Macbeth

qui ont reçu un enseignement religieux, pourraient-ils ignorer qu’ils font le mal en tentant d’abuser d’un jeune homme naïf ? et pire encore lorsqu’ils renversent la charge de l’accusation en faisant de la victime un criminel ? (PFVS 45) De même Macbeth n’ignore rien de l’immoralité de son projet homicide lorsqu’il se demande: « pourquoi dois-je céder à l’idée dont l’image d’horreur hérisse mes cheveux ? » (I,3 49). Mais là où Rousseau insiste sur la faiblesse de la volonté comme source du mal, il

chercher au sein même de sa confusion un nouvel ordre. I- Le scandale du mal : Le mal dans Macbeth bat son plein, il agit en force sur les personnages et les transforme en pantins prêts à exécuter les manœuvres les plus sordides. Faire du mal physique ou moral devient ainsi partie prenante de leur être, une manière de s’affirmer et de se faire valoir. A-le mal physique : Les personnages dans Macbeth se partagent en bourreaux et victimes, ils provoquent ou subissent le mal dans sa différence

utilisant leurs couteaux. Acte 2 Scène1 : Mcbeth croise Banquo et son fils dans les couloirs de son château, ils parlent légèrement des 3 sœurs et de la justesse de leurs paroles. Monologue de Mcbeth. Scène 2 :Lady Macbeth a drogué les breuvages et Macbeth a tué le roi. Macbeth pense à des choses hors de raison après l’assassina. Elle tartouille la face des valets avec le sang des couteaux. Il regrette. Scène 3 : Le portier ouvre a Mcduff et Lennox. Mcduff découvre que le roi est mort. L’alerte

Parmi les trente-sept pièces composées par Shakespeare, Macbeth occupe une place à part : Elle n'est créée qu'à la fin de sa carrière et fait suite à celles des plus grandes et des plus sombres de ses tragédies. Le thème choisi par skakespeare est l'un des ses plus sinistres et ses des plus sanglants. Selon G. Wilson knight, le monde dans Macbeth est " inconnaisable, affreux, déréglé, dément " . Macbeth s'ouvre sur un carnage et s'achève sur un caarnage. LA présence des forces du Mal et du Destin

exigences morales. Prenons un exemple pour illustrer cette idée : Dans « Macbeth » de Shakespeare, Macbeth est désireux de posséder le pouvoir, il est conscient du caractère horrible et immoral de l’acte qu’il envisage de faire (tuer Duncan) « Nul éperon pour exciter le flanc de mon vouloir, seulement l’ambition voltigeante et dépassant son propre but qui verse de l’autre côté ». On voit clairement que d’un côté, par sa réflexion, Macbeth a des scrupules, une ambition démesurée de l’autre. A travers cet

que dans la méchanceté, Thérèse, dans Les âmes fortes, accorde au plaisir le privilège de succéder à la réussite : « Si elle a fait quelque détour (…) c’était pour mieux réussir. D’abord. Et ensuite pour faire durer le plaisir». Chez Shakespeare, Macbeth perpètre le régicide pour avoir « le cercle d’or », mais cynique et déterminé, après les premières hésitations, il exprime ouvertement l’idée de ne tuer que pour le plaisir. S’adressant au meurtriers qu’il a recrutés pour liquider Banquo, il le dit

L’homme prêt à tout pour le pouvoir. Argument : L’homme a toujours eu envi d’avoir le plus de pouvoir possible de se sentir au dessus des autres et pour cela il ne se prive pas de faire le mal autours de lui pour arriver à ses fins. Exemple : Macbeth une fois qu’il a eu les prédictions des sorcières sur son avenir qu’il deviendrait roi alors il met en œuvre tout les moyens pour le devenir et pour ceux il n’hésite pas à faire un régicide (acte II scène 2 « j’ai fais l’action ») ou encore à assassiner

finir, l'indéniable responsabilité humaine concernant l'origine du mal sera mise en avant. Partie I: Le mal puise sa source dans la nature humaine -L'Homme est défini comme un être de pulsions, de désirs qui le conduise à faire le mal. ex: Macbeth est poussé au mal par sa soif de pouvoir. -On retrouve chez l'Homme une forme de jouissance à faire le mal. ex: Thérèse: animalité, sadisme. (comparaison avec un furet assoiffé de sang et plaisir à l'idée de vider Mme Numance comme un lapin).

Almanzor est le laquais des précieuses. Macbeth Macbeth est une tragédie de William Shakespeare, a été écrite en 1606 ; elle est publiée dans le premier in-folio en 1623. Le sujet est inspiré d'un personnage des chroniques - Macbeth, roi d'Écosse - mais la tragédie comporte un grand nombre d'éléments surnaturels qui s'écartent de la biographie historique du roi des Pictes qui régna en Ecosse de 1040 à 1057 Selon la légende, prononcer le mot Macbeth dans un théâtre porte malheur. C'est pourquoi

laquelle s’allient chants orgiaques, danse échevelée, chasse et ingestion d’animaux3. Le renouveau du dionysisme sous les auspices du démonisme à la Renaissance ainsi que l’essence bachique de la tragédie permettent de comprendre l’excès dans le Macbeth de Shakespeare selon un mode syncrétique où le Mal judéo-chrétien s’aligne sur le modèle païen du dionysisme. Connu essentiellement comme le dieu du théâtre, du vin et de l’extase (extase double car mystique ou meurtrière selon qu’on est adepte