Macbeth

reveals. Lady Macbeth sounds: c. Listen to these words, then read them aloud: damned • murky • blood • Ar wn • buried. d. Now read the whole passage aloud. 2. What's done cannot be undone 181180 Unit 12 Read and understand Read the scene and discuss what you have understood with the class. Then turn to your Workbook for help. Characterization a. What is unusual about Lady Macbeth’s behaviour? b. Why has the gentlewoman sent for the doctor? c. What is Lady Macbeth haunted by

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente William SHAKESPEARE (Grande-Bretagne) (1564-1616) [pic] Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont résumées et commentées (surtout ‘’Hamlet’’ et ‘’Macbeth’’). Bonne lecture ! Un William Shakespeare est né à Stratford-upon-Avon, troisième d'une famille de huit enfants, qui fut probablement élevé dans la foi catholique, qui fit ses études à l’école communale et les poursuivit peut-être un temps à l'Université d'Oxford

qu’il y aille de leur faute (Richard lll), ou l’envie de Caïn qui tua Abel parce que « Yahvé porta ses regards sur Abel et vers son offrande, mais vers Caïn et vers son oblation il ne les porta pas ». Ils peuvent aussi être guidés par la faiblesse (Macbeth). Ou, au contraire, par la haine puissante que la méchanceté ressent devant la  pure  bonté  (Iago[1] :   «Je  hais   le  More,  Mes  griefs m’emplissent   le  cœur » ;   la  haine  de Claggart pour l’innocence « barbare » de Billy Budd[2], haine

est-il lui-même en manque d’être ou bien est-il totalement responsable, au motif qu’il serait dans son entière puissance ontologique ? Nous répondrons à ces questions en illustrant notre propos des œuvres au programme : Les âmes fortes de Giono ; Macbeth de Shakespeare ; La profession de foi du vicaire savoyard de Rousseau. Leibniz dans sa Théodicée (I, § 21) distingue différents maux : le mal métaphysique, le mal physique et le mal moral. Le mal métaphysique correspond à la limitation ontologique

théâtre Ubu Roi publiée en 1896, œuvre de jeunesse de l’auteur français Alfred Jarry. Celui-ci s’inscrit, au XIXème siècle, à la frontière entre le symbolisme et le surréalisme. Ubu Roi est inspiré de la pièce tragique Macbeth de Shakespeare. Dans cette pièce Lady Macbeth, épouse de Macbeth le convainc d’assassiner le roi Duncan pour prendre sa place. Jarry s’inspire largement de cette intrigue où Ubu roi devient un tyran usurpateur. Cet archétype grotesque du tyran règne dans une Pologne de fantaisie

héros des tragédies particularisent chacune un aspect des mortels dilemmes auxquels ils sont soumis.’’ Explication 2 : Ces ‘‘situations diverses’’ varient en effet. Dans Macbeth, le personnage principal se retrouve en conflit avec ses valeurs morales quand sa femme lui propose de tuer son roi pour prendre sa place. Macbeth aime sa femme, et apprécierait avoir plus de pouvoir, mais il a toujours été fidèle à son roi, qui est un de ses plus proches amis. Dans Hamlet, le personnage principal fait

et de de qql chose d'extrêmement populaire. Le titre du départ: Ubu roi ou les polonais: → Ubu n'a jamais fait parti des rois de Pologne, donc pas la Pologne que nous connaissons, un lieu imaginaire. Dès la liste des personnages : parodie de Macbeth (imite un genre ou un texte de façon à le détourner de son objectif premier et de le rendre comique). La parodie va se retourner contre les conventions du drame. On sait par le titre qu'Ubu sera roi. Mère Ubu, Père Ubu : expression enfantine, personnages

L’absence d’ordre dans un pays est possible et peut entrainer la répartition d’un mal général. Dans cette situation le mal est restreint au pays mais c’est un mal général à l’échelle du pays. C’est la situation qu’expose Shakespeare dans Macbeth. Le chaos dans Macbeth est omniprésent. Notamment dans la scène d’exposition, marquée par la noirceur : le tonnerre, la saleté. La présence des sorcières montre le surnaturel. Le surnaturel évoque le dérèglement. Des la première scène l’environnement apparaît

à la première définition donnée, c’est-à-dire à la peur d’un évènement conséquent sur un soi physique, mais elle peut aussi se rapporter à un soi moral. Concrètement, on peut traduire cette dernière comme étant la peur de perdre un bien précieux. Macbeth par exemple, à la suite du mal effectué c’est-à-dire l’assassinat de Duncan, se voit paré des deux types de peur. Premièrement, celle de perdre sa position de souverain qu’il a subtilisé à Duncan suite à son crime. La deuxième peur serait la perte

l’unique pouvoir. Avare, goinfre et gras de parole. Manipulé par sa femme : Mère Ubu. Proche cousine de Lady Macbeth, qui pousse son mari à tuer le roi afin de lui prendre place et, elle, de se faire reine. Voilà l’intrigue de la scène première, qui m’a été confiée. Revenant sur Macbeth, la pièce maudite : Ubu roi a de nombreuses similitudes avec la tragédie de Shakespeare. Macbeth et Ubu sont tous deux aux ordres du roi [ « (…) On le serait à moins : capitaine de dragons, officier de confiance