Létranger Religion

CHAPITRE I - Par divers moyens on arrive à pareille fin A travers plusieurs histoires qui illustrent la vertu de certains hommes, Montaigne semble exprimer que la pitié ou la bravoure peuvent avoir le même résultat face à la haine et au mépris. CHAPITRE II - De la Tristesse Montaigne traite de la tristesse et indique qu'il cherche à ne pas l'éprouver. Pour lui, ce sentiment semble imbécile et à travers plusieurs histoires, on constate que certains Hommes se contiennent jusqu'au moment où la tristesse

en soi est indépendante de la morale, c’est la civilisation qui lui attache des idées morales, il condamne cet état de fait et rappelle que la sexualité est inframorale parce qu’elle relève de la pure nature, où il n’y a pas de bien et de mal). La religion en condamnant le plaisir de la table ment, elle détourne quelque chose qui en soi n’est ni bon ni mauvais. Vanité des titres (général), mais réalité pure du plaisir du goût.

plus une abstraction mais une notion très concrète qui renvoie à une somme d'individus qui font le choix de lier leur sort sur un certain territoire. La nation pourrait s'identifier sur des critères objectifs qui justifie l'unité des individus : religion, langue, origine ethnique. Cette conception va avoir un rôle déterminant au début du 20e siècle car elle va justifier la Société des Nations → organisation internationale (ancêtre de l'ONU en quelque sort) mais c'est aussi un projet : à l'échelle

actions mais Amine n’a pas su les décoder sur le coup. Les thèmes principal de ce roman est la guerre et la religion. Le conflit israélo-palestinien en particulier. On découvre les visions des deux clans impliqués dans cette guerre qui ne fini plus. L’auteur nous parle beaucoup des kamikazes en particulier. Dans le livre on y apprend les motivations derrières ses gestes. Selon leur religion c’est un acte de bravoure de devenir un kamikaze. Eux voient sa comme une cause comme on le mentionne tout au

Histoire des religions La religion apparait en même temps que la pensée en accord avec une présence invisible. Cette présence invisible correspond avec le refus de la mort et l’aspiration à une vie au-delà de la mort. Elle a occupé une place centrale dans l’histoire humaine, elle est contemporaine de l’avènement de l’humanité notamment avec les pratiques funéraires, les rites qui véhiculent la présence des religions. Définir la religion ne va pas de soit car ce qui apparait c’est la diversité

relation entre droit et religion A_Dans son élaboration, le droit s'est longuement inspiré des règles religieuses  B_Une dissociation progressive du droit et de la religion II_Les finalités des règles juridiques et religieuses : de la contradiction à la similarité des moyens A_Une différence de finalité entre droit et religion  B_Règle de droit et règle religieuse ont parfois une finalité compatible  Extrait:  Depuis toujours les relations entre droit, morale et religion sont très étroites

A-QUESTIONNAIRE DE LECTURE 1 : I) L'ouverture d'un conte philosophique : 1°)La description est un endroit merveilleux et coupé du monde et de la réalité. On retrouve la formule traditionnelle: « il y'avait », les personnages sont mis en scène dans un lieu imprécis: « en Westphalie », qui est un pays peu connu et qui a la réputation d'être arriéré, le nom de château: « Thunder-ten-tronckh » a des sonorités abruptes relevant de l'imagination; de même, l'époque est intemporelle. On retrouve également

programme, de plus selon une autre classification. (Dures lois du marché…et difficulté d’établir une sélection pour un programme précis.) Les Pensées sont des fragments d’une vaste réflexion que Pascal entend mener, et forment en fait une apologie de la religion chrétienne. Inachevée, cette œuvre est restée à l’état d’ébauche avancée, et, en ce qui concerne l’édition, dans un « ordre » encore aléatoire, Pascal n’ayant pas eu le temps de réunir tous ces fragments en « liasses » destinées à l’impression. Certaines

souhaitaient le bonheur de l'humanité et étaient tournés vers un idéal représenté par la raison, l'esprit critique, le progrés, et la connaissance. Combattaient le fanatisme religieux qui conduisait à l'absurantisme provoqué par l'aveuglement des religions et des superstitions. Combattaient les injustices et les inégalités. Il a les mêmes préoccupations que les philosophes des Lumières "l'Humanité qui a tant souffert et qui a droit au bonheur" (l.33-34) = sous-entend qu'il va se tourner vers le progrès

explique à ses compagnons que « c’est si bon de prier quelquefois » (p.34). Sa piété apparaît donc sincère. Elle contraste avec les prières mécaniques des religieuses et la religiosité hypocrite de la comtesse, qui n’hésite pas à abuser de la religion pour pousser Boule de Suif dans les bras du prussien. « Les ténèbres » sont les derniers mots du livre, Au premier degré, il s’agit bien sûr de la nuit qui est tombée, mais symboliquement, ces ténèbres traduisent la tristesse et la solitude