Macbeth

changer les choses pour éviter le mal de sévir. On peut, par exemple, citer le cas de Macduff, présent dans l’œuvre Macbeth de Shakespeare. Ce dernier est en effet capable, grâce à sa raison, de juger que les actes et intentions de Macbeth, vis-à-vis du meurtre du roi d’Ecosse, sont males. C’est donc suite à cette considération que Macduff se promet de terrasser le tyran de Macbeth dans un but de délivrer le peuple du mal. Cependant, bien que certaines personnes s’efforcent à passer leur vie

m’entraîne », proclame Oreste dans l’Andromaque de Racine. Il est en ainsi que chaque héros tragique. Et c’est peut-être d’ailleurs ceci qui oppose principalement le drame à la tragédie : la présence du Destin… Quelle puit être la forme du Destin ? Dans Macbeth, il est figuré par les trois sorcières. Dans Phèdre, Racine choisit de ne pas l’incarner. Néanmoins, Vénus et Neptune sont évoqués et invoqués par les personnages : « Je t’implore aujourd’hui. Venge un malheureux père », supplie Thésée. Présent ou

habituellement refoulées. Le mal n'est pas toujours incarné par le personnage principal. Dans Macbeth de Shakespeare, les sorcières représentent le symbole mystique de la mort et du mal. Dés la première scène, l'accent est placé sur cette réalité surnaturelle avec ces figures représentant le mal. Ces sorcières sont en fait des démones qui manigancent un projet qui aboutira à la perte de l'âme de Macbeth. Ces êtres resteront, actifs en arrière plan jusqu'à la fin de l'histoire. Sur scène, elles sont

dans quelle mesure le bonheur existe seulement avant l’expérience du mal. Nous allons ensuite montrer qu’il quand même possible de rester heureux même après avoir vécu l’expérience du mal. Point que nous considérons bien sur la pièce de Shakespeare Macbeth et l’œuvre de Rousseau La Profession de foi de Vicaire Savoyard. CITATION :<> INTRODUCTION Certains philosophes annoncent que la méchanceté est née avec l’homme, autres font revenir la chose à la source divine. Platon affirme : « nul

comprendre que la méchanceté consiste à mal faire ce qu’on doit faire et qu’on sait devoir faire ? Ou bien faut-il penser que la méchanceté consiste à mal faire en ce sens où disparaît toute perspective du bien ? On s’appuiera notamment sur le Macbeth de Shakespeare, sur la première partie de la « Profession de foi du vicaire savoyard » de l’Émile ou de l’éducation de Jean-Jacques Rousseau et sur Les Âmes fortes de Giono. On peut penser que la méchanceté consiste à se tromper sur le bien

d'une erreur de perception. À la fin de la pièce, il venge son père, mais in extremis. Macbeth, 1606, tragédie : La Norvège et l'Ecosse se livrent une bataille où Macbeth, cousin du roi Duncan et chef de son armée, s'illustre par son courage, sa persévérance et sa loyauté. Revenant victorieux, Macbeth, duc de Glamis, rencontre trois sorcières qui l'accueillent . Quant à Banquo, général et ami de Macbeth qui l'accompagne, elles lui promettent une descendance de roi. Puis, sans donner plus d'explications

destructions apparemment indifférentes au mérite de chacun. Par "scandale du mal" il est possible d'entendre le problème de la contradiction entre la bonté divine et l'existence du mal. Si dans Macbeth le mal fait irruption dans le monde par l'entremise de puissances maléfiques, les Soeurs fatales, le poignard que Macbeth voit en hallucination, Hécate. Comment se fait-il que ces choses existent ? Sont-elles des créations ou des créatures issues de la volonté divine ? Si oui, comment cela se fait-il qu'un

méditais donc sur le triste sort des mortels flottant sur cette mer des opinions humaines, sans gouvernail, sans boussole, et livrés à leurs passions orageuses, sans autre guide qu’un pilote inexpérimenté qui méconnaît sa route »p53 Shakespeare : Macbeth tue le roi sans aucune considération des lois morales et sociales, ne le précise-t-il pas lui-même en les présentant comme des raisons qui doivent le retenir face à la tentation du mal quand il se dit : « … Il est ici sous double garantie : / En

-La tragédie de Macbeth -Le Songe d’une nuit d’été féérique et fantastique, -La Tempête de shakespeare I) Le théâtre est d’abord un divertissement qui doit provoquer des émotions sur le public Comme la peur, la pitié … Or pour provoquer la peur par exemple, le théâtre doit être originale et ne doit pas montre que la société dans laquelle nous vivons qui est trop ordinaire. Ainsi des éléments et personnages doivent être introduit dans le théâtre à l’instar de Macbeth qui rencontre trois

fantasmagorique et halluciné de la scène. On ne sait plus où se trouve le rêve et la réalité, tout baigne dans une confusion diffuse. Ce groupe d’aveugle, perçoit des bruits, des pas, mais nous n’avons finalement aucune confirmation. * Quant à Macbeth, toute la pièce a un côté surnaturel. Ici aussi, les sorcières sont un élément important, sans elles, la pièce perdrait son sens car c’est sur leur prédiction que se base l’intrigue de la pièce. Les fantômes aussi renforcent l’idée que le théâtre