de Napoléon, une dénonciation, ainsi qu’une mise en valeur des défauts des personnes présentées ® Amène à rire, moquerie, critiquer, dénonciation Dans Lettre au roi, cela s’adresse directement à celui-ci. Exemples réels et précis : « vos peuples […] meurent de faim » (1-5), faisant référence à la grande famine de l’époque. ® Direct, s’adresse au roi, s’appuie

« Je me presse de rire de tout, de peur d’être obligée d’en pleurer », lance Figaro à son maître le comte Almaviva, dans le Barbier de Séville de Beaumarchais. Il entend par là que le fait de traiter certains évènements de manière détachée, en plaisantant, permet de mieux les affronter. On remarque en effet que les auteurs des Lumières ont privilégié le ton comique et ironique, alors même qu’ils abordaient des sujets sérieux. Ainsi dans Candide, Voltaire engage une réflexion sur des problèmes graves

recherché : '' Selon La Fontaine, la gaieté n'est pas simplement « ce qui excite le rire ». Elle est davantage « l’air agréable » que l’on donne à un sujet sérieux lorsque l’on souhaite inviter le lecteur à la réflexion. La Fontaine pratique ainsi une sorte d’esthétique de la gaieté : nulle gravité dans l'évocation du combat fratricide des deux Coqs ou dans l'intervention fatidique du Vautour (v. 23), mais une légèreté, une espièglerie, un goût certain de l’incongruité et de la moquerie joyeuse. Ainsi

nous ne savons d'où ils viennent, mais nous reconnaissons parfaitement ce qu'ils semblent être; véritables visions dont nous ne sentons ni la chair ni les os, mais dont les formes nous sont distinctes et familières. Aussi, par la souplesse et la légèreté de leur nature, ces créatures singulières se prêtent-elles à une rapidité d'action, à une variété de mouvements dont peut-être aucune autre pièce de Shakspeare ne fournit d'exemple; il n'en est pas de plus amusante, de plus animée, où une gaieté

2°) Les caractères a) Le bailli b) Mademoiselle de Kerkabon c) Mademoiselle de Saint-Yves A travers l’incontestable gaité de cet épisode, la satire s’exerce sur les conceptions religieuses des Chrétiens européens. Du comique à l’ironique, UN RIRE POLÉMIQUE. II – La satire (conte philosophique) 1°) Critique de l’ethno-centrisme . certaines attitudes sont dangereuses  risque d’intolérance, étroitesse d’esprit, il n’y a pas d’autres choix qu’entre ces trois versions du Christianisme. 2°)

critique son sourire, méchants commentaires. Les tercets : conseil à Hélène de ne pas rire pour qu’on ne voit pas ses dents.5. « Et ne sont guère blancs, fragments noirs comme de l’ébène, cariés et tremblants, déchaussé et sanglants, métier de rieuse, devenez pleureuse, vilaine bête ».6. « Que vous éclatez a vous rompre les flancs Non seulement la toux, mais votre simple haleine » « pourvu que vous creviez de rire ».7. Maladie de l’intérieur et image d’horreur, portrait désagréable car odeur désagréable